Arret Cour De Cass Donation

unilatéral suppose quand même un accord de volontés alors que l’acte juridique unilatéral il n’y a qu’une seule personne qui est concernée par sa rédaction. Ex : La donation est un contrat unilatéral qui ne crée d’obligations qu’à la charge de celui qui donne mais c’est quand même un contrat qui suppose que le bénéficiaire de la donation (le donataire) accepte le contrat. * Deuxième classification traditionnelle, art 1105 et 1106 qui distinguent les contrats à titre onéreux des contrats à titre

fiche d’arrêt :doc 1 : CASS CIV 1RE : 16DEC 2020 Elena UROSEVICLes faits Selon l'arrêt attaqué (Paris, 17 mai 2019), la société Blackdivine, éditrice du site de rencontres extra-conjugales en ligne www.gleeden.com, a fait la publicité de son site en 2015 sur les autobus, Ile-de-France par une campagne d'affichage. Saut de ligneProcédureLe 22 janvier 2015,le demandeur, la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC) a assigné la défendresse (la société Blackdivine)

pourra pas revenir en arrière. Engagement d’honneur : exécution dépend seulement de la loyauté des parties et s’interdisent à l’avance de saisir le juge. Les juges analysent souvent l’engagement d’honneur comme une source juridique. Chambre Co Cour de Cass : valeur obligatoire à un engagement moral. Les parties ne peuvent pas déclasser une obligation juridique en une obligation naturelle, le juge n’est pas lié par la qualification des parties. Toutes les obligations ne sont pas toutes semblables

première chambre civile de la Cour de cassation a, en l'espace de quelques années, inscrit dans notre droit la notion de créance d'assistance ((2)) . Il faut rappeler que la question n'est véritablement apparue qu'au cours des dix dernières années. En 1999, lors du 95e Congrès des notaires de France sur le thème « Demain, la famille », nos confrères ((3)) lorsqu'ils ont écrit leur rapport, ne disposaient pour forger leur réflexion et leur conviction, que d'un arrêt isolé datant de 1994. Pourtant

TD n°3 : Régimes matrimoniauxCommentaire d’arrêt  : Cass. civ. 1, 22 mai 2019, n° 18-16.666 La première Chambre civile de la Cour de cassation rend un arrêt de cassation en date du 22 mai 2019 (n°18-16.666). En l’espèce, la requérante s’est mariée sans contrat préalable en 2003. Son ex-mari, décédé au cours de la procédure de divorce engagée par son épouse, a, par acte du 8 mars 2012, fait donation à ses deux enfants issus d’un précédent mariage, de la nue-propriété de biens

membres de la police nationale avaient constitué un syndicat qui était issu du parti politique « front national ». Ce syndicat poursuivait un objectif politique fondé notamment sur un principe de discrimination au regard de la nationalité. La Cour de cassation a annulé ce contrat de syndicat sur le motif suivant3 : « un syndicat professionnel ne peut pas être fondé sur une cause ou en vue d'un objet illicite ; qu'il en résulte qu'il ne peut poursuivre des objectifs essentiellement politiques

Capitant des amis de la culture juridique française. L’intention libérale** 1. L’intention libérale est de l’essence même de la libéralité. Toute libéralité, donation ou testament, suppose la réunion d’un élément matériel et d’un élément moral, d’un appauvrissement sans contrepartie et d’une intention libérale. Pas de donation sans animus donandi, pas de testament sans animus testandi. Mais l’intention libérale a toujours été l’une des questions les plus délicates du droit des libéralités

libéralités résultant d’un contrat de société ne peuvent être annulés parcequ’ils constitueraient des donations déguisées lorsque les conditions en ont été réglés par un acte authentique. Mais, l’alinéa 2 de l’article 1099 CC a été abrogé en 2004 (loi du 26 mai 2004) à l’occasion de la réforme du divorce. Antérieurement à cette réforme, les Tribunaux requalifiaient le contrat de société en donation indirecte afin d’atténuer ce risque de nullité. Cette jurisprudence se trouve donc consacrée et la

mais deux familles. b) Les régimes matrimoniaux en vertu de l'art. 6 CC. La différence en RM c'est donc un champ de liberté plus large. Par exemple, en matière de libéralités on accorde des droits aux mineurs. Les mineurs peuvent se faire des donations dans un contrat de mariage et c'est lui-même qui le signe. Il s'agit d'un pacte sur une succession future que l'on ne retrouve nul par ailleurs. Les limites de l'art. 6 sont celles développées à l'art.: « 1388 Les époux ne peuvent déroger ni aux

. 4 Dans cette perspective, l’article 215 alinéa 3 du Code civil pose une règle de co-gestion ce qui signifie que les actes concernant le logement de la famille devront être passés d’un commun accord entre les époux. Selon un arrêt de la 1ère chambre civile de la Cour de cassation du 22 mars 1972, le logement de la famille correspond à la résidence, le lieu d’habitation effective de la famille et non du domicile. De fait, les résidences secondaires ne sont donc pas incluses dans cette notion