Assonances Et Allitération

 Allitération (féminin) : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. Exemples : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine, Andromaque, V, 5) ou encore « La chasseresse sans chance / de son sein choie son sang sur ses chasselas » (Desnos, Corps et biens, « Chanson de chasse »). Amplification (féminin) : L’amplification se fonde sur une gradation entre les termes d’une énumération

permettent à intervalles de temps les mêmes sonorités très souvent, la rime revient comme un écho rapproché. A l'intérieur des vers il y a un regroupement de sonorités identiques : Vers 7, 8 : les soleils mouillés De ces ciels brouillent C'est une allitération en " l "Ceci se passe aussi en vers 3-5, 18-19La musiques tout à fait propice a la rêverie renforce l'idée de voyage imaginaire. 2. Un lieu indéterminé A) " la bas " C'est la première indication que donne le poète repris par le refrain

chant alterné, qui procède par reprises systématiques : « Mais qui le gardait ?/ Qui en avait la charge ? » (Double question, allitérations construites en chiasme) « Il faut chercher dans les recoins de couloir » (Allitération en r, k, assonance en oi) « Il doit être planqué quelque part . Il doit être recroquevillé dans un cagibi, et il tremble » (Anaphore, allitération en p et q) C’est donc au travers d’une dimension poétique traduite par des images, des références, que les crimes de Zucco

aussi des assonances en [a], et d'autre part en [e]. •Le refrain : Les vers 1 et 2 sont répétés 10fois et rythme le poème. Ils rappellent le lien qui unit des personnages que tout pourrait séparer, c'est celui du "commun combat" •Ce long poème est sans strophe ni ponctuations, ce qui laisse une grande liberté aux lecteurs. De plus tous les vers sont de 7syllabes, un nombre impers ce qui donne une musique particulière au poème. • On a de nombreuses allitérations : - Des allitérations dures :

lexique d’un bruit agressif “ assourdissante". Ces procédés nous montre donc comment la rue est mouvementé par les bruits qui l’entourent, elle décrite comme violente avec une atmosphère pesante, cette impression est accentuée avec une allitération en ( r ) et une assonance en ( ou) et (an). Et amplifié par des hiatus ( u-a) / (a-u ), les Tableaux parisiens sont donc bien mis en valeur mais de façon pessimiste puisqu’ils sont perçus comme violents et agressifs. Puis vînt la femme. L’auteur est effectivement

Accent : V. Rythme Alexandrin : vers de 12 pieds* (12 syllabes) V. mètre Allitération : répétition d’un même son-consonne en vue d’imiter un bruit (de procéder à une harmonie imitative*) Ex. Les souffles de la nuit soufflaient sur Galgala (V. HUGO) : la répétition des sons [fl] et[l] fait penser au souffle du vent. Alternées (rimes alternées ou croisées) V. Dispositions des rimes Assonance : · répétition d’un même son-voyelle en vue d’imiter un bruit (de procéder à une harmonie imitative*)

qui fonctionnent presque comme des rimes. 
- Des jeux sur les allitérations et assonances : 
 En [k] : « les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles », « Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe ».
 En [r] : « parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner ». 
En [s] : « les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous ».
 En [v] et [f] + assonance en [u] : « visqueux et verdâtre » (...),« flue et reflue à l'odeur

décasyllabes. Donc le poète a construit son poème en forme fixe. Les rimes des trois dernières strophes quant à elles, sont toutes des rimes croisées mettant en avant la régularité de structure du poème. Des allitérations et des assonances rythment également ce poème. Pour ce qui est des assonances, on peut relever celle en [i] avec l’anaphore de « qui » aux lignes1 et 4, avec le nom « Rossini » et avec l’adjectif « languissant » à la ligne 3. De la même façon, nous pouvons voir des jeux d’allitérations

« une tâche rouge » (6) mort, cruauté _ Opposition « rose et verte » (25) tournant pictural du poème, connotation de l’espoir b) Les images _ Allitération en « b » « Une mer de brouillard baignait les édifices »  paysage noyé sous la brume _ Métaphore « L’essaim des rêves » (3) image de l’essaim de mouches. _ Comparaison et Assonance en « ou » « Où comme un œil sanglant qui palpite et qui bouge » (5)  image cinématographique d’horreur. _ L’aurore est vue comme une jeune fille « grelottante »

musicalité grâce au souffle des anaphores, aux assonances (=répétition d’une même voyelle) et allitérations (=répétition d’une même consonne). Les figures de style du poème : Le poème est principalement rythmé par l’anaphore de la préposition « sur » présente dans chaque strophe (exceptée la dernière). Paul Eluard se sert aussi de la personnification (les saisons fiancées, la montagne démente, les sueurs de l’orage) ; d’assonances ( )et d’ allitérations () III – Interprétation sens du texte, idées