Bailli

monarchie absolue. Les assemblées provinciales jouent un rôle très effacé. Le pouvoir est concentré. Au conseil des Affaires qui entoure le roi, composé de peu de membres, tout se décide. Une administration centralisée se met en place dans les provinces (baillis, sénéchaux, gouverneurs). Le nombre des fonctionnaires s'accroît considérablement. C'est au roi qu'il faut acheter les emplois («vénalité des charges»). On passe ainsi de la société féodale du Moyen Age à une société aristocratique. La cour se développe

habitation ». Une légende tenace raconte que l'abbé aurait subi une crise d’apoplexie au retour d’une visite aux bénédictins de Saint-Nicolas-d’Acy, sur l'actuelle commune de Courteuil, qu'il aurait été transporté au presbytère suite à son accident, que le bailli de l'abbaye aurait fait quérir le chirurgien de l'abbaye pour ouvrir le corps afin qu'il puisse procéder au procès-verbal d'autopsie, et que Prévost n'était pas encore mort mais serait décédé sous le scalpel Jean Sgard a démontré que le dernier épisode

roi décide de les faire contrôler, par des hommes qui sont issus de son entourage, que sont les baillis et les sénéchaux. Les baillis et les sénéchaux sont d’abord des envoyés royaux, mais dès le XIIIème siècle on leur confie une part de territoire déterminée, que l’on appelle bailliage ou sénéchaussée (ils deviennent sédentaires). Ces circonscriptions sont encore celle des Etats généraux. Ces baillis et sénéchaux ont des compétences larges, qui touchent aussi bien aux affaires militaires qu’aux

ont été habilités à rendre la justice au nom du roi. Elles sont dotées d'une compétence générale et permanente. Elles vont s'organiser en divers degrés. Au plus bas se trouve la justice des prévôts royaux (juges ordinaires, du Tiers état), puis les baillis et les sénéchaux (apparaissent au XIIs.), et XIIIs. le Parlement. Ce dernier est un démembrement de la Cours du roi curia imparlamentum. Elle s'est lentement détachée de la Cours du roi pour devenir la plus haute instance judiciaire du royaume. C'était

gantier et marchand de cuir prospère, propriétaire de la célèbre maison, dénommée the Birthplace[3], en plus d’être un homme d’une certaine position dans la ville de Stratford[évasif] : en 1565, il y avait été élu conseiller municipal, puis grand bailli (ou maire) en 1568. En 1557[4], il avait épousé Mary Arden, une bourgeoise, et tous deux vivaient dans une maison située sur Henley Street. La réussite de John Shakespeare le poussa à solliciter des armoiries, que William lui fit obtenir en 1596,

Basse-Bretagne, son oncle et sa tante sans nouvelle précise de leur neveu sont inquiets de son absence prolongée. Ils décident de se rendre à Paris pour le secourir mais en vain. par ailleurs, Mademoiselle de St Yves se voit contrainte d’épouser le fils du bailli et le jour même de son mariage, elle s’enfuit pour aller à Paris retrouver son amant. Après bien des enquêtes, elle apprend que l’Ingénu est enfermé à la Bastille. On lui conseille de se rendre chez monsieur de St Pouange, cousin de Louvois, le seul

Basse-Bretagne, son oncle et sa tante sans nouvelle précise de leur neveu sont inquiets de son absence prolongée. Ils décident de se rendre à Paris pour le secourir mais en vain. par ailleurs, Mademoiselle de St Yves se voit contrainte d'épouser le fils du bailli et le jour même de son mariage, elle s'enfuit pour aller à Paris  retrouver son amant. Après bien des enquêtes, elle apprend que l'Ingénu est enfermé à la Bastille. On lui conseille de se rendre chez monsieur de St Pouange, cousin de Louvois, le seul

gens chascun desdix pays de notre royaume » Il y a une volonté de la royauté que les praticiens de chaque baillage se rencontrent pour mettre en place les projets de rédaction des coutumes. 2- « ainsi accordez seront mis et escrits en livres » Le bailli doit présenter un projet de rédaction où il tentera de restituer, avec le plus de précisions, le contenu des coutumes. 3- « apportez par devers-nous » On envoie au roi la rédaction des coutumes. 4- « faire veoir et visiter par les Gens de

cause d'une lettre qui l'accuse de soutenir les Huguenots (les protestants). C'est un espion au service du père La Chaise, qui le dénonça et précisa qu'il était contre les jésuites. De plus, une lettre de cachet (signée par le roi et écrite par le Bailli) dénonce le fait que l'Ingénu veut épouser Mlle de St Yves. La prison est le lieu de sa rencontre avec Gordon qui l'instruit. Gordon montre que les jansénistes sont persécutés. La dernière phrase de ce chapitre traduit un paradoxe (on attendait plutôt

bon sens naturel de cet enfant presque sauvage! Je tremble d’avoir laborieusement fortifié des préjugés; il n’écoute que la simple nature » (p.52). Pendant ce temps, libérée de son couvent pour avoir feint de vouloir se marier avec le fils du bailli, Mlle de Saint-Ives s’enfuit à Versailles et emploie toute son énergie pour délivrer son amant : Monseigneur de Saint-Pouange est la personne passible de l’aider, mais exige d’elle en contre partie le sacrifice de sa virginité. Désespérée, mais conseillée