Arrêt Koné

internationaux au motif que la supériorité établie par l’article 55 de la constitution n’a qu’un « caractère contingent et relatif » puisqu’elle est subordonnée a une condition d’application réciproque du traité par les parties. Il suffit qu’une des partie arrête de respecter le traité pour qu’il n’existe plus pour l’autre et dans cette hypothèse, si le Conseil Constitutionnel avait accepté d’opérer un contrôle des lois auraient ainsi étés invalidé pour rien, le traité n’existant même plus. Il s’est donc refusé

codifié. C’est le juge qui a été chargé d’établir ses règles, c’est pour cela que c’est un droit très jurisprudentiel. C’est donc les décisions des juges, deux doyens HAURIOU et DUGUIT ont structuré la jurisprudence. Les règles sont souvent liées à un arrêt, que l’on doit citer. Le 17 février 1950, Assemblée Lamotte. 1ère PARTIE : L’objet du droit administratif : l’encadrement juridique de l’administration. Le droit administratif est un élément de l’Etat de droit, c’est un droit de la légalité.

les places respectives du traité et de la Constitution dans la hiérarchie des normes. Cependant, aujourd’hui il est souvent confronté à cette opposition, il a du progressivement, répondre à la question. La première réponse s’est trouvée dans l’arrêt Koné du 3 juillet 1996 où le Conseil d’Etat a fait prévaloir un principe constitutionnel sur un traité, cependant il est très prudent et cela ne signifie pas qu’il ait posé la suprématie de la Constitution. Deux après, il se montre un peu plus clair dans

votée par le Parlement, qui s’impose aux règlements, normes de portée générale dont l’adoption relève du pouvoir exécutif. Parmi ces règlements, les décrets en Conseil d’État priment les décrets simples, qui ont eux-mêmes une valeur supérieure aux arrêtés. Enfin, les décisions administratives individuelles doivent être conformes à l’ensemble des textes de portée générale, qui leur sont supérieurs. Le droit international, issu principalement des traités dont la France est signataire, et le droit communautaire

DA. = règles normatives ou constructives. Dugguy essaie de trouver un fondement juridique au modèle qu’il propose. Pour cela, il va faire ressortir de l’oublie, l’arrêt Blanco, Tribunal des conflits 8 février 1873, il va tirer des arguments de cet arrêt. Le préfet conteste la compétence du juge judiciaire. Le tribunal des conflits a rendu sa décision dans lequel il désigne le juge ad comme compétent, il dit en l’espèce que la responsabilité de l’état qui peut incombé à l’état pour les dommages imposé

partir de cette constitution de 1946 que l’on passe du modèle dualiste au moniste. Art 28 les traités et accords internationaux ont une autorité supérieure à celle des normes internes. Le juge administratif va faire application de l’art 28 dans un arrêt célèbre : conseil d’état 30/05/1952 Dame KIRKWOOD histoire d’extradition. Le juge soumet la loi antérieure au traité. B) La spécificité du droit communautaire et de la convention européenne des droits de l’homme D’une part la CJCE estime que

été mentionné dans certains arrêts, notamment l'arrêt Arrighi du Conseil d'Etat et l'arrêt Pollin de la cour de cassation de 1833 qui affirmaient alors qu'il n'existait pas de conseil constitutionnel, que ces juridictions n'étaient pas compétentes pour ce type de contrôle. Cependant cette particularité du contrôle a priori de la loi en France a posé quelques difficultés, en effet il existe à ce jour une exception au principe du contrôle a priori résultant d'un arrêt célèbre , l'arrêt « état d'urgence

1996 instituait une contribution exceptionnelle assise sur le chiffre d’affaires réalisé en France au cours de l’année 1995 par les laboratoires pharma- 12 Diplôme - Octobre 2002 ceutiques. Le Conseil d’État a annulé cette disposition dans un arrêt du 15 octobre 1999, Société Baxter. Pour éviter un manque à gagner évident subi par la Sécurité Sociale, l’article 30 de la loi du 29 décembre 1999 de financement de la Sécurité Sociale pour 2000 a décidé qu’une contribution exceptionnelle, assise

PFRLR : lors de la décision ADOPI le CC a consacré le ppe liberté d’accéder à internet qui découle liberté de communication. Un nouveau droit. Dans la jurisprudence du CE et de la CCass : des droits et libertés constitutionnelles, arrêt du CE du 3 juillet 1996 – Koné : a dégagé un PFRLR interdisant l’extradition dans un but politique, Depuis 1996, jurisprudence de la CCass sur la liberté constitutionnelle du travail : constitutionnelle donc opposable à la loi. Les normes de références exclues :

sous le registre de commerce N°RC 241567. Société informatique à responsabilité limité avec un capital de 30.000.000 de FCFA. CIBI est situé aux 2 plateaux (aghien) Las palmas derrière la station Shell. Elle a vu le jour le 2 juin 1999 dont M.ISSIAKA KONE est le Directeur Général. Plusieurs raisons l’ont motivé dans la mise en place de l’entreprise, parmi elles on peut citer : son insertion personnelle dans le tissu économique de la Côte d’Ivoire, sa volonté de créer des emplois et se rendre plus utile