Article 17 Ddhc

apparaît être réagissant contre la Révolution en y mettant un terme ; mais de l'autre, sa vocation principale serait de consolider la Révolution par la loi. Le code Napoléon, un complémentaire civil du DDHC : Le code civil constitue un complément de la DDHC de 1789 qui est plutôt d’une tendance public, et que l'aspect privé sera donc complété par le code civil. La nature du droit : Les sources du droit : Précisément, le Code

répresentat°. Représentant du tiers Etat se constitue seul à l’Assemblé Nationale, (491 pour et 90 voix contre sur une mention de Cayes ( un juriste) Seul contre ts les autres cela revient à admettre que le tiers Etat représente seul la Nation Française. 17 juin 1789 : Créat° d’une Assemblé Nationale (constituante) 1er acte de rébellion aire par cette déclarat° de Bailly (astronaume) . Seul la royauté percevait des impôts, pvr fiscal l’Assemblé Nat décrète que les impôts sont suspendus. 20 juin 89 :

dimensions. Elle vise d’abord la liberté individuelle de défendre ses droits et ses intérêts par l’adhésion au syndicat de son choix. Elle vise également la liberté collective de créer un syndicat professionnel. Alors que la loi Le Chapelier des 14 et 17 juin 1791 avait prohibé tout groupement professionnel, la loi du 21 mars 1884 reconnaît expressément la liberté syndicale. Celle-ci fut pleinement consacrée par l’alinéa 6 du Préambule de la Constitution de 1946 qui énonce que « tout homme peut défendre

obligations 2 manières: – d'après leur objet, leur contenu (ce à quoi l'obligation engage) – d'après leur source A) Classification d'après l'objet: a) obligation de donner, de faire ou de ne pas faire = Classification du code civil article 1101: contrat est une convention par laquelle une ou plsr prs s'obligent envers une ou plsr autres prs à donner à faire ou à ne pas faire quelque chose • obligation de donner: Transférer la propriété. Doctrine remet en cause l'existence de cette

morceau de plusieurs Etats. Exemple : les Kurdes qui sont à peu près 20 millions dispersés en Turquie, en Irak, en Iran et en Arménie. Pour les révolutionnaires français, la nation est une idée décisive car elle possède des droits. * Article 3 de la DDHC (Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen) : la souveraineté réside dans la nation. Le pouvoir politique n'appartient pas aux individus seuls mais à toute la nation ». * Est-ce que la nation préexiste à l'Etat ? Est-ce que c'est

sur les traités et les lois ordinaires sont facultatifs. Son contrôle a progressé de divers moyens ; les normes auxquelles il se réfère pour apprécier la constitutionnalité des lois/traités sont d'abord les normes de valeurs constitutionnelles (article de la constitution + son préambule). Le CC a procédé à une extension de ces normes de références puisqu'il était parfaitement normal que dès sa création il puise contrôler la constitutionnalité des lois au regards des droits de l'homme contenu dans

aucune définition légale ou jurisprudentielle des libertés fondamentales. La liberté c’est le fait de pouvoir agir selon sa propre volonté ; en l’absence de contrainte. La liberté des uns suppose le respect de la liberté d’autrui. L’article 4 de la DDHC dispose que la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qu’il ne nuit pas à autrui. Une liberté est dite publique dès le moment qu’elle est acceptée par la puissance publique. Le rôle de la puissance publique peut être variable, il comprend donc

qu'il s'agisse des impôts tels que la TVA ou l'IS, ou même de l'IR. La TVA ne prend pas en compte les capacités contributives, c'est un impôt indirect, elle est déconnectée de la personne même du contribuable. B) Fonction de l'impôt Art 13 DDHC de 1789, « pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses de l'administration, une contribution commune est indispensable ». va permettre d'exercer des politiques publiques. L'impôt sert aussi à exprimer des politiques. Partie 1 :

Cependant, c’est en 1986 que cette approche, niant tout de droit de propriété publique, est remise en cause par le Conseil Constitutionnel. Ce dernier va se baser sur l’article 17 de la DDHC qui énonce que « la propriété est un droit inviolable », « que nul ne peut en être privé ». D’après le Conseil constitutionnel, cet article est valable pour la propriété de l’Etat et pas seulement pour la propriété des personnes publiques. Parmi les grands auteurs de la doctrine se pose alors la question de savoir

affdirmé à la fin du 18ème s Cette affirmation de la séparation autorité admi et judici elles découlent : a) d’une interprétation extrêmement particulières : interprétation du principe de Montesquieu, celle de la séparation des pouvoirs, articles 16 DDHC. C’est l’interpretation française de la SPD qui conduit à affirmer un principe : le principe de la séparation des autorités admi et judici. Pour les révolutionnaires il s’agit avant tout d’assurer une limitation du pouvoir judiciaire : limitation