Aristote La Politique Cité

L’économie subordonnée au politique: la réflexion économique dans la Grèce antique Principales sources: Jean Dellemotte (2017) Boncœur et Thouémont (2017)• Depuis qu’ils nous ont laissé des traces écrites, les hommes ont réfléchi sur des questions que nous appelons économiques, c’est-à-dire, relatives à la production, la circulation et la répartition des richesses. Ces réflexions ont d’abord concerné : • la production des biens de subsistance nécessaires à la survie de la communauté • justice

très nette dans les textes grecs, notamment ceux d'Hésiode (période archaïque), voire de Platon. La société des hommes est représentée comme habitée d'une tension. Les poètes de l'époque témoignent de ces agitations et démesures. Platon dans la cité idéale qu'il veut construire dans Les lois (340 AVJC) propose une exhortation à vaincre sa démesure en se constituant une mesure intérieure. Enfin chez Hérodote on réfléchit à plus grande échelle, analyser comment la démesure peut naitre ou ne pas

d’Aristote. Il pense qu’on peut donner le pouvoir au peuple sous certaines conditions.Politique de Aristote, chapitre III,11: cadre de sa réflexion:→ Se situe dans le cadre d’une interrogation sur la compétence du peuple. Est-ce qu’une pop pas forcément éduquée peut exercer le pouvoir ?Les institutions supposent qu’il n’y a pas besoin de compétence. Ce que la démocratie grecque refuse est que la politique soit un savoir y compris pour des fonctions qui peuvent avoir des

chez Platon et Aristote et analyser en quoi ce concept est appréhendé différemment aujourd'hui ? Platon , le concept de la justice étant la quintessence de tous les traits communs à toutes les actions justes particulières . 1°°Dans la République notion de justice est à la fois eu niveau individuel et collectif , il s'agit d'appréhender la justice chez l'homme et dans la cité . Pour platon la question de liberté est inhérente à celle de la justice . Il existe une politique de l'être ,

  «  La cité est au nombre des réalités qui existent naturellement, et (…) l’homme est par nature un animal politique. Et celui qui est sans cité, naturellement et non par suite des circonstances, est ou un être dégradé ou au-dessus de l’humanité. Il est comparable à l’homme traité ignominieusement par Homère de : Sans famille, sans loi, sans foyer, car, en même temps que naturellement apatride, il est aussi un brandon de discorde, et on peut le comparer à une pièce isolée au jeu de trictrac.

LICENCE I Plan Introduction I. La sociabilité naturelle de l’homme chez Aristote : l’homme, un « zôon politikon » 1. L’homme comme un animal politique 2. La cité naturelle selon Aristote comme le lieu de réalisation de l’homme. II. La problématique de la sociabilité naturelle de l’homme ou l’insociable sociabilité de l’homme 1. Les résistances humaines à la vie sociale 2. Les idéologies et théories sur la sociabilité et l’insociabilité de l’homme III. La question contemporaine

Commentaire de Texte 1) Aristote affirme que l’homme est différent des animaux. En effet il possède la parole ce qui lui permet de s’exprimer l’utile et le nuisible, et par la suite le juste et l’injuste car il est le seul à avoir le sentiment du bien et du mal, il a donc une morale. Mais l’idée principale du texte est que l’homme est fait pour vivre en société, que la cité est antérieur à l’homme. Aristote explique cela en 3 parties : Tout d’abord, tous les hommes sont

compréhensible par tous et à une conscience comparé à l'animal qui vit par instinct. Aristote utilise cependant le terme d'animal pour définir l'homme : « l'homme est un animal politique ». L'homme serait-il donc plus maître de lui même en matière de politique, et se laisserait faire par son instinct ? Nous sommes donc appelés à nous demander si l'homme à pour seule fin la vie sociale et politique. Le fondement de la nature politique de l'homme est son langage. En effet, grâce à lui, il peut communiquer et

HISTOIRE DES IDEES POLITIQUES Sujet : La réflexion sur la société politique pendant l’Antiquité L’antiquité est une période très faste de notre histoire. En effet, c’est durant cette période que les Hommes ont commencé à avoir des réflexions sur des domaines très variées, que ce soit la politique, l’économie, les mathématiques, la stratégie, etc…. De plus les hommes ont pu consigner ces réflexions à l’écrit, certains de ces auteurs antiques étant encore d’actualité (les philosophes grecs par

MORALE et POLITIQUE Aristote distingue la praxis, action immanente n'ayant d'autre fin que le perfectionnement de l'agent (par exemple être moral), de la poïèsis, production d'une œuvre extérieure à l'agent (une statue de marbre par exemple) : c'est donc comme disciplines pratiques visant à rendre les hommes meilleurs que la morale et la politique doivent être entendues, et non pas comme des sciences exactes, car les affaires humaines se passent au niveau de la réalité contingente, non mathématisable