Assonance

En ce sens, l’antithèse se rapproche de l’oxymore. Exemple : Il a l’air vivace et maladif, c’était un homme mort qui vivait encore. Assonance : répétition d’un même son vocalique (son de voyelles). Assonance en [on], [an] et [ou] : (voyelles dites sourdes ou sombres) la malheur, la noirceur… Assonance en [é], [in] et [è] : (assonance claire) la gaieté. Assonance en [i], bruit strident, aigu et désagréable : l’angoisse… Exemple : Elle se promenait gaie dans les blés et le soleil riait. Remarque :

personnel « nous » car il y a une idée de généralisation. Il désigne le poète mais aussi le lecteur. L'état de cette souffrance est quelque chose de récurent. Quelque chose de récurent dans la souffrance présent d’habitude et participe présent. Assonance en i / en allitération en l/ n / S / le fait de répéter souvent les même sons colle à l'idée de récurrence. On essaye de faire partager sa souffrance au lecteur. On provoque une musique qui accentue le mal être. Un crescendo se fait tout au

pénombre qui va développer le côté auditif. Cette pénombre s'associe à l'angoisse "tremblante" vers 1, "lamente" vers 3. -Perception auditive: ..-"l'obus qui se lamente" vers 3 soutenu par une assonance en [ an ] + la dentale [ t ]. ..-"le galop" v5 : assonance en [ a ]. ..-"le cri sinistre" : assonance en [ i ]. -Solitude: "j'écris tout seul" vers 1. C'est cet acte d'écriture qui va permettre l'expressionh d'un sentiment amoureux de la femme aimée. II/ Un poème lyrique -Présence d'une

ALLITÉRATION / ASSONANCE : Effets sonores fondés sur la répétition de consonnes (allitération) ou de sons vocaliques (assonances) identiques. On emploie pour les regrouper le terme d'homophonies. Ces jeux phonétiques cherchent parfois à inspirer au lecteur une relation entre le sens du texte et l'effet d'insistance inscrit dans sa matière sonore. On parle dans ce cas traditionnellement d'"harmonie imitative" (effet musical visant à l'imitation de ce qui est représenté)[1]. "UN JEU DE MIROIRS

Alliteration en /j/ : "jeu" "jeta" "neige" "en ai-je" "loge" "trouverai-je" "je" Assonance en /è/ : "neige" "cuidais" "certainement" "c'était" "ai-je" "soudainement" "secrètement" "trouverai-je" Rime équivoquée : "de la neige" / "en ai-je" = la neige a "contaminé" le langage Assonance en /e/ : "Eteindre peut ce feu que je sens bien" Alliteration en /f/ : "froide" "feu" "fus" = le feu a envahi le poème Assonance en /a/ : "jeta" "froide" "embrasé" = Anne imbibe les vers de Clément Métaphore

Présent de vérité générale | La phrase | Hachée par la mise en page, sectionnée en vers et strophes. | Traditionnelle | rythme | Saccadé, heurté, imprévisible | traditionnel | sonorités | présence de rimes, assonances allitérations | Pas d'effet particulier | Compléter sa réflexion personnelle à partir de la comparaison des deux texte Mise en commun, trace écrite : « Pour nous, en ce début de séquence, la poésie, c'est... »- un texte présenté

(poète) agressé par moquerie des marin (société) Jeu de sonorité : Sert à renforcer le contraste : Majesté rendue par assonance en [en] ( v1/2/3/4/13/14/16) et allitération en [v] (v1/2/3/4) Déchéance rendue par dégradation assonance en [en] désormais attribuée à termes péjoratifs, et destin funeste prédit par allitération [s] "gouffres amers" 3ème strophe : assonance en [e], allitération [c] et [g] crée cacophonie => accentue progressivement différance de l'oiseau Lecture analytique

premiers vers de son poème il dit : "je fais souvent ce rêve" avec le déterminant démonstratif "ce rêve" qui veux dire que ce rêve lui est déjà connu. 2-On a deux assonances la première est [e] qui est répété 4fois dans ce texte et la deuxième assonance est [a] qui est répéter trois fois dans le texte la répétition de ces assonance permettent de ralentir le récit 3-dans ce texte nous avons la présence d’une polysyndète par exemple au vers 2: ‘’que j'aime, et qui m'aime’’. Ce qui crée une accumulation

ponctuation, assonances et allitérations,…) - Jeu sur les sonorités et effet : Dans la première strophe, il y a une assonance en « i ». Dans la seconde, il y a une allitération en consonnes occlusives (« c », « p »,…). Dans la troisième strophe, on retrouve une assonance en « a ». Dans la quatrième strophe, il y a une allitération en « r ». Dans la sixième strophe, il y a une allitération en « p » et dans la dernière, une assonance en « è ». Une strophe sur deux contient une assonance, et

C'est cette pénombre qui va développer le côté auditif. Cette pénombre s'associe à l'angoisse "tremblante" v1, "lamente" v3. • perception auditive : o "l'obus qui se lamente " v3 soutenu par une assonance en [an] + la dentale [ t ]. o "le galop" v5 : assonance en [ a ]. o "le cri sinistre" : assonance en [ i ]. • solitude : "j'écris tout seul" v 1. C'est cet acte d'écriture qui va permettre l'expressionh d'un sentiment amoureux de la femme aimée. II). Un poème lyrique • présence d'une destinatrice