Bartolomé De Las Casas

Reyes Catolicos, en donnant « une image à la fois édifiante et dramatique (...) intéressante certes, mais brossée à très grands traits, sans beaucoup de nuances »[11]. Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du XVIe siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer

aurait longtemps dit que Bartolomé de Las Casas, le défenseur des Indiens, aurait été à l'origine de l'introduction en Amérique d'esclaves africains dans le but de soulager la misère des indigènes. Cependant, celle-ci aux mains des Portugais depuis le milieu du XV ème, existait déjà en Espagne avant la découverte de l'Amérique et faisait partie sans problème de l'univers mental, comme des pratiques sociales de l'époque. D'ailleurs, dès 1501, bien avant les campagne de Las Casas, la Couronne envisagea

développement de la plantation. Ce mode d’organisation économique n’a pas été inventé à ce moment précis, il existait déjà en Europe, y compris la plantation sucrière (Madere et les Canaries). - Esclavage des Indiens - Bartolomé de las Casas - Sepulveda Les arguments de las Casas va convaincre le roi d’Espagne afin de supprimer l’esclavage des Indiens. 1735 le Pape interdit l’esclavage des Indiens. L’esclavage sur le sol français était interdit. Un esclave qui mettait le pied sur le sol français

est celle du requerimiento: le notaire qui fait partie de l'expédition lit un texte aux Indiens qui les invite à accepter l'autorité royale et la prédication de l'évangile. Voici le contenu du requerimiento, d'après la Historia de las Indias de Bartolomé de Las Casas: « Par les meilleures voies possibles, nous vous prions et requérons de bien comprendre ce que nous venons de vous dire, et d'y consacrer tout le temps et toute la délibération nécessaire de reconnaître l'Eglise comme autorité suprême

humaines, essentiellement parce qu'il nécessite la représentation, la médiation d'acteurs. Aussi, le théâtre présente parfois des personnages et faits qui réellement ont existé pour instruire et sensibiliser, comme la présence du personnage Bartolomé de las Casas dans l'œuvre «La Controverse de Valladolid», dont son témoignage sur les atrocités commises lors de la découverte de l'Amérique provoque au lecteur ou spectateur un profond sentiment de tristesse et de pitié. Le théâtre reflète dans plusieurs

Christophe Colomb, Journal de bord, 1492 Extrait de la copie abrégée par Bartolomé de Las Casas Jeudi 11 octobre II navigua ouest-sud-ouest. Ils eurent grosse mer, plus que jusque-là au long du voyage. Ils virent des pétrels et un jonc vert tout près de la nef amirale. Ceux de la caravelle Pinta virent un roseau et un bâton et ils saisirent un autre bâtonnet travaillé, à ce qu'il leur parut, avec le fer ; puis encore un morceau de roseau et une autre herbe, qui pousse en terre, enfin

los Reyes Catolicos, en donnant « une image à la fois édifiante et dramatique (…) intéressante certes, mais brossée à très grands traits, sans beaucoup de nuances »13. Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du XVIe siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer

Colomb, de tous les voyages maritimes du temps (...) aucun ne peut être connu (...) avec tant de minutie et de sérieux. »[28] Deux documents écrits permettent de suivre les navires de l'explorateur : le Journal, dans la version donnée par Bartolomé de Las Casas, et la lettre à Santangel, écrite le 14 février 1493 sur la route du retour, sorte de bilan de son expédition adressée en Espagne. Par ailleurs, à compter de 1938, l'amiral américain Samuel Eliot Morison a entrepris de refaire le périple du

texte n'est pas sûr. Ces différents textes et documents ont tous été traduits en français. Portrait posthume de Christophe Colomb peint par Sebastiano del Piombo] Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du XVIe siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer

décimés par la maladie, l'esclavage et la guerre. Certains ne trouvaient une issue à leur condition servile que dans le suicide. C'est en 1517 que l'Espagne achemine en Jamaïque les premières soutes d'esclaves africains. Un prêtre espagnol, Bartolomé de Las Casas, œuvre à la protection du peuple taino. C'est lui aussi qui suggère, ce qu'il devait regretter par la suite, d'avoir recours à des esclaves africains. Il écrit plusieurs livres dans lesquels il dénonce avec véhémence le mauvais traitement