Aristote Sensation Et Connaissance Scientifique

La perspicacité (du grec psukh, âme, et logos, parole1) qui élire l'étude scientifique des faits intérieur connaissance empirique ou intuitive des sentiments, des idées, des comportements d'autrui et des siens, l'ensemble des art de penser, de sentir, d'agir qui marquer une personne, un animal, un pool ou un personnage. divisée en de nombreuses ramée d’étude, ses règle entamer le domaine tant bien au plan fumeux que pratique, avec des attention thérapeutiques, sociales, et parfois politiques ou

d’investigation scientifique, dans laquelle les sensations constituent le fondement et la garantie de toute connaissance ; 2. la physique qui est la science de la nature ; 3. l’éthique qui enseigne la façon de vivre heureux. -Un élément clé du la doctrine d’Épicure est la recherche du bonheur. - Épicure s’intéresse au fonctionnement de la société et au comportement des individus cherchant à maximiser leur plaisir par un calcul rationnel (lien avec les néoclassiques)• Fils de médecin, Aristote naît à

condamne son maître à mort est injuste, laid et faux. Il doit y avoir un monde vrai et juste que Platon recherche non pas dans un au-delà mais dans les Idées. C’est la première coupure entre le monde intelligible ( Idées ) et le monde sensible ( sensation et sentiments). Il y a trois Idées chez Platon : le Bien, le Vrai et le Beau. L’idée du Bien est l’idée suprême.  - « l’allégorie de la caverne » . Ce texte rend compte de l’éducation du philosophe, libéré de force de sa demeure souterraine,  de

chiens en général) et une autre, la vision de ce chien particulier, qui aboie, qui mord, qui a telles caractéristiques déterminées. Le concept est par définition abstrait; la sensation que j'ai du chien devant moi, et même l'image que j'en garde, est concrète en revanche. Toute science est abstraite, car comme le dit Aristote, il n'y a de science que du général.En revanche, je peux avoir affaire dans mon expérience de médecin, par exemple, quelle que soit ma science, à des individus concrets dont

arrive indépendamment de ce que l'on peut en penser ; l'enjeu est ici la connaissance, car juger de manière rationnelle, c'est juger justement, c'est connaître quelque chose qui sans nous, ne serait pas interprété. Veut-on dire de manière confuse que les faits ont tord ? La simple possibilité d'avoir raison est celle de donner un sens à ce qui nous arrive, à ce qui nous entoure, bref à maîtriser par notre jugement de connaissance ce qui est seulement arbitraire et dû au hasard. Nous verrons dans une

mélange de théorie et de pratique. Exemple : en architecture, qui est la synthèse de technique mais aussi un art, pour pouvoir construire un bâtiment, il faut avoir des connaissances théoriques concernant par exemple les matériaux, la résistance. Il faut avoir aussi des connaissances en termes de géométrie spatiale mais aussi des connaissances pratiques pour savoir comment assembler plusieurs matériaux dans l’espace, un savoir faire comme le dessin pour l’architecte par exemple. Ars Selon l’étymologie

développant une aptitude partielle et subordonnée dans l'économie de l'entreprise proprement culturelle qui consiste à bien faire l'homme. Les connaissances techniques relèvent de l'utile, non de vrai, du bien et du beau, toutes valeurs constitutives de «ordre culturel» car recherchées pour elles-mêmes. Il est cependant paradoxal d'exclure de la culture la connaissance et l'usage des outils dès lors que ceux-ci sont incontestablement des marques symboliques par lesquelles l'homme s'élève au-dessus de la

sciences. C'est durant ce siècle que commencent à se constituer dans les capitales européennes des académies des sciences regroupant scientifiques et mathématiciens : l'académie dei Lincei à Rome en 1603, La Royal Society à Londres vers 1645, l'académie del Cimento à Florence en 1657 et l'académie royale des sciences de Paris en 1666. Au sein de ces académies, des scientifiques de tous bords se réunissent pour partager et confronter leurs idées. Ainsi ces académies jouent un rôle fédérateur des savoirs

† Philosophie en Terminale Scientifique † Mr. Mattei A année 2008/2009 L TEX 2e Table des matières I La raison et le réel 1 La démonstration 1.1 Les visages de la démonstration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Pourquoi démontrer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2 La démonstration est-elle une garantie de vérité ? . . . . . . . 1.1.3 En quoi reconnaît-on une « vraie » démonstration ? . . . . . . 1.2 Démonstration et formalisme . . . . . . . . . . . . . . . . .

Reconnaître la vérité suppose-t-il que je me tourne vers la réalité, ou est-ce qu’un critère de vérité peut être attribué à mes seules pensées ? Comment être certain d’une vérité scientifique ? N’y a-t-il pas toujours un moyen de douter de tout ? L’argument par excellence : celui du rêve . Quand on rêve, on a aussi des sensations, des perceptions, et pourtant ce n’est qu’un rêve, comment savoir qu’on ne rêve pas ? Descartes reprend ce problème dans les Méditations métaphysiques. Mais meme si je rêvais