Ataraxie

s’arête pas, Phoenix. Porte en nous le manque. Peut pousser à la passion : répétition constante de la satisfaction du désir Désir : mouvement déraisonnable et irrationel, ordre de la pensée d’une représentation mentale. = désir stable et en repos (ataraxie pas lié a la douleur) Il faut faire perdre aux représentation leur prestiges. L’ordre du monde désirer l’impossible dans ce monde en ordre et déterminer c’est aller contre l’invariable. L’existence est indépendante de notre volonté, donc un

le mal-être. Il doit donc s'organiser en fonction de sa vie de désirs afin de faire en sorte d'éviter la souffrance et de trouver le plaisir du point de vue du corps (l'aponie c'est-à-dire absence de douleur physique) que du point de vue de l'âme (ataraxie c'est-a-dire absence de douleur psychologique). Pour arrive à la vie parfaite et le bonheur Épicure distingue trois catégories de désirs : les désirs naturels nécessaire, comme par exemple celui de la faim, la soif et tout les désirs qui concernent

médiateur indispensable entre moi et moi- m». Autrui fige mon moi → m’est nécessaire ˆ pour être moi-m mais conflit. Merleau-Ponty : M : réf commune or "tt cse est cse de qqch"→ intersubjectivité, dialogue. 8 Les passions flegme : absence d’émotion. ataraxie : absence de tt trouble. Recherchée par les stoïciens. e : ts les phénomènes passifs de l’âme. Descartes – Traité des pso «Ce qui est pso au regard d’un sj est tjrs action à qqe autre égard» Descartes : pso : ce que subit l’âme du fait de son

pas vainement s’opposer à eux, il les accepte pleinement : il est donc heureux9. Je comprends que revenir dans le passé est impossible et je cesse d’être torturé par de « vains regrets ». Et, outre cette impassibilité devant les événements, cette ataraxie , le sage peut savourer, jouir de sa liberté intérieure. Caton10, voyant son heure arriver, se suicide en se déchirant les entrailles et Montaigne commente ainsi ce « suicide raisonnable » stoïcien : « Je crois sans doute qu’il sentit du plaisir

raison, permet l'accès au bonheur. Les « valeurs morales », rejoignant la conception antique de la « vertu », semblent ainsi trouver un fondement dans leur relation au « bonheur »; pourtant, au sein de telle doctrines, celui-ci figure avant tout une ataraxie, une absence de troubles de l'âme – ce « bonheur » qui est absence de souffrance est-il réellement cet « épanouissement de soi » auquel chacun semble aspirer par-delà les contingences de sa vie? Ce concept apparaît en vérité fondamentalement dominé

biens distinguer les désirs en trois catégories différentes : il y a les désirs naturels et nécessaires, les désirs naturels mais non nécessaires et les désirs qui ne sont ni naturels, ni nécessaires. Afin d’atteindre la tranquillité de l’âme, ataraxie, et celle du corps, aponie, il convient de privilégier les désirs naturels et nécessaires. Ils permettent, en effet, d’atteindre le bonheur et par cela il est utile de philosopher et d’avoir des amis. De même boire, manger, dormir sont nécessaires

selon Platon, mère d’Erôs. 16 Auquel l’animal, lui, demeure rivé. s’est débarrassé de son désir de liberté ? Dans tous les cas, c’est effectivement à cela, à ce vide de désir, de toute tension vers un au-delà de l’ici et du maintenant, à cette ataraxie et cette inertie, cette absence de trouble et cette immobilisation de mon existence dans l’instant présent, qu’a correspondu mon expérience intérieure du bonheur, révélant de la sorte sans doute sa réalité concrète. ! 5 Le désir comme puissance

qui réclame de définir celui-ci comme « en creux », c’est-à-dire comme une absence de souffrance. Et si comme on vient de le supposer, le désir est un désordre facultatif, alors cette tranquillité de l’âme que les philosophes antiques appelaient « ataraxie » ne peut être recherchée qu’en se concentrant sur les besoins, en suivant les indications que le corps nous offre pour les satisfaire (car le corps sait ce qui nous est nécessaire pour ne pas souffrir), et en se méfiant des manques que nous nous

Les Dieux, pour lui, évoluent dans un monde qui ne connait pas de déperdition d’atomes. Or dans le monde humain, les déperditions d’atomes ne sont pas compensées. Or pour Epicure, un Dieu malade ou souffrant n’a aucun sens. Les Dieux sont dans une ataraxie totale. Et s’ils se risquaient dans le monde humain, ils s’exposeraient au déclin. Pour Epicure, la société des sages doit reproduire la société des Dieux. Le sage épicurien va vivre avec ses amis en dehors de la cité comme le Dieu vit avec les autres

l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent Dieu. Epicurisme Doctrine d'Épicure et de ses disciples (Lucrèce par exemple), fondée sur un idéal de sagesse selon lequel le bonheur, c'est-à-dire la tranquillité de l'âme (ataraxie), est le but de la morale cette doctrine invite à ne craindre ni les dieux, ni la mort), et à rechercher les plaisirs simples et naturels de l'existence. Hédonisme Doctrine assimilant le Souverain Bien au plaisir. C'est, plus spécialement, l'attitude