Assonances Et Allitération

(sens différents mais formes voisines) : la mer/l'amour ; eaux/maux ; armes/larmes(rimes riches) « Amoureux » / « douloureux » (v.12-13)= rimes riches aussi ; « amer » / « l'amer » (v.2-3) = plus que riches. -Allitération en « m » et assonance en « ou » tout au long du poème ; assonance en « è » dans le premier quatrain. v.12-13 : « brasier » / « brûle » son répété Enfin, le texte s'achève sur une anagramme : « la mer » / « larmes » (v.14) Les différences entre la mer et l’amour : dans les

d'abord sa vie et en tire une morale philosophique. I – L’habilité du fabuliste : 1) Capter et maintenir l’attention du lecteur : * un portrait en mouvement qui attire l’attention (procédé quasi-cinématographique) « marchait », allitération en « f », assonance en « en », « pas pesants » * une personnification de la Mort « il appelle la mort », « elle vient sans tarder » 2) Susciter la sympathie et la pitié : * un homme misérable qui lutte  « pauvre », « gémissant et courbé »

Vers  6  :  métonymie  :  «  meurs  en  blancheur  »  =>  la  mort  avec  l’hiver  (neige)   § 3ème  §  :  inversion  des  c.c.  de  lieu  +  allitérations  en  «  -­‐l  »  et  assonances  en  «  -­‐i  »  et  «  -­‐e  ».   § Vers  libre  et  alexandrins  cassés  vers  17  à  22.       © Clément ROCHON • 2012 • Tous droits réservés.

plusieurs propositions enchâssées ce qui sous-entend un travail sérieux, sans interruption. Nul bruit ® sérieux, concentration, le lecteur est plongé dans la scène. prise sur le vif. Si ce n’est : marque l’exception. Froissement, feuillet : allitération, assonance? On croit entendre le bruit des feuilles. Vélin : Sorte de parchemin fabriqué avec de la peau d'animal jeune ® chère. Gothiques : anciens, vénérable Doigt, docteur, détachait : pareil, cela « roule » idée, on a l’impression de suivre le

la fenêtre et la mer « La Lune »--> « sereine » et « jouait »--> personnification « La fenêtre »--> « libre »--> personnification 1 anaphore: en début de chaque vers « La » Les vers sont des alexandrins. Rimes embrassées. 2è quatrain: allitérations en « r » et « s » & impression d'oppression guerrière 3è quatrain: dimension fantastique; disproportion djinn/créneaux Les perles montrent la fluidité de l'eau et la vitesse des cormorans. Évocation romans du Moyen-Age (princesse dans sa tour

strophe 5 (vers 13-14) répétition de « l'amour s'en va ». Au vers 15-16, le vocabulaire fort (violent) adjectif mis en valeur par la diérèse et par l'effet des paronomases (répétitions presque pareil) entre « vie est lente » et « violente ». On a une assonance en -i qui insiste sur la douleur b. Une prière lancinante (récurrente) On le voit avec le refrain qui donne une impression de balade nostalgique, mélancolique. Les subjonctifs présent qui exprime la prière. Petit à petit, le refrain prend une tonalité

en un bruit à peine balbutié avec « timide » (v7) qui donne une impression de monotonie, accentuée par un rythme binaire : rythme lent et régulier ainsi qu'avec une coupe à la césure. Cette monotonie est également ressentie avec les sonorités : assonances en nasales = « battant », « cognant », « gémissant », « embrassant », « changer », qui créent un bruit assourdissant. La personnification des araignées au vers 11 « infâmes araignées », donne une impression d'invasion, de sentiments de plus en

personnes possible : * A ses amours perdus Aux femmes qu'il à aimés : présenter par leur prénom = intimité renforcé On reconnaît Annie et Marie (Laurencin) mise en valeur avec le « Et toi » (blessure de la colombe) - assonance en « i » (répétition de son voyelle) - allitération en « m » (répétition de son consonne) => lamentation, plainte - métonymies (partie pour le tout) vers 1 : figure => vue lèvres => toucher fleuries => odorat * A ses amis perdus Parallèle de construction entre femme

est à la base fait pour être chanté, pour ce faire le poète est à la recherche de rythme et d’effet sonore, par une musique « allitération assonance, rythme, rimes… ». Dans Mon rêve familier de Paul Verlaine le poète raconte qu’il fait tout le temps le même rêve où il y rencontre la femme de sa vie. Dans ce poème on peut voir dès la première ligne qu’il y a une allitération « je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant.» on remarque une répétition du son (é) ainsi que (en) ceci peut donc donner un

au vers 1. Celui-ci est "malade" = expression chargée de fatalité. Cela annonce la mort de l’été. Dans le mot "adoré", en retrouve "doré" qui est la couleur de l’automne. C’est peut-être à cause de cette couleur qu’Apollinaire aime l’automne. Allitération en [r] (vers 2) = son désagréable qui évoque le frisson, le grelottement, son guttural et agressif pareil au vent d’automne. "Ouragan" évoque la violence, la force des intempéries. Le futur au début du vers 2 évoque quelque chose de certain, qui