Assertion

téléspectateurs? g) Être illettré/ e signifie être dominé/e. explique cette assertion à la lumière du texte. h) Pourquoi la télé (ou le cinéma) ne remplacera jamais un bon livre selon l’auteur/e? i) Comment convaincre les jeunes gens que la lecture n’est pas toujours assommante? Quelle gradation devraient-ils suivre dans leurs lectures? j) « la littérature nous aide à composer l’histoire de notre vie.» explique cette assertion à l’aide du texte. k) Quel est le but premier de la lecture ?

La problématique est la question juridique soulevée par le sujet. Tous les types d’exercice exigent de l’analyse critique et de la synthèse, en aucun cas de la simple érudition. Les approximations et les anachronismes sont à proscrire. Toute assertion doit être argumentée. Les plans « thèse, antithèse, synthèse » ne sont pas analytiques : nous passons directement à la synthèse et le plan est défini par les arguments de la réponse à la problématique. éviter les plans chronologiques. étayer

L'approximative rigueur de l'anthropologie Un texte anthropologique ou sociologique se doit d'être rigoureux, sinon nous renonçons à toute prétention scientifique, et se situe pourtant dans un registre de l'approximation, car la véridicité de nos assertions ne peut se prétendre vérité et relève plutôt de la plausibilité. Cette fatalité de l'approximation rend le texte anthropologique d'autant plus vulnérable aux biais interprétatifs et aux dérives idéologiques. Dans le cas d'une science sociale empirique

de l’homme. » Livre I de L’Emile ou de L’éducation. -Vous réagirez à cette assertion à l’aune de la lecture que vous avez faite de La Profession de foi du Vicaire savoyard de J.J.Rousseau. Plan : I- L’homme : de l’état de nature à l’état social II- La théodicée de Jean Jacques Rousseau III- La morale ou la thérapie du mal Dans son célèbre traité sur les Passions de l’âme(1649), Descartes émet cette assertion significative en relation étroite avec les penchants humains : « C’est d’elles

lampe sont réels) et la vérité qui est une valeur qui concerne un jugement. Ainsi le jugement : « ce cahier est vert » est un jugement vrai ou bien un jugement faux. La vérité ou la fausseté qualifient donc non l'objet lui-même mais la valeur de mon assertion. La philosophie, parce qu'elle recherche la vérité, pose le problème de ses conditions d'accès et des critères du jugement vrai. Pour la plupart des personnes, le doute remet en question la vérité et serait donc le contraire de la vérité

« si hardi » : assimiler la question à une question rhétorique qui équivaut à une affirmation car le Loup n’attend pas réponse. Il passe directement à la condamnation, sans procès (v.9). De plus, le vers 18 « Tu la troubles » est une assertion péremptoire, en effet le loup ne la justifie pas. Vers 19 : l’importance du vers repose sur le verbe « médire » : propos diffament. Il évoque un préjudice moral et il ne fournit pas de preuve. Il a recours au faux témoignage. Vers 22 : « si ce n’est

Distribution des fonctions dans le dialogue Parodie de dialogue entre maître et disciple. La poularde ignore et le chapon informe. On a une distribution des modalités: -pour l’élève des exclamations et des interrogation . - Pour le maître des assertions et des affirmations. àDistribution dans le texte des tons. D’un côté effroi, incrédibilité, de l’autre un raisonnement posé. Chaque indignation de la poularde va être l’occasion d’une nouvelle information. Le texte avance en soulignant le scandale

Acte III, scène 2 : La scène du pauvre Après avoir affirmé, dans la scène précédente, que « deux et deux sont quatre… et que quatre et quatre sont huit » –assertion rationaliste énonçant ici sa seule croyance, Dom Juan est amené à faire la preuve de son impiété face aux hommes. I. La structure de la scène. A. Un dialogue simple - Texte très court, composée de courtes répliques. Échange anodin entre seigneur qui cherche son chemin/pauvre qui renseigne. - Tutoiement de DJ (alors que S vouvoie

de "tout fait".) 2. Particularités de l’énonciation Vocabulaire : emprunts au champ lexical du vêtement. Relations logiques : la première phrase constitue la conclusion logique à tirer de la seconde, qui a valeur de justification. Style : assertion catégorique et péremptoire propre au moraliste. 3. Thème central Le bonheur (personnel). 4. Reformulation de l’énoncé Selon Gide, le bonheur répond pour chacun à des critères personnels ; il ne peut donc être transmissible ; par conséquent

concept opposé. I- Un texte normatif 1 Montaigne donne des conseils. * -justifiés par les conseils de personnages antiques (arguments d'autorité) : Aristote utilisé au MA n'est pas cité * -utilisation du "on" à la valeur élargie. * -assertion considérée comme universelle (l 26-27) "Je marche plus sûr et plus ferme à mont qu'à val. 2 Montaigne critique un certain type d'éducation * -apprentissage du moyen-âge rejeté : par cœur forcené moins apprécié : "on ne cesse de criailler à