Arret Zielinski

Grèce, série A, n° 3°1 B), en énonçant que “le principe de la prééminence du droit et la 8 notion de procès équitable s’opposent à toute ingérence dans le but d’influer sur le dénouement judiciaire d’un litige”. Assouplissant sa position dans des arrêts ultérieurs, la Cour de Strasbourg a admis que “si en principe, le pouvoir législatif n’est pas empêché de réglementer en matière civile, par de nouvelles dispositions à portée rétroactive, des droits découlant de lois en vigueur, le principe de la

ainsi partie du bureau national du cartel de l'Union des forces démocratiques (UFD), mis sur pieds pour les législatives de novembre 1958 et qui rassemblait la gauche anti-communiste et anti-gaulliste. A l'âge de cinquante-trois ans, il meurt d'un arrêt cardiaque le soir du 3 mai 1961, assis à son bureau, où la Dioptrique de Descartes était encore ouverte[2]. Claude Lefort est l'exécuteur testamentaire de l'œuvre de Maurice Merleau-Ponty [3]. La rupture avec Sartre [modifier] Supportant difficilement

droits et obligations pour les particuliers (effet direct). Cf. arrêt Van Gend et Loos, CJCE, 05/02/1963 : « le droit communautaire, (...) de même qu’il crée des charges dans le chef des particuliers, est aussi destiné à engendrer des droits qui entrent dans leur patrimoine juridique ». - La norme de droit communautaire prend place dans l’ordre juridique interne avec rang de priorité sur toute norme nationale (primauté). Cf. Arrêt Costa, CJCE, 17/07/1964 : « les traités européens ont institué un

: – La notion de procès équitable « s’oppose à toute ingérence du pouvoir législatif dans l’administration de la justice dans le but d’influencer le dénouement judiciaire d’un litige ou de priver les requérants de leurs créances » (CEDH 8.10.99 Zielinski et Pradal c/France). La Cour de Cassation admet la validité des lois rétroactives en présence d’un impérieux motif d’intérêt général. Exemple : Une loi (12.04.96) qui a régularisé rétroactivement les CBI souscrits sans la remise préalable aux emprunteurs

législatif qu’appartient le pouvoir de créer des règles de droit, c’est à dire des règles de droits générales, impersonnelles, obligatoires et coercitives dans les limites de l’article 34 de la Constitution. L’article 5 du Code civil interdit les «  arrêts de règlement ». Il est ainsi défendu aux juges de statuer par voie de dispositions générales et règlementaires sur les causes qui leur sont soumises. Le juge français applique une règle de droit préexistante (loi ou coutume) mais il ne la crée pas

analysant les moyens invoqués, indiquant les principes applicables et répondant à la requête, un dispositif final divisé en articles énonçant la solution adoptée. Le Conseil constitutionnel ne publie pas les opinions dissidentes. Sur le modèle des arrêts du Conseil d'État, la décision est formée d'une seule phrase structurée en quatre parties : * la saisine comprend le nom et la qualité des requérants, la date et l'identification du texte déféré ; * les visas ("VU...") indiquent les textes

DROIT ADMINISTRATIF : le 8 octobre absent 17/09/2012 indispensable : grands arrêts de la JP admin ( décisions clés) introduction : qu’est ce que le DA ? c’est une composante du droit public , le droit public :c’est l’ensemble des regles relatives a l’organisation au fonctionnement et aux relations de l’Etat et des autres personnes publiques . le drt admi est forme des regles qui s’appliquent a l’activite admi des personnes publiques , l’activite admi : consiste aux services ou prestations

lois). Les droits subjectifs (prérogatives que la loi accorde aux hommes → je peux demander réparation pour un préjudice). Les tribunaux (1ere instance) rendent des jugements, la cour de cassassions (dernière instance, divisée en chambres) rend des arrêts. Interjeter appel. Ces deux visions sont complémentaires, car les droits subjectifs ne peuvent pas exister sans le droit objectif. Les droits subjectifs représentent les prérogatives que le droit objectif accorde aux individus. THEME 1 : La

du 23 juillet 2008, Loi de modernisation des institutions de la Ve République, JO du 24 juillet 2008, p. 11890. 6. D. Rousseau, op. cit., p. 638. 7. CEDH, 23 juin 1993, Ruiz-Matéos c/Espagne ; cette Revue, 1994, p. 175, obs. G. CohenJonathan. Cet arrêt met fin aux incertitudes qui avaient pu naître de ses décisions précédentes : CEDH, 29 mai 1986, Deumeland c/Allemagne ; CEDH, 29 mars 1989, Bock c/Allemagne. 8. CEDH, 16 septembre 1996, Süssmann c/Allemagne. Document téléchargé depuis www.cairn

relations avec ses administrés. En Ang l’administration est soumise aux mêmes règles qu’aux particuliers sauf dérogation. Les règles du droit commun lui sont applicables. Idem dans un certain nombre d’autres pays. En France on a refusé cela. Par un arrêt du tribunal des conflits dit Blanco en 1873 (dommages et intérêts du ressort de l’administratif) a décidé que les règles du droit civil n’étaient pas adaptées à l’action de l’administration. Mais à l’époque il n’y avait pas de recueil de règles. Ce