Assonances Et Allitération

poésie : tradition et singularité : 1- Reprise de la tradition poétique (imitation des anciens) : -Essence divine de la poésie. -Registre fantastique, mise en scène d’une danse comme un rituel religieux païen. -Dimension musicale : allitération en [s] et assonance en [é] et en [ou] ->Communion harmonieuse entre poète et muses. -Evocation des Anciens par « flamme » (=savoir) qui fait référence à Prométhée. 2- Revendication d’une inspiration personnelle : -« cœur » : métonymie des sentiments

rencontre André Breton pendant la PGM. Il appartient au mouvement du surréalisme () et au Dadaïsme. Description : poème régulier composé de 9 dystiques. Tous les vers sont des octosyllabes et les rimes sont suivies. Il y a de nombreuses Allitérations : s, l, m Assonances: é, a Les figures de styles créent un rythme qui reproduit celui de la marche longue et terrible, de l’exode des Français sur les routes. Champs lexicaux : de la guerre, du moyen âge Les deux époques évoquées (Seconde guerre mondiale

Vocabulaire Coupe: pause Alexandrin: vers de 12 syllabes Allitération: répétition d’un même son consone dans une suite de mots rapproché Assonances: répétition d’un même son voyelles dans une suite de mots rapproché Calligramme: texte poétique dont les mots sont disposés de manière a représenter un dessin, en rapport avec le thème du texte Comparaison: (figure de style) figure qui consiste à rapproché deux éléments au moyen d ‘un outil de comparaison Ex: comparé et le comparant

6- Les champs lexicaux : relever ceux qui dominent uniquement et les commenter. 7- La versification ( rimes suivies ? embrassées ? croisées ? ; alexandrins ? décasyllabes… ? Y-a-t-il des enjambements ? des rejets ? des contre-rejets ? allitérations ? assonances ?) 8- Les figures de style : métaphores, comparaisons, hyperboles, personnification… A relever et à commenter. 9- La ponctuation : est-elle présente ? Si oui, quelle rôle joue-t-elle ? Si non, pourquoi ? (fluidité…) 10- Les registres

choix. Rimbaud possède une certaine spécificité d'écriture. En effet, de nombreux rythmes et assonances donnent une musique a ses poèmes ce qui les rend différent d'un poème classique. En effet, les assonances en i sont très nombreuses et font ressortir toute cette douleur liée a la guerre. D'autres sonorités rappellent les engins de mort employés lors de c'est guerres telles que les allitérations occlusives qui rappellent le bruit des mitraille. En conclusion , nous avons vu que dans cette

fraîcheur est renforcée par le jeu des sonorités, puisqu'on a au v.9 une allitération en f et r et une assonance en è. B) Un phénomène d'échos : La personnification du v.8, opérée grâce au verbe «  se répondre », qui est un verbe de parole, et la comparaison des sensations à des « échos » rendent concrète l'idée de correspondance. Ces échos sont eux-mêmes soulignés par des reprises de sonorités, comme au v.5 les assonances en « on » (« longs » ; »confondent »). On peux parler ici d'harmonie imitative

celle du soleil couchant et celle de l'étang. Il y a comme un écho entre les images qui jouent sur les jeux d'ombres et de lumières. La nature est calme comme la promenade, le mouvement et les bruits sont doux, à peine suggérés par les assonances et les allitérations qui suggèrent le bruissement, le chuchotement. La nature est personnifiée. Il y a un effet de fluidité, de continuité de régularité réalisé par les sonorités mais aussi la syntaxe avec des phrases longues et la versification du poème en

Présentation des personnages se fait en actes- et l’un et l’autre s’éclairent mutuellement : -agneau- seul ds la situation initiale (v 3-4)-est-ce inquiétant ? Pourquoi sa mère n’est-elle pas là ? octosyllabes très fluides (allitération en r qui parcourt le distique- de même, assonance de nasales+ emploi de termes poétiques- « onde »)- équilibre du vers 4 (césure à l’hémistiche)- atmosphère calme, tableau paisible (verbes à l’impft)- fin du tableau est l’adjectif « pure »- c’est ce que l’on doit retenir

rimes (vers libres). Ce poème ne comporte aucune rime mais est compensé d une grande musicalité ,il y a mise en valeur du vers refrain comme dans une chanson, assonances sur les derniers mots (blanches- cendres) (dorées- guerrier)nuages - orages - fade) (cahiers-écolier) (vitre-surprise) (solitude nue) (bien au-dessus du silence) (str11: allitérations en M et r dans la strophe: (page-page-papier) Analyse : Ce sont les souvenirs de l'enfance du poète.  L'habitude des écoliers d'écrire sur toutes sorte

objectifs du poète, notamment celui du XVIème siècle consistait dans une harmonie des sonorités qui était obtenue par la versification, Les rimes, les strophes par exemple des quatrains ou un sonnet. Des figures de style, comme des assonances, des allitérations, et des diérèses pouvaient contribuer aussi à la musicalité du poème. Mais plus que la beauté de la forme poétique, la Beauté qu’il s’agisse de celle d’un coucher de soleil, ou la beauté d’une femme a, on peut le voir, toujours inspiré