Art grotesque

donc pas limiter l’art qu’à une simple imitation du réel. Il est cependant difficile de créer sans se référer à une quelconque réalité. Toute création artistique est dans bien des cas influencée par notre quotidien et donc par le réel. Peut-on appeler art la représentation d’une chose qui existe déjà ? Ou bien l’innovation est-elle primordiale lors de la création artistique ? et d’une manière plus générale, quelle place occupe l’imitation dans l’art ? Pour répondre à cette interrogation, nous nous

siècle). Honnête homme : Homme du monde, agréable et distingué par les manières comme par lʼesprit. Voyeurisme : curiosité malsaine. Incongru : Qui nʼest pas convenable. Sophistiqué : Frelaté. Trublion : Facteur de troubles. Vergogne : Honte. Entregent : Art de se conduire parmi les gens. Phagocyter : Absorber et détruire. Circonvenir : Agir sur quelquʼun avec ruse et artifice, pour obtenir ce que lʼon souhaite. Parasite : Personne qui dépend des autres alors quʼelle pourrait travailler. Dissolu : Qui vit

 médiévales de la société féodale ne sont pas tout à fait mortes, et où les temps modernes de la Renaissance esthétique sont en train d’éclore. Théophile Gautier a cultivé des ses premiers années l’amour de l’art pour l’art (l’art est utile parce qu’il est art; rien n’importe si ce n’est l’art). Gautier a écrit dans la préface de Mademoiselle de Maupin: ‘Il n’y a pas de vraiment beau que ce qui ne peut servir a rien; tout ce qui est utile est laid.’ Il exprime cette primauté de la poésie dans un poème d’Emaux

interprétation et réception très profonde. Dans la musique c’est l’émotion qui prime. Ce n’est n’est pas un hasard si le thème principal de la chanson populaire est l’amour. La musique est indissociable de l’affectif, de la relation à l’autre. La musique est un art très communicatif, très social. Elle procure un plaisir qui est d’ailleurs ambivalent et qui consiste à être en soi et en même temps hors de soi, donc en dehors de la réalité quotidienne. Mais la musique peut également être le support et l’expression

chose. Dans ce cas-ci, il semble être tourné en direction des flammes. L'air de son visage, avec sa bouche souriante et ses yeux fermés, témoigne du fait qu'il approuve le désastre/ qui est en train de se produire devant lui, ce qui est plutôt grotesque venant de la part d'un personnage religieux. On se moque ici de façon évidente de la religion, en la montrant comme si elle prônait la déchéance du pays. On remarque donc que Grosz désapprouve clairement le comportement/ de l'église face à un tel

s’est glissé dans le chat, alors il le tue ! Il veut assassiner Thérèse de peur qu’elle ne le dénonce (ce serait se dénoncer elle-même). Et il finit par se tuer. Sa folie n’a qu’un aspect positif : elle le rend artiste, mais il n’est pas maître de son art, c’est un artiste incomplet (toute comme son Identité est incomplète car il n’a qu’un prénom). Le personnage de Laurent correspond plus que celui de Thérèse au projet initial de Zola (peindre un tempérament), mais il est moins intéressant, d’où le choix

son influence. Gauguin ne séjourna lui-même qu'entre 1886 et 1888 puis en 1889-1890. Ce groupe s'inspire des estampes ______________, de l'art populaire et du Moyen-Âge (vitrail, sculpture). Ils évoquent une foi religieuse ancestrale et magique. Leur art se caractérise à la fois par ________________________________________________________ et par _____________________________________________________________________________. Leur style repose sur deux méthodes : - le _________________________ qui consiste

plus importante est dite du romantisme d’Iéna de 1797 à 1801. Elle s’organise notamment autour des frères Schlegel et de la revue Athenäum. Pour les auteurs d’Iéna, l’œuvre romantique mêlait la représentation naïve à la représentation réfléchie, tout art dans devait être analysé et/ou remis en question. La deuxième période est celle du romantisme d’Heidelberg (également appelé Hochromantik), « Heidelberg » du nom d’un des deux grands cercles de ce mouvement de 1804 à 1809 (le deuxième cercle d’artiste

mais aussi d'images amusantes, de double sens... XLE COMIQUE DE CARACTERE : le comique réside dans la personnalité, les manières, le phrasé, les défauts et les manies des personnages. LE BURLESQUE : est un art du décalage qui consiste à adopter un ton grotesque pour une situation dramatique, ou l'inverse. Le sens au mot a évolué au cours des époques et selon les arts concernés. LA PARODIE : est une forme d'humour qui utilise le cadre, les personnages, les expressions et le

mouvement ne deviendra politique qu'un peu plus tard, mais les définitions que l'on trouve de l'adjectif dès la fin du XVIIIème siècle s'accordent à repérer dans l'esprit nouveau une recherche de l'identité nationale et un souci de donner aux peuples un art qui reflète leur âme et leurs traditions. Stendhal écrit ainsi : «Le romanticisme est l'art de présenter aux peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de