Autrement

l’artiste ? Une précision s’impose. Il ne s’agira pas de définir les caractéristiques de cette exception présumée (peut-être que celle ci n’existe pas), de telle façon que l’on puisse de façon arbitraire juger de qui est artiste et de qui ne l’est pas. Autrement dit, on ne légifère pas facilement sur ce qu’est ou n’est pas un artiste. Qu’est-ce qui nous permettrait d’affirmer, en effet, que Francis Bacon est un artiste et que tel autre ne l’est pas et ne le sera jamais ? On répondra sans doute qu’être artiste

Préface pour un Traité du vide de l’opposition radicale entre la raison humaine et l’instinct animale. Ainsi Pascal pense qu’ «  (il est) indigne (…) (de) traiter la raison de l’homme (en) la (mettant) en parallèle avec l’instinct des animaux. » Autrement dit, la raison et l’instinct sont incomparables car ils n’ont ni points communs ni différences. D’une part, l’instinct est un mécanisme, alors que la raison est une faculté. D’autre part, l’instinct ne permet que des conduites répétitives donc

mais est ce que ça doit être ainsi ! Nécessaire et contingent Quelquechose de nécessaire ne peut pas ne pas être, ne peut pas être autrement. Par exemple un feutre va tomber si on le lache, ça ne peux pas être autrement à cause de la gravité. Par contre le nécessaire s'oppose au contingent, le contingent c'est ce qui peut être ou pas , ce qui peut être autrement. Si c'est contingent c'est que ça dépend de quelquechose. Par exemple « il va gagner la course » est contingent. Ca va dépendre de sa

distingue dans la mesure où elle est la sensation interprétée par notre esprit, autrement dit devenue significative. La sensation relève d'un simple ressenti alors que la perception suppose déjà une représentation du monde. Nous voyons qu'ici le terme de « perception » désigne le contenu de cette représentation. N'oublions cependant pas que cette notion désigne également, et surtout, la faculté de percevoir, autrement dit de nous représenter le monde à partir de nos sensations. - Perception actuelle

j’estime que moi aussi j’y ai droit! Je me questionne tout autrement? Comment ont fait ces gens pour posséder d’immenses fortunes?» Ils sont devenus des modèles pour moi! Leur recette: Ils ont travaillé autrement; car même si tu travailles quatrevingt-dix heures de plus durant ta semaine, ce ne serait pas encore suffisant… en plus loin d’être réaliste, pour assumer tous ces frais! L’idée est de travailler autrement… en pensant autrement! J’ai donc commencé à lire sur le sujet et surtout à agir

survécu au déclin de l’Universel ». L’intellectuel est en effet une figure sociale qui a fait de la raison et de l’intellect, et non de l’intelligence, son travail. C’est une personne engagée pour les idées, à la recherche de la Vérité Universelle. Autrement dit, selon Jean-Paul Sartre, l’intellectuel est celui qui, sorti de son domaine de compétence, « se mêle de ce qui ne le regarde pas » (Plaidoyer pour les intellectuels). L’engagement de l’intellectuel se révèle lorsque la Vérité qu’il a découverte

participe aux décisions politiques d'un État, il est son propre maître : il soumet son action à sa propre volonté, autrement dit, il est libre. La liberté de faire   : elle consiste dans la possibilité, dans le pouvoir de faire quelque chose, par opposition à une impossibilité matérielle, naturelle. Elle relève soit du potentiel physiologique d'un être : le « potentiel », autrement dit la puissance d'un être. Soit de contraintes matérielles, physiques qui le prive de la possibilité de faire certains

contrainte sur moi. Il ne s'agit dans cet exemple que de céder à une puissance naturelle plus importante. La contingence de ma liberté est niée: je ne peux que constater que la force, quand elle s'applique, s'applique nécessairement. Il ne peut en être autrement; sinon, il ne s'agit que de dire qu'elle ne s'est pas appliquée. Face à la justice, au contraire, j'ai encore le choix. Tandis que la justice règle la conscience de mes actes, et peut être reliée à ma liberté, la force agit comme une cause déterminante

le paradoxe mis en œuvre pour la maintenir. Il parle de réconciliation (l,4) est donne rapidement le ton sur une société tiraillée et en constante tension. En effet, elle doit partager équitablement la subordination et la liberté de l'individu. Autrement dit, état de nature et pouvoir politique. En bref, elle se doit de soumettre des contraintes telles que les lois mais également favoriser la liberté présente chez chaque homme. La société ne devant se figer doit laisser une part de liberté chez chaque

ni plus ni moins parce que le philosopher est inérant à l’être humain, c'est-à-dire que si on ne peut pas décider de philosopher, de commencer à philosopher c’est tout simplement parce que philosopher (= la vie philosophique) c’est la vie humaine autrement dit la chose que l’acte humaine, la vie humaine c’est la vie philosophique ; ce qui distingue l’homme des animaux c’est tout simplement le fait qu’il va mourir et qu’il a son sentiment de la mort, qu’il ne peut rien n’y changer= grandeur de l’homme