Arrêt Mestres Et Fages

préc Ass. plén. Bull. civ. CA Cass. CCC D. D. aff. Defrénois dir. Dr. et patr. Gaz. Pal. JCP JCP E JCP N LPA n. obs. op. cit. par ex. RDC Rép. civ. Dalloz Req RTD civ. s. th. préc vol. alinéa article article précité Assemblée plénière Bulletin des arrêts de la Cour de Cassation (chambres civiles), Paris Cour d’appel Cassation Contrats, concurrence, consommation, édition du Juris-classeur. Recueil Dalloz, Paris Dalloz affaires, Paris Répertoire Defrénois, Paris Sous la direction de (ouvrage collectif)

PME[80] en l’occurrence les SARL dont le capital social serait égal ou supérieur à 20.000 dinars[81], il en est de même pour celles dont le chiffre d’affaires ou le capital, durant les trois exercices comptables successifs, dépasse un montant fixé par arrêté du ministre chargé des finances[82]. Ce recours aux commissaires présente un avantage considérable dans la mesure où le défaut de régularité, de sincérité et de diligence emporte leur responsabilité pénale[83]. Le pourvoyeur de fonds doit s’assurer

cassation, cette technique contractuelle existe depuis bien longtemps en pratique, et déjà avant l’arrêt de la Chambre Commerciale, la question de sa nature avait pu se poser. En effet, la première Chambre Civile de la Cour de Cassation dans un arrêt en date du 25 janvier 2005, avait vu dans l’engagement du porte-fort un engagement « personnel autonome »7. La promesse portait ici sur l’exécution d’un engagement de caution. Il convient donc de se demander ce qu’implique le fait que l’engagement

8470, note J. Savatier), les syndics et administrateurs judiciaires (Cass. 1re civ., 20 mars 1984 : Gaz. Pal. 1984, 2, pan. jurispr. p. 166, note J. Dupichot ; D. 1986, p. 189 à 193, note D. Carbonnier ; RTD civ. 1987, p. 93, obs. J. Mestre ; À dire vrai, dans cet arrêt, la solution consiste moins dans l'incessibilité de la clientèle, car les syndics et administrateurs judiciaires n'en ont pas, que dans l'incessibilité des mandats de justice dont ils sont investis pour l'exercice de leurs missions

aux opérateurs économiques une obligation de loyauté n'est-elle pas, à l'heure de la mondialisation, de nature à inquiéter ces derniers et à les inciter à se tourner vers d'autres pays et d'autres législations plus « pragmatiques » Contra ( , J. Mestre. –Gaz. Pal. 24 mai 2012, n° 145, p. 6 , Gaz. Pal. 2000, n° 340, p. 4 pour qui « la mondialisation impose des règles communes aux États basées sur une éthique mondiale dont la loyauté fait partie » .B. Feugère ) À rebours d'une telle approche, le

l’article 306 du Code de procédure civile que les personnes morales de droit public, et partant les EPIC, ont la faculté de recourir à l’arbitrage dans une telle occurrence. Si la solution n’est pas nouvelle, puisqu’elle avait été affirmé par un arrêt ancien (Cour d’appel de Rabat, 24 octobre 1962, Revue marocaine de droit, juillet 1962, p. 322), elle a été confirmée avec force dans l’affaire Office national du thé et du sucre marocain (ONTS) c/ Philippines Sugar Company Ltd en 1983, ainsi que l’a

Majoration de salaire (non) – Montant – Durée d’exécution du contrat Cass. soc., 21 févr. 2008, n° 07-40.520, D ; Cass. soc., 5 mars 2008, n° 06-44.813, D ; Cass. soc., 11 mars 2008, n° 06-43.910, D ; Cass. soc., 27 mars 2008, n° 06-45.752, D. Par un arrêt du 7 mars 2007 commentée dans cette précédente chronique (cf. RLDA 2008/23, n° 1423, spéc. p. 73, obs. Bourdeau M.), la chambre sociale avait, pour la première fois, adopté la solution que « la contre- partie financière de la clause de non- concurrence

cause l’ancienne obligation naturelle. Pendant longtemps la jurisprudence a vu une novation dans la promesse d’exécuter une obligation naturelle. Arrêt Civil 1er, 10 octobre 1995, Bulletin ccass 352, dalloz 1996, p120. Il y a deux applications en dehors du domaine habituel : Arrêt 22 juin 2004dalloz 2004, p 2953 (sous le visa de l’art 1271 cciv). Arrêt 4 janvier 2005, p1385 (théorie de l’engagement unilatéral). A) Classification fondée sur l’objet de l’obligation 1) Obligation de donner

; D. 2004.1108, note P.-Y. GAUTIER ; RDC 2004.699, obs. G. LARDEUX ; 791, obs. A. MARAIS.  Les revirements de jurisprudence :  Document 8 : Cass. 1re civ. 9 octobre 2001, Bull. I n° 249 ; RTDCiv. 2002.176, obs. R. LIBCHABER ; 507, obs. J. MESTRE et B. FAGES ; Revue juridique Personnes et famille, janvier 2002, p. 21-22, note F. CHABAS ; D. 2001, p. 3470, rapport P. SARGOS et note D. THOUVENIN ; JCP 2002.II.10045, note O. CACHARD.  Document 9 : Cass. 2e civ. 8 juillet 2004, Bull. II n° 387.  Document

ainsi interprété, une obligation générale de déterminabilité du prix dans tous les contrats à titre de validité. Particulièrement critiquée, cette position a finalement été abandonnée par les arrêts retentissants rendus en Assemblée plénière en 1995 (document n°1). Document n°1 : AP., 1er décembre1995 (4 arrêts), JCP.1995.II.22565 ccl Jéol, note J. Ghestin ; JCP. 1996 ed.E. II. 776 note L. Leveneur ; D. 1996. 13, ccl Jéol, note L. Aynès ; Petites aff. 27 décembre 1995 n°155 p 11 D. Bureau et N. Molfessis