Baumol

néo-institutionnelles et évolutionniste », Ed. LIRHE, Toulouse, Février 2000, p.5. 30 Première partie                        Chapitre I :   La survie et la pérennité de la PME : aspects théoriques  Sous l’influence de certains auteurs à savoir W.J. Baumol ; H. Simon ; Cyrt et March; Chandler; et face aux limites de l’analyse dite classique, l’élaboration d’une théorie de la firme s’est progressivement imposée en se déployant dans plusieurs directions. Nous en retenons, pour l’objet qui nous intéresse

Growth Development Patterns », Note d’orientation, Brookings Institution Center of Urban and Metropolitan Policy. Naess, P. (2001), “Urban Planning and Sustainable Development”, European Planning Studies, Vol. 9, No. 4. Oates, W.E., E.P. Howrey et W.J. Baumol (1971), « The Analysis of Public Policy in Dynamic Urban Models », Journal of Political Economy, vol. 79, no 1, janvier/février, pp. 142-153. OCDE (2001), « Mieux vivre dans la ville. Le rôle de la gouvernance métropolitaine », éditions OCDE, Paris

donc essayer de limiter la taille des entreprises. L’école de Chicago est au contraire pour la non intervention, plus libéral, THEORIE DES MARCHES CONTESTABLES : politique de non concurrence, laisser les firmes libres dans les années 80’ avec W. BAUMOL. Cette théorie dit que si un monopole apparaît, l’entreprise doit tout de même faire attention au marché, car tous les marchés peuvent être attaqués/ contestés. Le marché régule tout seul pas besoin d une politique de concurrence, il y aura toujours

consommation, cela impose le développement des grandes entreprises. Puis ces entreprises ont les moyens, grâce à leur profits de financer la R&D. Les nouveaux produits ont souvent pour origine des investissements réalisés par les grandes entreprises. Baumol dit que dès lors que le marché sur lequel se trouve l'entreprise est contestable, et bien il n'y a pas de véritables monopole (virtuel), il n'est que temporaire jusqu'à la découverte d'innovations. Chapitre 3 : Les Coûts de Production et l'Offre

dépenses publiques prennent exactement la place des dépenses privées et l’effet de relance est nul. III.3.2. - L’impôt chez les ultralibéraux Les économistes ultra-libéraux, tels que LUCAS (R.), BARRO (R.), SARGENT (T.), Neil WALLACE (N.) ainsi que BAUMOL (W.) PANZAR (J.) et WILLIG (R.) ont repris les hypothèses monétaristes, mais en les radicalisant davantage. En matière de fiscale, on peut retenir une idée centrale chez ce courant de pensée : le Gouvernement doit résolument inscrire sa politique

l’implication de ceux-ci dans le débat, entraînant les universitaires avec eux. Il convient d’ailleurs de noter que cette décennie d’écart entre Etats-Unis et Europe ne reflète pas un retard des professionnels et universitaires européens sur 20 21 BAUMOL et BOWEN, 1966 FELDSTEIN, 1991 22 GALARD, 2001 6 leurs homologues américains, mais est la conséquence d’une évolution différente entre les musées américains, historiquement encouragés à la privatisation, et les musées européens, historiquement

and J. Pan (eds.), Eisenach, Allemagne, 14-15 February. Babusiaux, D., 1990 : Décision d'investissement et calcul économique dans l'entreprise. (Chapitre 2: les critères empiriques) Collection "Economie et Statistiques avancées", Economica. Baumol, W.J. et W.E. Oates, 1998 : The theory of Environmetal Policy. Cambridge University Press, 2nd edition. Bœhringer, C. et T.F. Rutherford, 1997 : Carbon Taxes with Exemptions in an Open Economy - A General Equilibrium Analysis of the German Tax

and J. Pan (eds.), Eisenach, Allemagne, 14-15 February. Babusiaux, D., 1990 : Décision d'investissement et calcul économique dans l'entreprise. (Chapitre 2: les critères empiriques) Collection "Economie et Statistiques avancées", Economica. Baumol, W.J. et W.E. Oates, 1998 : The theory of Environmetal Policy. Cambridge University Press, 2nd edition. Bœhringer, C. et T.F. Rutherford, 1997 : Carbon Taxes with Exemptions in an Open Economy - A General Equilibrium Analysis of the German Tax

donc essayer de limiter la taille des entreprises. L’école de Chicago est au contraire pour la non intervention, plus libéral, THEORIE DES MARCHES CONTESTABLES : politique de non concurrence, laisser les firmes libres dans les années 80’ avec W. BAUMOL. Cette théorie dit que si un monopole apparaît, l’entreprise doit tout de même faire attention au marché, car tous les marchés peuvent être attaqués/ contestés. * Le marché régule tout seul pas besoin d’une politique de concurrence, il y aura

des clients, alors BNP ne récupérera pas ses couts d’investissement. Toutes ces activités ont correspondu à un cout d’entrer irrécupérable à la sortie. Ce sont des investissements immatériels. La théorie des marchés contestables (développée par Baumol, Panzar et Willig à la fin des années 1970) fournit une nouvelle analyse des structures de marché à partir des concepts de barrières à l’entrée et des coûts irrécupérables. • Un marché dans lequel l’entrée est parfaitement libre et dont la sortie