Autorité

France la question de la place de la justice dans la société et dans l'État est en débat depuis le XVIème. Sans doute la réflexion a-t-elle avancée et des éléments de réponse ont été apportés, pour autant, la question de savoir si la justice est une autorité où un authentique pouvoir ne semble pas encore résolue et la prégnance de la culture jacobine a conduit a placer la justice dans une situation de relative subordination à l'égard des autres pouvoirs. Subordination dont la justice s'est peu à peu

Ouvrage : Philosophie de l’éducation, PUF, Que sais-je ?, édition, 1997. Chapitre : Autorité et éducation, pages 69 à 77. Présentation de l’auteur Olivier Reboul (1925-1992), spécialiste du philosophe Alain, était un philosophe français dont les domaines de compétences étaient la rhétorique et la philosophie de l’éducation. Il fut professeur à l’université de Tunis, à l’université de Montréal et à l’université des sciences humaines de Strasbourg. Présentation brève de l’ouvrage

Présentation du contenu de l’ouvrage : Guillaume BONNET est un éducateur spécialisé. Dans son ouvrage : Regard sur la prévention spécialisée : un cas de relation éducative dans la rue, il raconte son vécu en tant que stagiaire éducateur de troisième année sur le rôle de l’Educateur Spécialisé dans un service de Prévention Spécialisée de Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence. Il a été publié et aidé par Pascal LE REST, Conseiller Technique à la Prévention Spécialisée de l’A.D.S.E.A 28 et

Ils nous apprennent Pinocchio et Tintin, quel âge ont-ils à jamais ces deux-là ? Dans les années 20, Hergé donne 14 ans à Tintin, un demi-siècle plus tard, il en a à peine deux de plus ! Qui dit mieux dans le bain de jouvence de la bande dessinée ? Prendre 2 ans en 50 ans, cela signifie que dans 1000 ans Tintin aura 56 ans ! En mille ans, il aura eu le temps de réfléchir au complexe de Peter Pan ^pnous le verront plus en détaille dans la deuxième accepter de grandir partie Peter Pan n'est

nécessaire à l'éducation, elle permet de nous faire violence pour réussir à assimiler ce que l'on veut nous inculquer comme valeurs, comme règles. Elle nous impose certaines limites, elle dit non quand nous les dépassons, pour éviter les dérapages. Sans autorité, un élève peut se sentir plus libre et puissant dans ce qu'il veut faire et ne réfléchira qu'en fonction de ce qu'il recherche, et pas forcément en fonction des conséquences. Il y a un exemple précis que l'on peut donner : avant, en France, il y

Pouvoir et autorité en éducation Pouvoir : trois critères pour définir le pouvoir  La légalité que confère l’institution Les légaux de coercition et de gratification La compétence : tout pouvoir exercé sans compétence est source de conflit » Le pouvoir est caractérisé par son rapport à la loi L’autorité : 2 Critères pour définir l’autorité : La légitimité tout pouvoir exercé sans autorité est source de conflit Le charisme ou la valeur reconnue à la personne Le distinguo entre la fonction (le statut)

domination a évolué et s’est développé. Qu’est-ce qui fait que la domination va s’exercer durablement ? L’élément essentiel qui vient stabiliser ce rapport de domination, c’est la légitimité. Ce rapport social légitimé est appelé autorité. POUVOIR  DOMINATION  AUTORITE    Instable  Stable et durable  légitimé 2. Les sources de la légitimité : 3 grandes sources de légitimité pour construire un idéal-type. Cet idéal type est une construction intellectuelle qui vient systématiser

Max Weber l’autorité rationnelle d’une fonction officielle, qui a été confiée à un individu en vertu d’une compétence attestée et selon le critère légal de règles fixes connues de tous Autorité au travail Des chercheurs américains ont abondamment étudié le commandement dans les entreprises et le rôle du leader ou dirigeant. L’expérience a abouti à une distinction entre plusieurs formes d’autorité en fonction de la personnalité du dirigeant et des représentations que le groupe projette sur lui :

résultats. Il impose son autorité, et contrôle tout. car il pense que les personnes placées sous ses ordres n'atteindront jamais ses compétences, dans aucun de leurs domaines d'activité. Il ne voit guère l'utilité de mieux les comprendre et mieux les connaître, d'autant que leurs salaires et les avantages dont ils bénéficient suffisent, selon lui, à les motiver. Il n'hésite pas à braver les règles de sanction pour prendre en défaut et rejeter ceux qui voudraient contester son autorité. B. Mana

concret, de définir l'état au sens concret (se qu'il fait, décide) Mény Yves et Thoening donne une définition d'une politique publique. Selon eux « Une politique publique se présente sous la forme d'un programme d'action propre a une ou plusieurs autorité publique ou gouvernemental dans un secteur de la société ou un espace géographique » L'idée que la politique publique repose sur l'idée d'un choix cohérent et motivé par de bonne raisons. C'est donc une action programmé que l'autorité publique