Assiste T On à La Fin De La Classe Ouvrière

de l’A.P.H.G., ce travail a fait l’objet d’une présentation. Toute remarque sur ce travail est appréciée : nsmaghue@free.fr Introduction : un travail féminin plus visible. Les femmes ont toujours travaillé : le XIXe siècle n'a pas inventé la « femme au travail ». Depuis longtemps existaient outre les paysannes, des fileuses, couturières, dentellières, femmes de chambre, commerçantes : les femmes ont, toujours, à une petite minorité près, apporté une lourde contribution à la vie sociale... Leur travail

Victor Hugo,Discours sur le travail des enfants , 1847 1. Dans ce discours, Victor Hugo s’adresse à ses collègues pairs de France (≪ vous faites des lois ≫, l. 9) qui sont exclusivement des hommes (≪ Ah ! messieurs… ≫, l. 23).2. Lexique : l’étymologie du mot ≪ enfant ≫ vient du latin infans (≪ qui ne peut parler ≫). L’enfant n’a pas le droit à la parole (≪ ils se taisent ≫, l. 13, quand tous les autres prennent la parole, ≪ s’ils pouvaient parler ≫, l. 18).3. Au 19e siècle

Xavier Vigna, Mai 68, ou plutôt les grèves de mai et de juin 68, sont à considérer comme un événement, au sens fort du mot, dans la mesure où leur surgissement surprend les contemporains, suscite de nouvelles représentations et inaugure un cycle qui se clôt à la fin de la décennie 1970, avec l’échec de ces pratiques d’insubordination ouvrière. Xavier Vigna braque les projecteurs non pas sur la scène étudiante parisienne, à laquelle on réduit trop souvent les différentes facettes du printemps

français, retrace dans son ouvrage l’histoire de la représentation démocratique en France de la Révolution à nos jours. I/ « Penser la démocratie en reprenant le fil de son histoire » 1.1 Pierre Rosanvallon et l’histoire du politique Aujourd’hui professeur au collège de France où il est titulaire de la chaire d’Histoire moderne et contemporaine du politique, Pierre Rosanvallon s’attache à reconstituer une histoire qu’il qualifie de « compréhensive » dans laquelle « intellection du passé et

travail en france à la Belle Epoque Femmes et travail en France à la Belle Epoque Dans L'Ouvrière publié en 1861, Jules Simon, homme politique de la IIIe République, écrit “La femme, devenue ouvirère, n’est plus une femme”. Par cette citation, Jules Simon restitue l’image véhiculée par la société de la fin du XIXe qui voit en l’ouvrière, une femme “dénaturée”, hors de “son etat naturel”, c’est à dire hors du foyer, de la maison. Les liens entre femmes et travail, nous invite à nous interroger sur

dans « La Parure », les gens se réinventent et essayent de répondre à la question « Qui suis-je ? » sous le regard d'une société sophistiquée où tout le monde doit jouer le rôle accordé par leurs classes sociales et par leurs sexes. Par exemple, les nobles ou la classe moyenne supérieure doivent posséder une bonne apparence ainsi que maîtriser l'art de plaire et de la conversation, alors que les classes inférieures ont tendance à ne pas posséder ces qualités. Cependant, sous l'influence de leur propre

1889 à 1914, vers la catastrophe ? I. Deuxième révolution industrielle, idéologie du progrès et mouvement ouvrier II. Impérialisme, colonialisme, militarisme De 1914 à 1933 : Première guerre mondiale : matrice du XXème siècle III. La Première Guerre mondiale IV. Octobre russe, communismes et révolution mondiale V. Fascismes (Italie, Allemagne) De 1934 à 1948 : Fascismes et antifascismes VI. Totalitarismes (Italie, Allemagne, URSS) VII. Luttes sociales et nouvelles alliances de classe VIII

démocraties populaires de 1945 à 1989. Le terme démocraties populaire désignait les régimes de l'Est où les partis communistes ont accédé au pouvoir entre 1945 et 1949. Il qualifie un type d'organisation politique, économique et sociale fondée sur la domination du parti communiste, sur l'étatisation de l'économie et sur un encadrement étroit de la population. Elle s'oppose à la démocratie libérale, en vigueur dans la majeure partie des régimes d'Europe de l'Ouest qui s'attache à la protection des libertés

par des acteurs professionnalisés dans cette activité Comme la expliqué Weber, Tout pouvoir politique a besoin d’un principe de légitimité pour obtenir l’obéissance des gouvernés. Car, en effet, le pouvoir ne peut durablement reposer que sur la violence, sur la contrainte, sur la force physique. Même sous l’ancien régime, le roi ne gouverne pas parce qu’il est le chef de l’armée. C’est lui qui a le monopole de la contrainte physique et légitime. Sur quoi s’appuie le roi ? Sur ses armées, sur ses

Sciences sociales – Synthèse de la 1ère partie Cette synthèse a été réalisée à partir des deux ouvrages suivants (surtout les passages consacrés à l’analyse de la pensée des auteurs) : Aron R., 1967, Les étapes de la pensée sociologique. Montesquieu. Comte. Marx. Tocqueville. Durkheim. Pareto. Weber, Paris, Editions Gallimard. Delas J.-P. et Milly B., 2005, Histoire des pensées sociologiques, Paris, Armand Colin. Introduction Les sciences sociales (dont la sociologie) sont bien souvent