Au Moins Toi Claire Et Heureuse Fontaine

tentative de comparaison entre un mythe repris de deux auteurs : Ovide et La Fontaine. Ces deux auteurs donnent chaqu'un une version différente du mythe de Pygmalion. La problématique que j'ai choisie est : est-ce que Jean de La Fontaine c'est inspiré de la métamorphose de Ovide de son livre X pour faire sa fable 6 du livre IX ? En prenant en compte la métamorphose d'Ovide : Pygmalion et Galatée. Et la fable de La Fontaine : le statuaire et la statue de Jupiter. Dans un premier temps, j'introduis

dépendues, En tant d'endroits d'iceux mon cœur tâtant, Ô mille morts en mille rets tendues, N'en est sur toi volé quelque étincelle. Ô pires maux contre moi destinés !   Maurice Scève (1500-1562) Au moins toi, claire et heureuse fontaine Au moins toi, claire et heureuse fontaine, Et vous, ô eaux fraîches et argentines, Quand celle en vous - de tout vice lointaine - Se vient laver ses deux mains ivoirines, Ses deux soleils, ses lèvres corallines, De Dieu créées pour

monde aurait changé. (Pascal, Pensées) c. En attendant de vos nouvelles / dans l’attente de vos nouvelles, veuillez agréer, Madame, mes salutations distinguées. d. Dans cette atmosphère de calme et de bonheur semble rendre toute cette famille heureuse. e. Rentré chez lui, sa femme était malade. f. Exilé sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l’empêchent de marcher. (Baudelaire, L’albatros dans Les fleurs du mal) g. Le plus grand philosophe du monde, sur une planche plus large

|Mais cet absurde n'est pas semblable à l'angoisse atroce de Baudelaire qui dans son Spleen, despotique, sur son crâne incliné plante son drapeau noir. En effet "Être | |privé d'espoir, ce n'est pas désespéré." L'auteur est en fait beaucoup plus clair que cela, puisqu'il affirme que "la lutte elle-même vers les sommets suffit à | |remplir un coeur d'homme." Et conclut en disant qu'"il faut imaginer Sisyphe heureux."

entrée au ventre ! C'est par peur de la mort que je cours la steppe. » Gilgamesh recherche Uta-napisti dont le nom signifie « celui qui a reçu l'immortalité » : il le rejoint sur son île. Mais en retournant à Uruk, tandis qu'il se baigne dans une fontaine, Gilgamesh, qui a trouvé la plante d'immortalité que lui a indiqué Uta-napisti, voit un serpent la lui dérober : l'humanité sera privée pour toujours de ce trésor. Gilgamesh, en accord avec Paul Valéry se refusait de devoir mourir comme un simple

n’aurai rien à redouter, pas même une de ces admirations qui peuvent nous rendre fières. »……………………………………………………………………………………………….11 Extrait 2 : Lettre XXVI « Je te veux heureuse. » à « En voilà bien assez pour toi. »……..12 B-Lecture cursive Julie ou La Nouvelle Héloïse, Jean -Jacques Rousseau, 1761, Lettre IV de Julie à Claire …….13 Etudes transversales et /ou thématiques • Le romantisme • La représentation (valeurs et codes sociaux, le monde) • Le discours (le monde, les mots publics et

dédié au design global Dossier special : Ville : « lieu de vie » Mobilier urbain Brice Tual, le 4 octobre 2010 Le mobilier urbain recouvre l’ensemble des éléments qui participent à l’équipement de l’espace public : bancs et chaises, bornes fontaines, WC, cabines téléphoniques, abribus, supports publicitaires, éclairages, jeux pour enfants, qui tous participent au confort et aux services offerts aux citadins. 
Il doit être traité avec soin lors de la conception des projets, mais également dans

annexesSéquence 5 : dire, lire et écrire autour des Fables de La Fontaine Séance 1Séance 1Séance 1Séance 1 : à la découverte de La Fontaine: à la découverte de La Fontaine: à la découverte de La Fontaine: à la découverte de La Fontaine Dossier documentaire Jean de La Fontaine est né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, une ville de la Marne. Il grandit dans l’hôtel particulier de sa famille, une famille cultivée. A dix-neuf ans, ses parents l’envoient à Paris, pour qu’il devienne prêtre

très vagues, Très vagues et très heureuses, Comme le regard las que l’on promène Par ce bel après-midi d’été À droite, à gauche, De-ci, de-là, Dans le délire de l’inutile. Chant du ciel. La fleur des Alpes disait au coquillage : « tu luis » Le coquillage disait à la mer : « tu résonnes » La mer disait au bateau : « tu trembles » Le bateau disait au feu : « tu brilles » Le feu me disait : « je brille moins que ses yeux » Le bateau me disait : « je tremble moins que ton cœur quand elle paraît »

multitude d’auteurs » (Mudry 43). C’est en effet ce que nous annonce Jean de la Fontaine dès les premiers vers de sa fable : « s’il est un conte usé, commun et rebattu » (La Fontaine 403). Pourtant, bien qu’il reconnaisse la multitude des adaptations de ce conte mythique, La Fontaine ne résiste pas à l’adapter et le publie pour la première fois en 1682, dans Le poème du Quinquina et autres ouvrages en vers de M. de la Fontaine, puis le reprend, en 1694, pour le joindre au douzième livre de ses Fables