Attention les yeux !

histoire dans la peau de son enfance « deux ans, deux ans et demi » (l.2). L auteur veut alors nous montrer a l aide de « mes yeux » ,qu'il va répéter a deux reprise de la ligne 1 a 2, ce que ressentait la narratrice a ce moment de sa vie . La petite fille eprouve un amour profond et l auteur va le mettre en évidence en utilisant un personnification  entre dans mes yeux » (l.1) « jusqu'à mon cœur » (l.3).Au debut de l histoire le lecteur croit alors que le petite filles compare son amour a un animal

correspond au message émis. Mais les causes de bruit, et donc de mauvaise communication, sont multiples :  mauvais codage : faute de français, phrase prêtant à confusion ou impossible à décoder ;  mauvais décodage : le récepteur n’accorde pas toute son attention au message ;  support mal choisi : il autorise les perturbations (« friture » sur une ligne téléphonique). La communication est donc un système d’échanges codifié entre êtres vivants, et réussir un acte de communication, c’est opérer une translation

longs échauffement du corps, en fessant attention à tous nos membres. Nous nous somme arrêté plus longuement sur le bassins, Julien nous a expliqué, que notre présence réalisée sur scène est dût en grande partie par notre souplesse et notre liberté de mouvement du bassin. La force vocalique et l’intonation est influencée par le bassin également. Ce qui rend encore plus le besoins de faire pivoter, détendre celui-ci. Un dérouler du corps a été fais avec attention et soins. Par la suite, nous nous sommes

Certains garçons trouvent cela niais. Et bien moi je pense que nous les filles, nous aimons cette niaiserie. Je crois même qu'un garçon qui nous fait subir les pires choses arrive miraculeusement à trouver grâce à nos yeux en nous disant qu'il nous aime, qu'il n'aime que nous, qu'il a besoin de nous ! Messieurs, je n'ai qu'une chose à vous dire. Nous les filles, nous sommes sensibles à ce que vous pensez être de la niaiserie. Dire "je t'aime", ce n'est pas un acte de faiblesse, c'est au contraire

dans lequel s’inscrit l’expérience est l’attention. Elle intervient dans la reconnaissance des objets comme dans de nombreuses autres activités cognitives. Une bonne part de notre efficience cognitive découle directement de notre capacité à faire « attention », c'est-à-dire à rester concentré suffisamment longtemps sur un matériel à étudier. L’attention a été définie de plusieurs manières, chacune des définitions permettant d’aborder un aspect de l’attention. Ainsi, certains auteurs la voient comme

accident est toujours possible. Cette prévention repose sur la notion d'économie rachidienne, c'est-à-dire sur une meilleure utilisation du rachis dans la vie quotidienne afin de ne pas surcharger les vertèbres et les disques. Ceci implique une attention de tous les instants, le jour comme la nuit. C'est en prenant soin de son dos à longueur de temps que l'on pourra venir à bout d'une rachialgie chronique ou à répétition. Cette prévention implique un contrôle lors des positions prolongées et lors

En se dirigeant vers son manège, le forain arborait, depuis quelque temps, un air morne, une moue renfrognée, désabusée, qui coïncidait mal avec sa face ronde, ses petits yeux rieurs sous des sourcils, en broussaille, sa moustache en touffe, sa joviale calvitie. Sa femme avait toujours travaillé avec lui. Ils étaient très heureux , ces deux là, des inséparables! Tous les forains enviaient leur complicité. Juste un petit nuage dans ce bonheur idyllique, ils n’avaient pas réussi à avoir d’enfant

affiches ont vu leur peu d'écrivains et de chômeurs qui se rendaient à philosopher.Une fois, par curiosité, j'ai visité l'établissement.Je me souviens de qui a attiré mon attention un homme, avec dédain aristocratique, ne semble pas vouloir se joindre aux autres.Il était grand et mince. Mais ce qui m'a impressionné, c'est ses yeux, merveilleusement pur et bleu, plein de douceur.Il était peintre. Cet homme était un artiste. Un véritable artiste. Il a parlé avec ferveur de son art. Il avait une grande

beau, mais pas trop chaud. C’était l’été, le moment idéal pour ce genre d’activités. Il y avait du monde dans les allées, car c’était dimanche. Justement, quelqu’un s’approcha de moi. Avant même que j’ai pu ouvrir la bouche, il me souffla : « Fais attention à toi cette nuit… ». Et il disparut dans la foule, tel un fantôme. Je cherchai à le retrouver. En vain. Je ne risquais pas de le revoir, avec tous ces promeneurs qui s’ameutaient, en faisant un brouhaha énorme, autour d’un marchand de glaces qui

chaque tétée. Je réponds souvent à ses appels ce qui m’a permis de créer un lien avec cette patiente. Lorsque je suis allée dans sa chambre un peu plus tôt pour lui proposer de venir faire la toilette de son bébé, elle m’a sourit mais j’ai remarqué ses yeux cernés et un petit air triste. Quand elle arrive à la nurserie, elle est en chemise de nuit, les cheveux négligemment attachés, sans maquillage. Ses traits sont tirés, son teint est pâle. Je l’accueille avec un grand sourire et tandis qu’elle déshabille