Arret Caraslanis 1955

DROIT INTERNATIONAL PRIVE Droit international privé, Sirey éd 2011 Les grands arrêts de la jurisprudence internationale privée éd 2006 Quelles sont les sources du DIP ? On distingue habituellement la loi, la jurisprudence, les sources informelles, la doctrine et les sources internationales. * La loi La loi, au sens de source écrite, joue un rôle tout à fait réduit en DIP. Le DIP est essentiellement jurisprudentiel. Le Cciv de 1804 ne contenait qu’un seul texte relatif au DIP (art

DROIT INTERNATIONAL PRIVE BIBLIO : Pierre Mayer et Vincent Heuzé, Ed Montchrétien Bernard Audit et Louis d'Avaut Economica Dominique Bureau et Horacia Muir Watt, Tome 1 ; Ed PUF Les grands arrêts de la jurisprudence française de droit international privé, Ancel Bertrand, Lequette Yves, Dalloz Encyclopédies juridiques : Le jurisclasseur de DI, et le répertoire Dalloz de DI QUELQUES PRECISIONS : Exemple : une épouse, mécontente de sa vie de couple, demande le divorce. DI privé : en amont

le CE disait que certains articles si. Ccass 2005: les articles 3 et 12 de la convention (intérêt de enfant et audition de l’enfant dans procédure qui le concerne) sont applicables directement.               b. Place des traité face à la loi   Arrêt Nicolo 1989 et Jacques Vabres et art 55 de la constitution. L’article ne s’applique qu’en cas d’incompatibilité de normes.     §2 Quelques difficultés d’application des traités internationaux               a. L’interprétation des traités =>

C’est une source majeure de notre droit. C’est la cour de cassation qui y joue un rôle phare et plus spécialement la 1ère chambre civile voire la chambre commerciale. Cette source n’est pas à l’abri de toute critique. Aujourd’hui la qualité des arrêts est plus variable qu’autrefois. Cela fait que, par cet aspect, le DIP français se rapproche du droit administratif. Il peut de ce fait se rapprocher de la common law en Angleterre. Du fait de ce rôle éminent des magistrats dans l’élaboration du

pas le droit français. On a assisté à une chute des applications du Cc (alors qu’on est fier de l’application de notre Cc). En 1948 la Cour de cassation a rendu un arrêt Patino du 21 juin 1948, elle décide que l’extranéité des parties n’est pas une cause d’incompétence des tribunaux français. Ce principe a été repris dans un arrêt de principe Scheffel du 30 octobre 1962. Section 2 = Les critères de compétence internationale directe des tribunaux français Il y a trois critères principaux =

notion de réciprocité (idée que véhicule l'article 11 du Code Civil). La jurisprudence a accomplit un pas considérable lorsque la Cour de cassation en 1948 a décidé que les étrangers devaient être en principe assimilés aux nationaux (« Arrêt Lefait »). Selon cet arrêt, les étrangers jouissent en France des droits qui ne leurs sont pas spécialement refusés. IL y a un renversement de perspective. A cela s'ajoute que les étrangers pour exercer leurs droits doivent pouvoir entrer et séjourner en France

traités. Dans l’arrêt Notebohn du 06/04/1955, la CIJ décide qu’un état ne saurait assumer la protection diplomatique d’un individu qu’il regarde comme son national quand le lien de nationalité est insuffisamment effectif. En matière de condition des étrangers, la cour a décidé que l’expropriation sans indemnités est contraire au droit commun international ce qui implique que les états ne sont pas libres de traiter comme ils veulent les étrangers (arrêt du 25/05/1926 relatif à l’expropriation d’une

mêmes faits On dit que les 2 premières questions relève d’instance directe et la 3ème, d’instance indirecte. PARTIE1 : Les règles spéciales de conflits de lois Livre de Dominique purot et D’Horacia ??? au puff en 2 volumes. Lire les grands arrêts de DIP Yves Lequet et Bertrand Hancel. Dans ttes relations privées, les individus st susceptibles d’être appréhendées de 3 façons : être, faire et avoir. Titre 1 : Les personnes, P On va étudier l’ensemble des règles de conflits applicables

s'impose aux juridictions frçses dès lors que la France est partie au traité instituant cette juridiction. La CIJ a rendu +r décisions intéressant le DIPr, notam. l'arrêt Notteböhm de 1955 [un allemand, avant la WW2, a acquis la nationalité du Liechteinstein, puis est parti s'installer au Guatemala où il a été arrêté et ses biens avaient été confisqués car cons. comme appartenant à l'ennemi: le Liechteinstein a voulu exercer la protection diplomatique. Le Guatemala s'y opposait => la CIJ a consacré

devenues apatrides. La France avait en Inde 5 comptoirs, avec la décolonisation ces 5 grandes villes ont été rendues à l'Inde, et il y a eu 2 traités entre la France et l'Inde pour la nationalité des habitants des 5 territoires. Et la même année, en 1955, il y a eu 2 autres traités, l'un avec le Vietnam et l'autre avec la Tunisie, c'est tout, donc pas de traité avec le Maroc, les pays subsahariens etc. 2) Les traités relatifs à la condition des étrangers : il y en a un certain nombre, davantage que