Aristophane L Assemblée Des Femmes

l'artisanat (tout le monde peut la pratiquer, il faut de l'intelligence et de la force). L'agriculteur vit dehors comme le guerrier (similitudes agriculture~guerre). L'agriculture est une activité virile, alors que l'artisan vit à l'intérieur, comme les femmes. Agriculteur est capable de défendre sa cité. Guerre et agriculture en rapport avec la divin. Dans ces cités se dessinent des mutations du pouvoir : monarchie > + ou - oligarchie (système aristocratique). Un pouvoir tend à devenir collectif, de plus

revint à Athènes, vraisemblablement en 388. Il avait quarante ans. La guerre durait encore ; mais elle allait se terminer l’année suivante par la paix d’Antalkidas. À ce moment, Euripide était mort et n’avait pas eu de successeur digne de lui. Aristophane venait de faire jouer son dernier drame, remanié, le Ploutos, et le théâtre comique ne devait retrouver son éclat qu’avec Ménandre. Mais si les grands poètes faisaient défaut, la prose jetait alors un vif éclat avec Lysias, qui écrivait des plaidoyers

d’oliviers sur revers, près chouette. Les coins monétaires donnés dans l’opisthodome du Parthénon. Monnaie en bronze : Aristophane, les Grenouilles, 714, monnaie fourrées, frappé avec coin de monnaie en argent, flanc monétaire en bronze et fin couche d’argent par-dessus, triche ! plus valeur intrinsèque, mais valeur nominale (donné par l’état). Aristophane, Assemblée des femmes, 816-822, abandon des pièces fourrées pour de nouveau de l’argent. Transport des monnaie dans la bouche, vêtements pas

revint à Athènes, vraisemblablement en 388. Il avait quarante ans. La guerre durait encore ; mais elle allait se terminer l’année suivante par la paix d’Antalkidas. À ce moment, Euripide était mort et n’avait pas eu de successeur digne de lui. Aristophane venait de faire jouer son dernier drame, remanié, le Ploutos, et le théâtre comique ne devait retrouver son éclat qu’avec Ménandre. Mais si les grands poètes faisaient défaut, la prose jetait alors un vif éclat avec Lysias, qui écrivait des plaidoyers

revint à Athènes, vraisemblablement en 388. Il avait quarante ans. La guerre durait encore ; mais elle allait se terminer l’année suivante par la paix d’Antalkidas. À ce moment, Euripide était mort et n’avait pas eu de successeur digne de lui. Aristophane venait de faire jouer son dernier drame, remanié, le Ploutos, et le théâtre comique ne devait retrouver son éclat qu’avec Ménandre. Mais si les grands poètes faisaient défaut, la prose jetait alors un vif éclat avec Lysias, qui écrivait des plaidoyers

pouvoir au peuple. A Athènes, le peuple, ce sont seulement les citoyens qui sont environ 40 000, soit à peu près 10 % de la population de la cité. Les 90 % restant subissent donc les décisions de l'Ecclésia. Parmi eux, on distingue trois groupes : Les femmes qui sont toujours considérées comme mineures. Elles passent de la dépendance de leur père à celle de leur mari. Les métèques qui sont des étrangers résidant à Athènes. Ils doivent verser une taxe annuelle et sont soumis aux mêmes obligations financières

et romaine (jusqu’à l’édit de Caracalla). A Athènes les citoyens sont une minorité par rapport au nombre d’habitants. Sur 400000 habitants il n’y avait que 40000 citoyens (qui sont forcement des hommes âgés de plus de 18 ans). Si on ajoute les femmes et les enfants des citoyens : on pense qu’il y avait un groupe civique de citoyens de 120000 à 130000 personnes. Ils restaient en minorité. II L’acquisition de la citoyenneté - Les grecs se disaient autochtones (prétendaient qu’ils étaient

même si elle reste le modèle d'inspiration. Par démocratie en Grèce, nous entendons « le pouvoir pour chacun de débattre, décider et juger ». Elle conférait donc une liberté d'intervention au niveau de la cité. Cependant, elle ne s'appliquait pas aux femmes et aux esclaves. Les premiers éléments de la démocratie remontent à l'époque dite « archaïque » avec notamment les réformes d'un homme d'état athénien, Solon, qui réorganise la société athénienne en 594 avant notre ère. Les citoyens de la ville

ainsi que, pour la période s’étendant du début des concours à la fin du 5ème s., plus de 1700 tragédies furent représentées, et 600 comédies anciennes environ. Ces spectacles nombreux s’adressent à la très grande masse des citoyens (et, peut-être, les femmes, les enfants et les esclaves : les discussions sont encore ouvertes sur ces sujets) : s’il est en réalité impossible, matériellement, qu’ils aient pu tous se réunir dans l’édifice du théâtre, ce dernier n’en avait pas moins une capacité d’accueil

Perses, lors de la bataille de Salamine racontée par Eschyle, opposé au péan des Grecs chanté d’une seule voix. Ailleurs, l'ambassadeur perse, Pseudatarbas (nom perse imaginaire, avec un jeu de mot sur le sens de « fausse mesure ») mis en scène par Aristophane (Acharniens, v. 100 et 104) prononce des mots incompréhensibles. 3. Strabon, Géographie, XIV. 8 cité, ils ne vivent pas dans une polis 1. C’est la différence essentielle, et elle est d’ordre politique : les Grecs sont des amoureux de la liberté