Aspects Negatifs Des Firmes Multinationales

activités dans le contexte actuel de mondialisation. Il faut également souligner que la plupart des grandes entreprises présentes au Cameroun sont soit des entreprises privées propriétés des investisseurs étrangers, soit des filiales des grandes firmes multinationales. Les PME sont les véritables entreprises de propriété camerounaise. Elles participent ainsi à l'amélioration des conditions de vie des populations, tant dans les villes que dans les campagnes, en absorbant une grande partie de la main d'oeuvre

l‘étranger et des accords classique avec des rapports clients /fournisseurs ou vendeur /acheteur : licence, sous traitance ,accords de production ect. Les coopérations inter-organisationnelles connaissent un essor à la fois en termes de pratiques des firmes et en matière de recherche académique en management. Certains auteurs n‘hésitent pas à qualifier la phase actuelle de l‘évolution de l‘économie mondiale de « capitalisme d’alliances » (Narula, Dunnig, 1999). « En cette période marquée par la mondialisation

et près de 10 % aujourd’hui. De même, la multiplication des fusions et acquisitions 3 Approche internationale et flux d’échanges Cours M. Sané 2011 transfrontalières traduit un mouvement de restructuration à l’échelle mondiale des grandes firmes industrielles, financières et de services. Ce mouvement n’aurait pas pris une telle ampleur sans un contexte politique favorable au libre-échange et à la déréglementation. Ainsi, la multiplication des fusions dans le domaine des services de réseaux

entreprises ? Il y a d'abord eu un phénomène de concentration des entreprises dans le cadre d'une économie capitaliste (entreprises privées en concurrence) ; la concurrence entraîne des faillites. Michelin n'a cessé de s'étendre jusqu'à devenir une multinationale : aujourd'hui, l'entreprise est présente dans 19 pays. Pour désigner ces entreprises géantes, on parle de "trust" aux Etats-Unis. Des entreprises plus grandes ont des possibilités d'investissement plus larges : ce sont dans ces grandes entreprises

manufacturés en trois catégories : les biens de consommation traditionnels (textile), les biens de consommation intermédiaires achetés par les entreprises pour produire et, enfin, les biens d’équipement qui sont destinés soit à l’investissement des firmes, soit à l’équipement des ménages. Cette dernière catégorie ne cesse de croître pour atteindre 33% en 1937. Et le rôle spécifique de ces biens détermine le partage entre les nations dominantes (qui les exportent) et les nations dominées (qui les importent)

LES ENJEUX DU DEVELOPPEMENT EN AFRIQUE Certains ont une vision positive de l’Afrique en disant que c’est un espoir de développement, d’autres sont plus négatifs à cause des guerres civiles, dictatures… Une Afrique qui se meurt Stephen Smith I) Le retard africain ? A) Un retard certain 1° Une marginalisation qui s’accentue Les chiffres du revenu national par habitant, de l’IDH, de l’espérance de vie sont catastrophiques. 1970 : PNB de 14% de celui des pays

divisé en deux courants principaux : 1) les approches comparatives des pratiques de GRH et 2) la gestion de la mobilité internationale des salariés. Les approches comparatives des pratiques de GRH regroupent les recherches qui comparent différents aspects de la fonction ressources humaines dans différents pays. Souvent, ces études comparatives des pratiques de GRH “constatent les différences mais disent peu de choses sur leurs origines”comme le souligne Cazal (1998, p. 411). L’auteur précise que ces

cette section nous aident à mieux comprendre l’état actuel du commerce multilatéral, ils ne sont pas suffisants. La théorie traditionnelle et les débats dans les cycles du GATT ne sont plus très pertinents car ils n’ont pas pu prévoir l’évolution des aspects fondamentaux du commerce international. Comme l’a dit Serge Devos, « La réalité a été plus rapide que la théorie » (Devos, 1997, p738).  On voit que la réalité et la donne ont changé. Par exemple, un tarif NPF de zéro pourcent est déjà appliqué à

l’autre pour produire à meilleurs coûts (IDE verticaux)2. Bloningen (2005) rajoute une troisième catégorie d’IDE de plate-forme dont l’objectif est de constituer une étape dans un réseau transnational de production-assemblage et donc d’échanges intra-firmes. Dans le premier cas, selon la vision traditionnelle des échanges internationaux [Mundell, 1957]3, l’implantation – la mobilité du capital – se substitue aux exportations – la mobilité des marchandises – car l’entreprise désire contourner des barrières

Page0 Plan Introduction générale PREMIERE PARTIE : Analyses théorique localisation des entreprises des choix de I- Les théories de la localisation des firmes I-1Thünen et la localisation des activités agricoles I-2. Alfred Weber et la localisation industrielle I-3 Hotelling I-4 La théorie des lieux centraux de Christaller et de Lösch II- les modèles de localisation des entreprises au milieu urbain II.1. Les modèles d’économie urbaine II.2. Les modèles d’économie géographique