Assonances Et Allitération

deviens un monstre sanguinaire grâce à de nombreux adjectifs ( hideux,.. ) ou à des images ( miroir effrois,.. ) donc la condamnation est implicite. De plus il exploit les ressources du vers,par exemple la musicalité avec les assonances en "ou" mais encore des allitérations en "t". Dans la Peste, Tarrou assiste à un procès dans lequel un homme est condamné à mort, il a honte et éprouve une sorte d'empathie ( éprouver les mêmes émotions ) avec la victime. La manière de présente le condamné, la

théâtre, un dialogue avec l’apostrophe à Hérode aux vers 2 « sire », l’apostrophe à la mère au vers 3 « ma mère ». On note un jeu très fort sur les contrastes, après le sourire évoqué au vers 1 et la danse évoquée au vers 2, danse évoquée avec une allitération en « se », en sifflante (« Sire », « danserais » et « Séraphins »), qui crée la sensualité de cette danse. On passe donc du sourire et de la danse à la tristesse du vers 3, en antithèse. Ce jeu de contraste se retrouve complété au vers 4 par un

civilisation.
 Pendant le 1° tercet, la vision passe de l'île au port (symbolisme vision, vie, voyage, mouvement)
Le port est un lieu protégé (comme l'île) mais aussi un lieu d'expansion et d'infini propre à incarner le rêve (cf. 2° tercet).
Les nombreuses assonances en " oua " et " a " montrent la recherche d'harmonie.
 La très grande générosité des rimes v. 12-14 fait écho au v. 6 (générosité de l'île, lieu d'expansion et de bien-être.


 II - Correspondance entre les différentes sensations : synesthésie

lait qui doit nourrir les deux" (opposition entre les dentales dures [d] et les assonances douces [u]) - Vers 12 : "Ayant dompté longtemps en son cœur son ennui" (opposition entre les allitérations de début de vers en [d] et en [t] et l'allitération en [s] de la fin) - Vers 18 : "si bien que leur courroux par leurs coups se redoublent" (le redoublement des coups est mimé par les assonances en [u] et les allitérations en [k] et [r]. - rythme du poème : les vers 3, 4 et 5, par leur rythme brisé introduisent

il est temps !| ALLITERATION n.f.|Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots|Allitération en [s] dans Colombine[->0] de Verlaine[->1] :
    Cassandre sous son
    Capuce| ANAPHORE n.f.|Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers|- Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits| ANTITHESE n.f.|2 termes de sens opposés dans une même phrase|- Le navire était noir, mais la voile était blanche| ASSONANCE n.f.|Répétition d’une

d’une voyelle et le –E n’est ni prononcé ni compté. 4 - Le vers libre. Le verset. Vers libre : Longueur (mètre) variable, la structure rythmique varie et s’assouplit, pas obligatoirement reliés par la rime. Mais on trouve des assonances ou des allitérations. Verset : Des ensembles qui excèdent la mesure du vers et peuvent compter plusieurs lignes, jusqu’au paragraphe entier. Le verset commence le plus souvent par un alinéa. Le verset s’oppose à la prose par la fréquence des alinéas et

 » et le verbe « blesse ».Cette personnification exprime la tristesse de la nature et permet d'établir un lien avec le poète. -La plainte de la nature se fait entendre par la métaphore des « violons » et l'écho des syllabes dans le 1er sizain. Assonance en « o »:sanglots, violons, automne et monotone. -Elle entraîne celle du poète : « je pleure » -L'automne symbolise l'approche de la mort : « quand /sonne l'heure » et invite à se tourner vers le passé : « Je me souviens des jours anciens »

enrichir la ou les significations d’un mot en les utilisant dans un contexte inattendu. 2) Les figures de mots : elles concernent les jeux sur le lexique (néologismes, archaïsmes, étymologismes, antanaclases…) et les jeux sur les sonorités (assonances, allitérations…) 3) Les figures de pensée : figures de l’ironie, du paradoxe, de l’intensité (hyperbole, litote), de l’énonciation et de la dialectique (apostrophe, prosopopée, prolepse, épanorthose, parenthèse…) ; 4) Les figures de construction :

« disparurent un à un » → Goriot = figure du pauvre d) la décrépitude physique → passé simple + assonance en [a] = vitesse dégradation. → pland d'ensemble du héros= « silhouette maigre » puis « mollets » → diminution musculature, « figure, front, machoire »= vieilesse prématurée.Dernière image de goriot appuyée sur allitération [b] → « bouffi, bonheur, bougeois » + assonance en [a] « rida, plissa » II . Avilissement d'une épave a) effacement de soi même → « durant la

qu’il met en lien. L’eau dans les deux premières strophes avec le champ lexical de la mer « hommes d’équipage »v1, « oiseaux des mers »v2, « navire »v4, « planches »v5, « avirons» v6. Cet univers lisse et régulier représente la société. Il y a des allitérations en [v], « souvent »v1, « vastes »v2, « suivent »v3, « avirons »v8, en [s] « souvent » V1, « s’amuse »v1, « laissent »v7, « glissant »v4 qui donnent une certaine fluidité au texte donc une certaine liberté à l’oiseau. Il y a également l’aspect