Bassora

(300 apr. J.-C.), une inscription chrétienne (accompagnant deux textes dédicatoires en grec et syriaque) à Zebed au sud-est d’Alep (512), une autre à Harran au sud-est de Damas (568) et un graffiti (de la même période?) à Umm al-Djimal au sud de Bassora, soit indirectement, comme l’inscription de l’église de Hind à Hira (560) qui nous est rapportée par des historiens musulmans. Mais il nous est aussi parvenu une abondante littérature, des poésies surtout, et de courtes chroniques en prose, attribuées

..................................... page 30 8. Récit policier et énigme La Puce, détective rusé ....................................................................................................................................page 31 Ali de Bassora, voleur de génie .............................................................................................................. page 32 Je présente un livre .......................................................................................

villes. Puis, très vite des mercenaires turcs ont été engagés par les dirigeants arabes. Leurs qualités militaires étaient déjà connues du vivant de Mohammed. On trouve, dès 674, la présence d’un contingent de 4000 archers auprès du gouverneur de Bassora. Dès le VIIIe siècle les Turcs parviennent à occuper des places importantes dans l’appareil de l’Etat. Mais ils resterons fidèles à leurs traditions et à leurs croyances : « … leur résistance à l’assimilation ; leur attachement au pays où ils sont

Une flotte à l’ancre qui dort ! A toi, jamais à tes rivales, Mes spahis aux rouges turbans, Qui, se suivant sans intervalles, Volent courbés sur leurs cavales Comme des rameurs sur leurs bancs ! A toi Bassora, Trébizonde, Chypre où de vieux noms sont gravés, Fez où la poudre d’or abonde, Mosul où trafique le monde, Erzeroum aux chemins pavés ! A toi Smyrne et ses maisons neuves Où vient blanchir le flot amer 

le pangermanisme). La Russie avait beaucoup d’intérêt économique et politique qui faisaient qu’elle voulait dominer les détroits. • L’Autriche : Elle veut plus de débouchés sur la Méditerranée, elle cherche a obtenir Salonique, Istanbul et Bassora. Salonique lui permettrait l’obtention d’une meilleure place sur la Méditerranée. Elle veut suivre la route de Salonique en s’étendant ver l’Est et en Méditerranée. • L’Angleterre : Grâce au Congrès de Vienne elle a obtenu Gibraltar. Elle

centre administratif pour la Palestine. Elad décrit la Jérusalem des premiers siècles du règne de l'Islam comme «une cité isolée, sur le déclin». Le grand historien S. D. Goitein relève que le dictionnaire géographique d'al-Yaqut mentionne Bassora 170 fois, Damas 100 fois et Jérusalem une seule fois, et cela uniquement en passant. Sur la base de ce fait et de plusieurs autres, il conclut que, durant les six premiers siècles du règne musulman, «Jérusalem occupa essentiellement le rang

l'on revient justement à la situation de 1990-1991, on a un précédent concernant l'usage des armes chimiques. Saddam Hussein avait en effet eu recours à ces armes en 1988 contre l'Iran, puis a réutilisé ces armes en 1991 au Kurdistan irakien et à Bassora. En 1989, à la suite de l'usage des armes de 1988, une conférence avait été réunie à Paris pour réaffirmer cette interdiction d'user des armes chimiques. A l'évidence, Saddam Hussein n'avait pas entendu l'avertissement. Les sanctions prises en avril

Même si, en s'appuyant sur les deux biographes avec soin, nous pouvons reconstituer ensemble un assez crédible, si inégal, le récit de la carrière d'Ibn al-Haytham. 1 Par exemple, nous sommes à peu près certain que son lieu de naissance était Bassora la côte du golfe Persique de l'Irak moderne. Selon un compte, en fait, il a fini par atteindre le niveau de vizir il. Nous sommes à moins certain de la date de naissance d'Ibn al-Haytham. Une source nous permet de déterminer à 965, mais, en dépit

c’est aussi la terre des civilisations anciennes valorisées par l’auteur, tandis que les pays occidentaux sont présentés selon la réalité du XVIIIe siècle ; ainsi, le périple de la princesse commence à Babylone, sa ville natale, suit le chemin de Bassora, vers l’Arabie Heureuse, pour traverser les Indes et la Chine. Elle passe ensuite à travers la Russie pour visiter les principaux pays de l’Occident; c’est alors une occasion de faire le bilan de la situation en Europe au XVIIIe siècle, par exemple

Grâce à son habileté, sa science et sa sagesse, il devient l’ami de son maître Sétoc. Zadig parvient ensuite à faire abolir une coutume barbare appelée « le bûcher des veuves ». Mais cette réforme  lui vaut la haine des prêtres. Lors d‘un souper à Bassora,  réunissant des convives de divers pays, les invités se querellent pour d’obscures questions de rites. Zadig parvient à les réconcilier en leur prouvant qu’ils sont tous du même avis et qu’ils adorent le même Dieu.  Mais les prêtres qui n’ont toujours