Aristote L Homme Qui Vit Selon Ses Passions

le désir de connaissance est un désir purement intellectuel. Ainsi, en suivant cette pensée construite sur une gradation d’intensité allons-nous mesurer le risque philosophique mais aussi l’intensité de la vie du penseur. « Il vient pour tout homme une heure où il se demande avec stupéfaction » : c’est par la nécessité de l’étonnement que s’ouvre le texte, étonnement exclamatif portant sur la possibilité de la vie : « Comment peut-on vivre ? » Cette question-exclamation souligne le caractère

impossible, dans la Critique de la Raison pure . Nous désirons légitimement connaître l’absolu, mais l’absolu (comme Dieu) ne peut être qu’objet de croyance, aussi légitime qu’elle puisse être. La science en effet, selon Kant, est nécessairement relative aux catégories de l’esprit humain qui permettent de la constituer, ainsi qu’à l’expérience à laquelle ces catégories s’appliquent. La science ne peut donc atteindre des vérités absolues, concernant la totalité du monde

La préciosité « L’amour, cette passion capricieuse, qui ne se satisfait que par elle-même »[1] Bibliographie : Honoré d’Urfé, L’Astrée, Folio classique, 1984 Madeleine et Georges de Scudéry, Artamène ou le Grand Cyrus, extraits, GF Flammarion, 2005 Madeleine de Scudéry, Clélie, histoire romaine, Folio classique, 2006 Madeleine de Scudéry, L’Amour tyrannique, in Œuvres complètes « Théâtre du XVIIème siècle », Bibliothèque de la pléiade, tome 2, p. 531-599 Molière, Les femmes savantes

aucune idée concrète de l’objet à quelqu’un qui ne connaît pas l’objet. Roman en vers ? POUCHKINE (1ière moitié du 19e) – « Eugène Oniéguine » (autre exemple de la difficulté de donner une définition). Définir son indéfinissabilité ? [La poétique, Aristote. Donne des critères qui permettraient de définir un genre : il dit qu’on peut définir un genre en recourant à 3 notions : la ‘Mythos’, la ‘Lexis’ et la ‘Diandia’. Mythos= Histoire, ici. Lexis= le style. Procédés par lequel le texte se constitue

realisée par A. Gatta | conception graphique Studio Editoriale EDUCatt — 3 — Table de matières Table des abréviations ................................................................................................ 6 Baudelaire : Sensations d’un homme sensible .......................................................... 7 Federica Locatelli L’Alchimiste secret – L’Alchimiste se crée .............................................................. 15 M. Boselli « Une harmonie de vert et de rouge

laissant tout simplement plus le loisir à l’auteur de composer de nouvelles tragédies. Pourtant, on imagine mal que la mission, aussi prestigieuse fût-elle, de glorifier pour l’éternité le règne de Louis XIV, ait pu éclipser l’amour du théâtre chez un homme qui en avait fait sa carrière et qui, régulièrement depuis plus de dix ans, avait donné à la scène ses plus belles pièces classiques : Andromaque (1668), Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673) et Iphigénie (1675). 1

travail et de la technique 2 La technique, c’est le feu : le mythe de Protagoras 3 I. Esclavage ou libération ? 4 A. Le travail est une contrainte pénible 4 L’origine du concept de travail 4 Etymologie et sens 4 L’origine du travail selon la Bible 5 L’origine du travail selon Rousseau 5 Le mépris grec du travail 5 Le travail est nécessaire pour cadrer l’homme : un argument ambigu 6 B. Le travail comme moyen de libération 7 1. La maîtrise de la nature (Descartes) 7 Le travail comme processus d’humanisation

-         droit d’être élu Droits civils : -         droit de posséder une terre -         droit d’accès aux tribunaux Devoirs militaires : -         Participer a la guerre pour défendre la cité -         Faire l’Ephebie -         Participer selon sa fortune aux combats (les + s’achètent des chevaux, les hoplites sont les soldats de base) Devoirs civiques : -         Obéir à la loi et aux dirigeants -         Assumer ses responsabilités politiques -         Payer l’impôt Devoirs religieux :

LA LIBERTÉINTRODUCTIONAvant de s’engager dans un débat sur la liberté, cherchons à la définir. Pour qu’elle s’applique à toutes les formes de liberté nous ne pouvons en donner qu’une définition négative : elle est absence de contrainte. On parle alors de libertés au pluriel, car il y a autant de libertés que de contraintes dont on s’affranchit. Par exemple, on parle en physique d’un corps qui tombe en chute libre, c’est à dire indépendamment de toutes les forces autres que la pesanteur, en politique

qui est renfermée dans un vase n’est pas libre, à cause que le vase l’empêche de se répandre, et lorsqu’il se rompt, elle recouvre sa liberté » (Hobbes, Le Citoyen, IX, 9). Cette liberté d’action peut prendre, chez l’homme, deux figures différentes selon que son pouvoir d’agir est empêché soit par des contraintes physiques, naturelles ou matérielles, soit par des contraintes juridiques, politiques, morales ou religieuses. Leibniz distinguera en ce sens entre la « liberté de fait » et la « liberté de