Arret Prefet De Police Contre Tgi De Paris

assignée) devant un tribunal de l’Ordre judiciaire conteste la compétence de ce tribunal au profit d’un tribunal de l’ordre administratif. Le Préfet peut alors déposer un déclinatoire de compétence dont le but est de dessaisir la juridiction judiciaire au profit d’une juridiction administrative. Si la juridiction judiciaire le rejette, le préfet prend un arrêté de conflit qui impose au tribunal judiciaire de surseoir à statuer (suspendre 5 le cours de l’instance) en attendant la décision du Tribunal

et le pouvoir de nomination va dans le même sens. La constitution reconnait un pouvoir de nomination au premier ministre. Il s’agit de l’article 21 alinéa 1 de la constitution et au président de la république. (Article 13) Ainsi étudié on se rend contre que la fonction administrative est fondamentalement exécutive. B) Les missions administratives Il s’agit ici de se focaliser sur les finalités de l’action administrative et en ce sens administrer renvois a deux choses : Rendre services au public

consacré la vie privée sociale, c'est-à-dire « le droit d’établir et d’entretenir des relations avec d’autres êtres humains notamment dans le domaine affectif pour le développement et l’accomplissement de sa propre personnalité », 13 mai 1976, CEDH, X contre Islande. L’article 8 de la CEDH consacre le libre épanouissement de la personnalité qui revient sur la liberté personnelle, al cour de cassation fait de même en considérant que les relations sentimentales font parties de la vie privée. En droit des

justice. 2- Les réglements et les arrêtés: - les ordonnances: visent des matières qui sont normalement réservées à la loi c'est une délégation de pouvoir temporaire du législatif à l'éxécutif. - Les décrets d'application pour savoir comment la loi s'applique. - les décrets autonomes visent des domaines qui ne sont réglées par la loi, qui ne relèvent pas des focntions de la loi - Les arrêtés : textes à portée générale ou individuelle qui émanent des ministres, ou préfets, ou maires.. 3 – La coutume et

qu’elles proviennent de lois, de codes, ou d’une coutume. Le terme « norme » désigne au sens large l’ensemble des règles obligatoires édictées par les autorités publiques : la Constitution, la législation, les ordonnances, décrets, règlements et arrêtés. La création des règles de droit relève, en principe, du Parlement, qui vote la loi mais quelques règles issues de la coutume et d’autres sont élaborées par la jurisprudence. Il y a les lois, règle de droit formulée par écrit établie par l’autorité

l’ordre donner par l’Etat aux autorités dont dépend la force publique de se mettre à la disposition de celle des partie qui veut faire exécuter le jugement, la formule est « la République mande et ordonne à tous huissier de justice de mettre cet arrêt (ou jugement) en exécution ». C. Les effets des jugements contentieux. Il y a deux effets principaux : _l’autorité de la chose jugée _la force exécutoire _L’autorité de la chose jugée, dès son

dire le droit, composé de juges. C’est un tribunal, une cour (cour européenne, cour d’appel, etc.). il faut inclure les formations arbitrales : un juge privé, désigné par les partis d’un commun accord. Il y a également les formations disciplinaires (contre les fraudeurs notamment). L’ensemble des tribunaux est un monde très vaste et très divers. Le juge qui nous intéresse le plus est celui qui sort de l’école nationale de magistrature, celui du Tribunal d’Etat. Ses pouvoirs sont plus étendus que ceux

irrépétibles - principalement frais d’avocat - ne peuvent être récupérés. En revanche, système de l’aide juridictionnelle pour personnes disposant de revenus insuffisants Principes généraux du procès collégialité : collège d’au moins 3 juges : rempart contre risques d’erreurs ou pressions. Sf : Conseil des Prud’hommes (4), juges uniques par tradition au T.I., juge de l’exécution et juges aff. familiales du T.G.I. … aujourd’hui, pour désengorger justice pratique multipliée. double degré de juridiction :

d’appel de Paris. Le conseil constitutionnel va estimer que le contentieux de l’annulation et de la réformation des décisions prises par les autorités administratives dans l’exercice de leurs prérogatives de puissance publique relève de la compétence des juridictions administratives. Ainsi seul le juge administratif peut annuler ou réformer un acte administratif. Cette règle a ensuite était complétée par le tribunal des conflits dans son arrêt du 12 mai 1997, préfet de police contre TGI de Paris : dans

(relation de commandement et d’obéissance). C’est un pouvoir contraignant au moyen de la force publique. C’est un pouvoir global qui s’applique à tous les membres de la communauté et peut porter sur tous les objets. - C’est un pouvoir limité par des contre-pouvoirs: Institutionnels(prévus dans les institutions); Politiques (partis politiques, presse) ; Sociaux (syndicat, etc.). 2- L’Etat : L’Etat est une collectivité politique et juridique. Il est à l’origine de toutes les règles existant sur son territoire