Bartolomé Bennassar

CETTE CONTROVERSE : - suite au massacre des indiens par les Espagnols lors de la colonisation du « nouveau monde » (nouveau continent) . - C’est le Roi CHARLES QUINT a voulu ce débat. PERSONNAGES PRINCIPAUX DE LA CONTROVERSE : 1/Bartolomé DE LAS CASAS : prêtre espagnol qui a vécu avec les Indiens. Il est contre l’esclavage des indiens. 2/Jinez DE SEPULDEVA : savant espagnol, ne s’est jamais rendu dans le nouveau monde. Il est pour l’esclavage. 3/ Un représentant de la

pour en faire un moment de « crise » où l’urgence de la situation, et donc des décisions à prendre, est rappelée à tout moment). Structure, résumé et analyse de la pièce : 1. L’exposition : p. 25 – 29 Du début de la pièce à « Supérieur : Frère Bartolomé, vous avez la parole », p. 29. Au théâtre, le début d’une pièce qui sert d’introduction à l’action s’appelle l’exposition. L’exposition est située au début du premier acte et présente les personnages, la situation dramatique, les registres de la

s'ils ne sont que des animaux. On détruit une de leurs idôles, on enlève leur enfant, force le jongleur à jongler, on fait venir des bouffons pour tester leur humour...:on épie chacune de leurs réactions. Pour finir le légat du Pape donne raison à Bartolomé de Las Casas. Il reconnaît au nom du Pape et de l'Eglise toute entière que les Indiens ont une âme. Néanmoins, le légat du pape est conscient des répercutions économiques de cette décision: les Indiens étaient des esclaves parfait, apportant une

Jean-Claude Carrière, metteur en scène, cinéaste et écrivain, publie en 1992 La Controverse de Valladolid, inspirée d’un fait réel qui eu lieu en Espagne en 1550 à l’initiative de Charles Quint. Dans ce texte sont mis en scène le théologien Sépulvéda et le dominicain Las Casas qui s’affrontent sur la nature de l’Homme, plus précisément la nature des amérindiens : sont-ils comme nous des Hommes ?  Nous pouvons alors en venir à se demander en quoi cet extrait relève deux conceptions radicalement

 L’efficacité des œuvres littéraires permet effectivement de lutter contre les discriminations, l’oppression et toute sorte d’abus. Mais cette efficacité est contrainte par des limites. -> L’œuvre littéraire est-elle un moyen efficace pour lutter contre les discriminations, l’oppression et toute sorte d’abus ? La censure est un des moyens utilisé pour limiter cette efficacité. Ainsi André Gill, dessinateur du XIX ème siècle, s’oppose à l’atteinte de la

sommes trompés sur eux, depuis des siècles ! Ils sont des fils d'Adam ! Le Christ est mort tout aussi bien pour eux ! Ce serait une erreur grave, un péché mortel de … Le cardinal saisit la sonnette et l'agite. - Non, non ! Allons, c'est bien ! Frère Bartolomé, nous n'allons pas recommencer ! Nous ne sommes pas ici pour ça ! Allons ! Le cardinal se lève en disant ces mots, montrant bien que la controverse est terminée. […] 

et du Portugal5. Le pape étant le représentant Divin sur terre, comment pourrait-il être dans l’erreur ? 1.3 Las Casas et la dignité humaine Si les colons d’une part sont persuadés ne pouvoir se passer des services de la main-d’œuvre indigène, Bartolomé de Las Casas, pour sa part, est convaincu du contraire. Il apporte l’idée que si la couronne espagnole laisse faire cet attentat à la liberté, cela «fait perdre à l’implantation espagnole toute légitimité; [et] que les possesseurs d’esclaves […]

Jean-Claude Carrière, La Controverse de Valladolid, 1992, ‘’Comment sont-ils ? ‘’ Intro Un dialogue dramatique L’image du sauvage I. Un dialogue dramatique (théatral) A. Une mise en scène : La présence de didascalies Mise en scène, didascalies théâtrales (comportements, faits et gestes, réaction)  ‘’Las Casas tend la main’’ l.3 Indication sur l’infirmité du personnage  ‘’Il est presbyte’’ l.4 Indications que donnerait un dramaturge  ‘’Un autre sourire passe sur le visage’’ l.23 Retour du romancier

entre le Portugal et l'Espagne empêchent tout passages du côté de Constantinople (ville conquise par les Ottomans en 1453 et qui est donc un lieu de confrontation) et du Cap de Bonne Espérance (au sud de l'Afrique). Cela est également rapporté par Bartolomé de Las Casas, (prêtre qui a accompagné de nombreuses expéditions): "les îles des Moluques (Indonésie) et les autres, d'où les Portugais rapportent au Portugal les épices, tombaient ou se trouvaient du côté de la ligne de démarcation ou de partage

Doc 4 page 171 : Questions 1) Les arguments en faveur de la guerre contre les Indiens sont : leurs idolâtrie, que le docteur Sepulveda considère comme un crime. Pour éviter la guerre, Las Casas préfère aller chez les Indiens pacifiquement afin qu'ils comprennent la religion plus tard. 2) Sepulveda voit les Indiens comme des sauvages, des cannibales. Las Casas voit les Indiens comme des «bons sauvages» qu'il faut éduquer Portugais et Espagnols se partagent les terres connues et inconnues