Bartolomé De Las Casas

l'Église Catholique ne s'en souciait pas, le plus important était l'énorme croisade qu'ils venaient d'entreprendre. Cependant la méthode violente et sauvage des conquistadors espagnols a été blâmée par certains prêtes comme les prêtes dominicains Bartolomé de Las Casas et Antón de Montesinos que l'on voit dans le film. L'équipe du tournage du film s'installe à Cochabamba une petite Ville de Bolivie afin d'y tourner le film d'époque. Le choix du lieu s'est réalisé pour des raisons financières car c'est

tenir au temps de Colomb, de tous les voyages maritimes du temps aucun ne peut être connu avec tant de minutie et de sérieux. » Deux documents écrits permettent de suivre les navires de l'explorateur : le Journal, dans la version donnée par Bartolomé de Las Casas, et la lettre à Santangel, écrite le 14 février 1493 sur la route du retour, sorte de bilan de son expédition adressée en Espagne. Par ailleurs, à compter de 1938, l'amiral américain Samuel Eliot Morison a entrepris de refaire le périple du

et prend part à la dispute. Dans la Controverse de Valladolid de Jean Claude Carrière adapté sous forme théâtrale qui oppose le philosophe Sépulvéda au dominicain Bartolomé de Las Casas à propos de la nature des Indiens , le spectateur est là, attentif, et attend l’issue du combat « Supérieur.- Et ils ne se défendaient pas ? Las Casas.- Ils ne comprenaient pas qui nous étions […] Qui sait ? Peut-être pensaient-ils au début que ce n’était qu’un simulacre de la mort ? […] Que les cadavres allaient

par la philosophie d'Aristote, il y justifie, par le but de les élever au même niveau, un droit des peuples de civilisations plus développées à soumettre les autres et s'oppose en cela aux idées de Francisco de Vitoria. * Il s'oppose à Bartolomé de las Casas et publie son De justis belli causis apud un indium pour répliquer aux Trente propositions très juridiques de ce dernier. Cela amène la réunion de théologiens à Valladolid (Controverse de Valladolid) en 1550 destinée à discuter de la légitimité

Belin et :n° spécial : « Le temps des explorateurs », revue l’Histoire, n°296, page39 Document n°8 :Les voyages de Christophe Colomb ; n° spécial : « Le temps des explorateurs », revue l’Histoire, n°296, page39 Document n°9 : témoignages de Bartolomé de Las Casas (religieux espagnol) ; Relations des voyages et des découvertes des Espagnols, 1542. Éléments de contextualisation : - état des connaissances de la géographie au début du XVème siècle : la carte de Martellus montre les continents

vice-royautés : Nouvelle Espagne (Mexique), Pérou (Lima), Nouvelle Grenade (Bogota), Rio de la Plata (Buenos Aires). Pour exploiter les richesses agricoles et minières, les espagnols utilisent les indiens et les contraignent en esclavage. Le frère Bartolomé de Las Casas se rebelle contre les colons et lance une polémique sur les droits des indiens. Dès le XVIé sicèle des lois pour protéger les indiens et favoriser leur évangélisation sont promulguées. Cependant pour se soumettre aux lois et continuer à produire

chercher l‘auteur. Son argumentation direct lui a servi pour choquer mais a la fois convaincre les lecteurs autrement dit les Français. La vrai histoire de la controverse de Valladolid est un débat qui opposa essentiellement le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepúlveda au collège San Gregorio de Valladolid. Le débat porte sur le fait de savoir si les Espagnols pouvaient coloniser le Nouveau Monde et dominer les Indiens. Cet événement historique ne doit pas être confondu

toutes ses possessions américaines lors du traité de Paris (1763), ce qui mit fin à la guerre de Sept Ans (1754-1763).  La Louisiane fut cédée en compensation à l’Espagne (alliée de la France). La France la récupérera en 1800. 36 Bartolomé de Las Casas (1474-1566) 37 La vie dans les encomiendas 38 Francisco Vázquez de Coronado (1510-1554) Bigfoot (1825?-1890) 39 Hiawatha (Iroquois) – Civilization V 40 41 42 Bibliographie : Abc-latina.com Bibliothèque nationale

los Reyes Catolicos, en donnant « une image à la fois édifiante et dramatique (…) intéressante certes, mais brossée à très grands traits, sans beaucoup de nuances »14. Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du xvie siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer

les peuples. Ils avaient tendance à minimiser leurs défaites, à glorifier leurs conquête et à noircir le portrait des peuples du nouveau monde en exagérant certaines scènes de cannibalisme pour horrifier les meurs Européens. Certains, comme Bartolomé de Las Casas dans son ouvrage « Très brève récit de la destruction des Indes » minimisent les actes des Aztèques et vont même jusqu’à livrer une image positive d’eux. L’un des principaux récits de conquistadors reste celui de Bernal Diaz qui rédige « L'Histoire