Autumn Rythm

d'outils de comparaison (« Comme » v. 1). La femme est considérée comme la rose : noble, belle, délicate (« belle », « grâce »). La femme à travers la rose est divinisée. b. Sonorités douces et rythmes agréables Effet de son agréable, presque chantant. La répétition de ces sonorités douces donnent un effet de rythme mélodieux et harmonieux. (« o » -> rose : v. 1-14). II- La (manifestation de la) mort Malgré l'aspect divin de la femme et de la rose, toutes les deux restent mortelles et fragiles.

souvent versifiée et rythmée, parce qu'elle utilise les rapprochements de son et de signification, et parce qu'elle est le lieu des images et des figures de rhétorique. Le rythme des poèmes est très important, en effet, les phénomènes de rythme sous-tendent le texte et lui confère une force particulière. Parmi ces phénomènes de rythme : la versification, la reprise d'expression, l'anaphore ou la répétition.... De plus, la poésie engagée met en jeu des notions concrètes ou des symboles. Les hyperboles

Mathilde est «  le pivot de tout ce tournoiement » car c’est sûrement pour elle qu’il est dans ce train. C’est aussi elle qui lui donne son équilibre lorsque tout bouge autour de lui. Elle représente un point d’ancrage. - Son nom «  se mêle au rythme du wagon brutal, suavement » : La paix intérieure que lui procure son sentiment amoureux s’intègre dans le mouvement de la machine. «  suavement » : traduit la notion de plaisir Conclusion : Paul Verlaine fait dans ce poème une déclaration d’amour

Enfin, la description réaliste est dépeinte par « les ânes revenaient du marché de la ville, portant les paysans accroupis sur leurs bâts ». Ces deux alexandrins réguliers et césurés à l'hémistiche amène une harmonie imitative entre la lenteur du rythme du poème et les pas de l'âne. D'autre part, le champ lexical du froid est présent avec « le givre et le vent, le vieillard grelottait de froid ». En outre, le poème contient les 4 éléments, l'air représenté justement par « le vent », la terre par

souffrance du poète. I. Les images de la France a. Un appel Tout d’abord, les apostrophes au vers 1 montre que l’auteur s’adresse à la France comme à une personne. Les répétitions au vers 7 amplifient le caractère pressant de l’appel. De plus le rythme des alexandrins est régulier (3+3+3+3). Enfin, les mots « France » et « ô cruelle » sont détachés rythmiquement ce qui montre aussi que l’auteur fait un appel. b. Une allégorie de la culture et de la civilisation Une allégorie est une personnification

Comportement de l’homme (3 vers) « Nature » majuscule et « homme » = minoré garce à l’absence de majuscule. « L’homme y passe / à travers / des forêts / de symboles » = sans ponctuation pourtant accent tonique * Homme minoré présenté par un rythme en 4 temps (tétramètre)=marche régulière, déshumanisé, fait de lui une sorte d’automate : privé de sensations, il ne voit pas, il ne sent pas=il ne fait que « passer », verbe fort connotant la passivité et l’éphémère. Dénonciation, présentation

raisons amenant l’auteur à choisir cette forme d’écriture. Ce poème doit sa force notamment aux images poétiques qui le compose. On peut remarquer le rythme des rimes dans chaque strophe qui est le même pour les quatre premières : ABABCCDEED, mélange de trois sortes de rimes ; croisées, plates et embrassées successivement. L’alternance des rythmes masculines et féminines est respecté, et les rimes sont généralement riches comme en attestent les expressions : « végètent » / « jettent » v.21, 23. Certaines

fluide : Baudelaire positionne l’homme dans le temps qui passe . Dans les deux strophes suivantes , le rythme est saccadé et s’accelere , la ponctuation est homenipresente afin d’imposé justement le ton saccadé de ces deux strophes en les raprochants au mieux du bruit d’une horloge a la façon d’un : tic tac tic tac . Ensuite dans les deux dernières le temps reprend sa dilatation , son rythme normal , l’angoisse est posée et le lecteur est prit au piege du temps dans la lecture.

disent toute leur musique à voix haute, des poèmes liés au rythme, des poèmes qui ne gardent aucune sonorité prisonnière et ou les mots sont des foyers d’énergie. Le poète arrive donc a sa plus grande créativité a travers les diverses procédés, comme le choix des mots mais surtout leur sonorités comme les assonances, les allitérations et les rimes intérieures et spécialement les harmonies imitatives. La musicalité provient aussi du rythme des vers et des rimes. Les poèmes dans cette anthologie font

mettre en scène un texte. C’est temps laissé entre les répliques peut donc jouer le rôle de découpage sonore de l’œuvre. Nous pouvons aussi observer que les temps sont parfois plus espacés les uns entre les autres qu’à d’autre moments, comme si le rythme s’accélérait. Nous avons put noter également que cette pièce ne comportait pas de découpage en Actes et en scènes comme dans les pièces classiques. En effet le tout est joué d’une seule traite. Nous pouvons donc penser que les silences entre les