Aristote Sensation Et Connaissance Scientifique

éclairé; en comparaison tous les siècles précédents neseront que ténèbres." citation de Pierre Bayle 1697. Pierre Bayle 1) Pourquoi utiliser la métaphore de la lumière ? Le siècle des Lumières tire son nom dumouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connu sous le nom de Lumières. Il est souvent utilisé dans la littérature historique commesynonyme de XVIIIe siècle européen, car il été marqué par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences. L’image

faut étudier que le comporte ment semblable stimulus -réponse on ne s'occupe pas de ce qui se passe à la tête du sujet. Ils affirment que les expériences mentales subjectives sont des phénomènes sans importance et devraient être ignorées par les scientifiques sérieux. Le béhaviorisme explique le comportement animal et humain en termes d'influence externe et comment ces influences affectent le comportement observable. le troisième représente une position intermédiaire, ces chercheurs pensent

l’esclavage. Révolution.Mouvement caractérisé par abondance de réflexion (raison + méthode scientifique). | Date (environ) | 16° siècle | 1549-1560 | 1610-1660 | 1660-1680 | 1751-1772 | Principes et caractéristiques | * dvlp ; des qualités humaines par les livres (travail intellect.), et par le sport (dvlp. physique) * on croit au progrès de l’homme * modèle culturel = Antiquité (Horace, Platon, Aristote) | * création d’une grande poésie en langue française qui puisse rivaliser avec la

GÉRARD GENETTE ET LA QUÊTE DU « RÉCIT À L’ÉTAT PUR » Charlotte LACOSTE Université Paris 10 SOMMAIRE 1. « Frontières du récit » : à la recherche du « récit à l’état pur » 1.1. Aristote contre Platon 1.2. Le récit comme restitution inexacte 1.3. L’héritage benvenistien : opposition récit/discours 2. Fiction et diction : le statut ontologique de l’événement 2.1. Séparation histoire/récit 2.2. Noyaux de cerises et événementialité 3. Les impasses du réalisme genettien 3.1. Le récit de fiction

rhéteurs, les flatteurs des passions et des intérêts règnent pour le malheur de la cité et la honte de l'esprit. On voit par là que Platon condamne la démocratie au profit d'une royauté d'essence morale, ce qui n'est pas le cas d'Aristote. Car pour Aristote la dialectique n'est pas science. Là où il y a débat, il n'y a pas science, aussi à défaut d'une science du bien public, la multitude est meilleure juge qu'une élite, les lumières limitées de chacun se corrigeant les unes les autres et donnant dans

relation directe entre le référentiel et le texte (représentation =/= présentation). On glisse d'un système à l'autre, d'une norme à l'autre, d'une réthorique à l'autre. Le réalisme se construit sur un pacte de lecture et sur une volonté de persuasion (Aristote). Une volonté de présenter un double réthorique du réel qui se fonde sur la représentation d'images (et non d'idées!), il s'agit d'abord de faire voir, pour ensuite faire comprendre => moment de rupture dans le roman (celle évoquée par Thibaudet)

l’Argumentation (au même titre que tout objet scientifique) est une construction historique, et relève d’une perception sociale qui s’inscrit dans une histoire en train de se faire. Car les savoirs se construisent et se développent dans un paradigme, ou une épistémè ― pour reprendre la terminologie foucaldienne ― à savoir des cadres généraux de la pensée propres à une époque, formant les soubassements des discours sur un objet, le socle sur lequel s’articulent nos connaissances. C’est-à-dire qu’il existe une historicité

de la perception. Ce que nous ressent o n s a surtout une origine externe, notre conscience est une sorte de reflet du monde tel que nos organes des sens l’appréhe n d e n t. Le matérialisme débouche assez vite sur une conception empiriste de la connaissance , dont Bergson ne va pas accepter la totalité des présup p o s é s, bien qu’il en soit finalement assez proche. Pour la plupar t des empiristes, il n’y a pas de différence qualitative entre le souvenir et la perception actuelle : dans les deux

jugements justes, ce qui devrait 1 Chez les Anciens, « logique » et « dialectique » sont le plus souvent employés comme synonymes. Chez les Modernes également. 2 Le terme d’éristique serait seulement un mot plus dur pour désigner la même chose. — Aristote (selon Diogène Laërce, V, 28) regroupait la rhétorique et la dialectique dont l’objectif est la persuasion, τό πιςαυόυ ; puis l’analytique et la philosophie dont la finalité est la vérité. — Διαλεκτική δέ έστι τέχυη λόγωυ, δι’ής άυασκευάζομέυ τι

kantienne. La digotomie entre quid iuris et quid ius indique l’opposition entre la philosophie du droit et la théorie générale du droit. Déjà sous l’Antiquité on retrouvait cette digotomie avec Platon qui avait une approche spéculative et Aristote qui avait une approche concrète, empirique des régulations juridiques. En Allemagne, le retour vers le droit naturel a été le moyen de rappeler qu’il y a des valeurs que le droit positif ne peut pas atteindre. En Italie, il existe trois blocs