Axiome

général a son tour pour etre vrai, doit etre déduite de principes vrais. il y a bien un mmt ou il faut s'arrêterr, c'est ce que l'on appelle en mathématiques des postulats ou des axioms, qui sont les points de départ des démonstrations et qui ne sont pas démontrés car on considère qu'ils sont évidents. Les postulats ou axiomes ne sont pas démontrés, ceci s'explique par leurs évidences. Cela dit cette évidence peut-être remise en cause. on sait par exemple que les postulats d'Euclide, ne sont évidents

systémique Les cinq axiomes de la communication P Wattzlawick, J Helmich Beavin, Don D. Jackson « une logique de la communic ation » • On ne peut pas ne pas communiquer. • Toute communication présente deux aspects – Le contenu /Le digital – la relation/ L’analogique • La nature d'une relation dépend de la ponctuation des séquences de communication entre les partenaires. Octobre 2011 Muriell e Le Breton-Stéphant 16 Approche systémique Les cinq axiomes de la communication

Mais si vous définissez la vie, les tenants de l’intelligence et de la matière vous diront que vous la réduisez et si vous ne la définissiez pas telle un axiome (une hypothèse de départ plutôt qu’un principe) ils vous diront alors vous demeurez a leurs yeux dans la vague. Tel sont les deux versants d’une même rhétorique : si vous avez un axiome vous ne pouvez définir et si vous définissez vous réduisez : toujours jouer sur deux tableaux et les tenir pour incomplets chacun séparément tout en évitant

reposent en fait sur des axiomes implicites concernant les caractéristiques des individus et leur adhésion aux règles et modes de vie proposés. Ainsi, derrière le masque de l’idéal utopique, se dissimule en fait l’injustice sociale. En démontant la logique utopique pour en faire apparaître les faiblesses, nous voulons montrer qu’en général la perfection supposée est impossible. Dans l’imaginaire abstrait aussi bien que dans les réalisations concrètes, les inévitables axiomes implicites de la rhétorique

d’autres vont être plus ancrés dans le monde du quotidien. Ils représentent une recherche de solutions concrètes qui est marquée par un certain pragmatisme. Notre premier axiome définit que « la pensée critique n’est pas limitée à un domaine, mais s’applique indifféremment quel que soit le sujet”. Afin d’éprouver notre premier axiome nous nous efforcerons de proposer des sujets moins conceptuels et de mesurer la capacité des apprenants à transférer le processus de la pensée critique à des sujets divers

génération future, dès lors que la première met en péril la seconde. On se doit ainsi de protéger cette descendance vulnérable par ce principe. Toutefois, ce principe est loin d’être évident. Il convient alors, selon Hans de chercher la réponse à « cette axiome sans justification » dans la religion qui serait apte à expliquer la supériorité de ce qui n’existe pas encore sur ce qui existe. Commentaire Poursuivons alors cette réflexion induite par Hans Jonas en se demandant dans quelles mesures il est possible

monde est d’accord, donc sur des fondements solides, sur des choses indubitables. On peut y voir une parallèle avec les axiomes d’Euclide. (Euclide a écrit Les éléments, le premier écrit sur la géométrie. Il a voulu rassembler tout les résultats et démonstrations antérieures. Il redémontre tout, même les choses les plus évidentes à partir des axiomes de base. Les axiomes sont les vérités admises car tellement évidentes.) Descartes va appliquer la technique des maths pour ses démonstrations philosophiques

(extraits) (...) Nous regrettons que M. Macarel ne se soit pas assez souvenu qu'il avait écrit sur le droit administratif en publiciste avant d'écrire en commentateur. L'auteur, à notre avis, a un tort bien plus grave, celui d'enseigner, comme axiomes du droit, des principes généraux et des maximes absolues qui peuvent bien avoir cours dans l'école, mais qui n'ont jamais formellement reçu la sanction du législateur et qu'assurément le pays n'a point encore admises ; doctrines qui n'ont été

définitions et d'axiomes. Les mathématiques, ce sont une série d'axiomes et de définitions à partir desquelles on peut déduire/démontrer un nombre indéfini d'autres énoncés selon les règles de la logique. Mais qu'est-ce qui prouve la vérité des axiomes et des définitions, vérité dont dépend celle de l'ensemble des propositions dérivées? La solution d'Aristote dans les Analytiques Seconds consiste à affirmer que certaines propositions simples et fondamentales n’ont pas besoin d’être démontrées

individu a des préférences et peut les ordonner. Par exemple, s’il préfère le rouge au vert et le vert au bleu alors il préfèrera le rouge au bleu. Il est cohérent dans ces choix (axiome de complétude) : si un individu préfère A à B et B à A alors il est indifférent entre A et B. Et il n’aura pas de préférences imprévisibles (axiome de continuité). Il y a aussi l’axiome d’indépendance. La théorie de l’espérance d’utilité semble donc être valable puisque le but de l’individu est de maximiser son utilité