Baptistère

Symbole d’universalité, unité è Forme circulaire, carré, polygone régulier, croix grecque. Les humanistes étaient convaincu que les plus beaux temples antiques étaient en plan centré à coupole. Cette idée entraine à Florence la construction du baptistère (orthogonal), passe pour être l’ancien temple du culte de Mars. Le Panthéon de Rome, a largement servi de modèle (circulaire sur coupole), très fortement étudié au quattrocento. Alberti pensait que le temple doit toujours être situé dans un

Il existe une concurrence féconde entre sculpture et peinture (la sculpture donne aux peintres l’envie de rendre le volume, les formes réelles). LA SCULPTURE AUX 13ème ET 14ème SIECLES _ Nicolas PISANO (1220-1280) : _il sculpte la chaire du baptistère de Pise et ces reliefs évoquent les sarcophages antiques par la composition et les proportions des personnages : la composition est calme et ordonnée ; c’est le 1er retour vers l’antique. Cependant les plis des drapés sont très dessinés, cassants

bons exemples. L’art de la Renaissance se caractérise par un processus intellectuel. On parle de l’idea. Cela explique le nouveau statut de l’artiste. La Proto-Renaissance : Nicolo-Pisano, Annonciation, Nativité, Bergers, 1260, marbre, chaire du Baptistère de Pise. On voit les draperies de la sculpture antique, les beaux visages nobles, noblesse des figures, psychologie dans les visages qui évoque l’antiquité romaine. Mais pour Vasari, la Renaissance commence avec Giotto. Giotto, Lamentation sur

toutes la suprématie culturelle, mais aussi entre les artistes, qui sont souvent confrontés à des concours pour la réalisation d'œuvres publiques très prestigieuses. On peut citer à ce sujet le concours de 1402 pour la réalisation des portes du baptistère de Florence, que Ghiberti remporte alors qu'il n'est qu'un jeune sculpteur d'une vingtaine d'années, n'appartenant à aucune corporation ni à aucun groupe d'artistes. Cette victoire va propulser le jeune Ghiberti sur le devant de la scène artistique

un cri s'échappa de toutes les lèvres, je devrais dire de tous les coeurs : Vive la Croix ! Vive la Croix ! » . (souvenirs du docteur Delaroche : juron du cocher que personne n’a entendu…) grille placée devant le calvaire provenait de l'ancien baptistère de l'église St-Pierre, situé sous les orgues avant son transfert dans le collatéral. Menaçant ruine, calvaire réparé en 1980 grâce à l'association des « Amis des Vieux Calvaires » et l'aide apportée par la municipalité. Rue du Château Saint-Joseph

encadre le temps Le cycle de la vie : les grandes étapes Le batême, entrée dans la communauté des croyantsPremier sacrement : le baptême. A l’époque antique il se pratiquant à l’âge adulte précédé d’une période d’instruction religieuse. Dans un baptistère avec une cuve dans laquelle on plongeait le baptisé. Il est présidé par l’évêque à la date de Pâques. Immersion.A l’époque médiéval (à partir du 6/7ème siècle), on le pratique à la naissance. Il s’agit d’assurer l’accès du nouveau-né au paradis

ecclésiastique par achat ou donation : lieux de cultes et cimetières. Avec la paix de l’Eglise, l’église-maison laisse la place à la basilique servant de lieu de réunion pour les fidèles. L’évêque se trouve dans une cathédrale à coté de laquelle se trouve le baptistère. Très différent de la religion civique romaine, le christianisme se fonde sur un engagement total de l’individu. Pour mériter le salut, les chrétiens doivent participer aux cultes et aux rites (jeûner le mercredi et le vendredi), mais aussi observe

(par opposition à ajouré) B [haut de page] Baie Fenêtre ou ouverture dans un mur Baie géminée Voir géminé Bandeau Moulure plate en faible saillie Bandes lombardes Bandes de faible saillie verticale ou lésènes reliées par de petits arcs Baptistère Lieu où se pratique le baptême, avec cuve baptismale, souvent intégré à l'église. Souvent une chapelle près d'une église à plan central. Barlong Plus large que longue (rectangulaire) Bas-côté Nef latérale de l'église flanquant la nef centrale

déposé et incarcéré en 1415, mais Giovanni ne l'abandonna pas dans son malheur. Il a payé sa libération. L’ « antipape » est mort à Florence, où le fils de Giovanni, Cosimo, a payé son grand tombeau dans le baptistère de Florence . Une belle tombe de Michelozzo et Donatello que l'on peut encore voire aujourd'hui. Grande ambition et devoir civique à FlorenceGiovanni di Bicci de Medici s'est impliqué tardivement dans la politique florentine

défini et structuré par une construction ordonnatrice. La structure métallique est restée apparente comme celle d’une fabrique. Pour permettre l’exercice du culte religieux dans une atmosphère de paix, il a opté pour un espace ouvert et placé le baptistère exigé par les clauses du concours dans le socle de l’édifice, contrairement aux dispositions du règlement. Pour l’enveloppe de l’édifice, il a proposé, au lieu de vitraux, des dalles d’onyx lumineuses qui ont finalement été remplacées par du marbre