Aristote éthique à Nicomaque

Mise en place du problème Le texte débute par un exemple simple et général, il cherche à concerner un maximum de personnes. Cet exemple aisé devient de plus en plus complexe suite à un veritable enchainement de supposition et vire donc vers un extremisme désirant à recueillir une pitié du lecteur. Pourtant Kant met le lecteur dans une situation d'infériorité en enonçant qu'un enfant en bas âge n'hésiterait pas à rendre le bien qui lui avait été confié. 2) Création d'un débat Dès le commencement

Exercices de révision EN CLASSE (cours 1 à 6) QUESTIONS CAS 1 : Un téléphone pas très intelligent Qs 1.1 : Lors de sa décision de ne pas remplacer le téléphone de Marie-Claude, est-ce que le commerçant est confronté à un dilemme éthique? Justifiez votre réponse. Qs 1.2 : Est-ce que Marie-Claude peut accuser le commerçant d’avoir adopté un écart de conduite? Si oui, lequel ou lesquels? Justifiez votre réponse. Qs 1.3 : Est-ce que la décision du commerçant de refuser de remplacer

Dans cette étude de cas si nous appliquons la théorie éthique de l’utilisation classique de Bentham et Mill sur la question d’avoir un profil personnel Facebook nous apporte-t-il du bonheur ? La réponse est oui, car la définition du bonheur par Bentham et Mill est la suivante : la recherche de plaisir et l’évitement de la souffrance. Ensuite, avec quelques concepts clés bien définis, comme le principe d’utilité, les deux critères de base pour les plaisirs et les sept critères d’un plaisir, nous

a question que l'on peut donc se poser est la suivante : quel est le lien entre ces deux termes complexes qui sont « liberté » et « bonheur » ? Le bonheur n'est-il accessible qu'aux personnes qui sont libres ? Et même, suffit-il d'être libre pour être heureux, ou bien le bonheur a-t-il d'autres conditions pour exister ? En effet, si Après avoir examiné en quoi la liberté n'est pas nécessaire pour être heureux, puis en quoi au contraire la liberté tient une place importante pour accéder au bonheur

dans son texte de se confronter à la conception du bonheur du neveu de rameau, qui est plutôt matérialiste « l15 boire du bon vin, se gorger de met délicats » contre la sienne qui est à l’opposé, il prône l’altruisme, il ressent du bonheur en aidant les autres « servir ses amis ? ». Alain quant à lui évoque un bonheur qui vient dans l’exercice d’une activité qui nous est cher « le commerçant aime la richesse, le musicien la musique, le savant la science » c’est à l’homme de forger son propre bonheur

II faut commencer par se bien dire à soi-même et par se bien convaincre que nous n'avons rien à faire dans ce monde qu'à nous y procurer des sensations et des sentiments agréables. Les moralistes qui disent aux hommes : réprimez vos passions, et maîtrisez vos désirs, si vous voulez être heureux, ne connaissent pas le chemin du bonheur. On n'est heureux que par des goûts et des passions satisfaites ; je dis des goûts, parce qu'on n'est pas toujours assez heureux pour avoir des passions, et qu'au

Pourquoi les sentiments existent? Ou plutôt pourquoi le bonheur existe t'il? Je pense avoir trouver la réponse a cette question. Elle est peut être complexe et débile en sois mais la réponse vous paraitre sûrement aussi débile. Mais après multiples réflexion elle m'apparaît comme une évidence. Il faut pour comprendre le bonheur aller chercher plus loin, plus profondément, les autres sentiments. Puisque tout dans notre vie est liée alors réfléchissons dans se sens. La vie n'es pas faite que de bonheur

La morale La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective. Ces principes varient selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société. Ils ont souvent pour origine ce qui est positif pour la survie de l'ethnie, du peuple, de la société. On distingue en général deux grandes conceptions

Chacun d’entre nous se débrouille à sa façon, et vie à sa façon pour obtenir le bonheur. Cependant, si nous vivons pour atteindre le bonheur, une fois atteint, que se passe-t-il ? La vie aurait-elle un sens sans la poursuite du bonheur ? Nos actions étant des moyens à y parvenir, n’aurait plus de sens si nous l’avions dans nos mains. Notre philosophie, notre intelligence ne serait plus nécessaire si nous avons trouvé ce que nous cherchions. Nous n’aurons plus de fins à poursuivre puisque nous avons

l'absence de douleur ; par "malheur" la douleur et la privation de plaisir. " Comment définir le " bonheur du plus grand nombre " ? C'est ici que les théories de Bentham et de Mill divergent. Bentham considère que le bonheur est lié à la quantité de plaisir. Il en a donc une conception quantitative, arithmétique. Pour Mill, au contraire, ce qui importe est la qualité des plaisirs. Par exemple, les plaisirs de l'esprit sont plus importants que ceux du corps. Mieux vaut, par exemple, être un Socrate