Assignat

monnaie fiduciaire. 1609 Banque d’Amsterdam. 1694 Banque d’Angleterre. 1800 Banque de France. 1803 en France, création d’une unité monétaire solide définie sur l’or et l’argent (le Franc Germinal). Le cas français, l’expérience de John Law et des assignats : * John Law (écossais) tenta la première grande expérience de monnaie fiduciaire. L’idée de base de John Law était que plus il y a de monnaie en circulation, plus le pays prospère. Il devint le contrôleur général des finances et créa la Banque

1795_1799, la république introuvable a. premier directoire 1795_1797 malgres de bonne récolte en 1795 le cours du blé reste elevé, de plus l'État n'arrive pas a lutter contre la speculation, les caisses sont vides:-problème des assignats. en janvier 1796, l valeur des assignat est de 40 milliard de livre mais la valeur en monnaie est 10 fois moindre. le 15 août, une nouvelle frappe monnaitaire en argent est donc mise en place, c'est le franc!!!!!!! malgrès cette nouvelle monnaie, durant l'été 1797

d'autant de biens immobiliers risquait en effet d'entraîner une baisse considérable de leur prix. Même en cas de vente échelonnée d'une partie seulement des biens, la partie restante risquait de voir son cours baisser. Les assignats La loi du 19 décembre 1789 décide de créer des assignats émis par l'Etat et gagés sur les biens de l'Eglise. Sorte de bon du trésor émis sur un capital de 400 millions de livres, la valeur de l'émission est de 1000 livres par bon portant intérêt à 5%. Pour accélérer et faciliter

jacobins, les problèmes s'accumulent. La coalition des armées étrangères encercle les frontières, tandis que les troubles dans le pays se multiplient, guerre de Vendée et insurrection fédéraliste. La crise économique et la chute de la valeur des assignats entretiennent l'agitation populaire.Face à cette situation dangereuse pour le pouvoir, Robespierre fait voter par les Montagnards des mesures radicales que l'on regroupe sous le nom de Terreur et qui transforment le régime en dictature. Dans le domaine

« caisse de l'extraordinaire ». En attendant la vente des biens du clergé l'état émet des assignats = bons du trésor = bons par lequel l'état emprunte de l'argent = interêt de 5% Les assignats sont garantis par les biens du Clergé, ils sont assignés sur les biens du clergé et doivent servir à l'achat des biens du Clergé . Papier monnaie doit servir simplement à faciliter les échanges d'argent, donc les assignats ne devraient pas dépasser la somme des biens du Clergé. Dans l'idéal, après l'écoulement

domaines sans attendre leur mise en vente, l'Assemblée décide de les mettre en gage. Par décret des 19 et 21 décembre 1789, elle émet des bons du Trésor. En échange d'un prêt à l'État, les particuliers reçoivent un bon du même montant. Ce bon appelé «assignat» est gagé ou «assigné» sur les biens du clergé, désormais appelés biens nationaux. De cette façon, les révolutionnaires gagnent sur les deux tableaux : en drainant l'épargne du public, ils comblent la dette de l'État et en cédant les biens nationaux

et sociale est dramatique : des gens immensément riches et avec des gens qui sont immensément dans la misère. Il y a une flambée des prix parce que l’assignat atteint son niveau le plus faible (un billet de 100F assignat vaut 1F 50 en fait). Le Directoire décide de remplacer les assignats par des mandats territoriaux et cette nouvelle monnaie se déprécie tellement vite qu’elle est supprimée en Févier 1797. Les prix atteignent des niveaux considérables à tel point que l’Etat fait banqueroute des 2/3

contrepartie de ces biens nationaux, les personnes émettent des assignats (billets gagés sur les biens du clergé) qui rapportent au départ un intérêt de 5%. En 1790, on supprime l’intérêt et l’assignat devient un billet de banque pour payer ses achats et on peut l’échanger contre la valeur correspondante en biens nationaux. Mais on manque d’argent alors on est tenté d’émettre plus d’assignats qu’on a de biens nationaux. Les assignats se déprécient, l’inflation débute ainsi que la méfiance. La solution

décisive : la paysannerie décrocha en partie quand la Révolution a voulu déchristianiser, car elle était encore fort attachée à la religion. - Le poids de la guerre joua en la défaveur de la République : les réquisitions de matériel, payées en assignats qui ne valent rien et les levées d’hommes passent mal. Surtout les lois de septembre 1792 déclarant “la patrie en danger” et de février 1793 annonçant la levée en masse de 300 000 hommes sont très mal vécues. En particulier cette dernière mesure

richesses de ses ressources et Louis XIV qui « les tire de la vanité de ses sujets, plus inépuisable que les mines. » Montesquieu critique alors et le roi de France, et l’orgueil des français. - « des titres d’honneur à vendre » à Allusion aux « assignats », offices royaux que les sujets, dans le cas où ils faisaient de grandes choses pour leur roi, devaient eux-mêmes payer. Cependant, ce principe fonctionnait très bien. Montesquieu reproche cette fausse rémunération. - « ses troupes se trouvaient