Baumol

1980 qui a mis en place 3 mesures : la diminution des impôts, la diminution des revenus de transfert et la dérèglementation du marché du travail. La phrase de Laffer : « trop d’impôt tue l’impôt ».  La théorie des marchés contestables de William Baumol. Un marché est contestable si les conditions de libre entrée et de libre sortie sont vérifiées. Tout investisseur peut acquérir l’équipement et le matériel nécessaire à sa production et entrer en compétition avec les firmes déjà installées. Enfin

la différenciation des produits en concurrence imparfaite => on lève l’hypothèse d'homogénéité des biens . Les biens sont matériellement et subjectivement différents . On a des courant nouveaux qui apparaissent : •le courant managériale (1950) => BAUMOL , développe une approche qui met en cause l'hypothèse de maximisation des profits de l'E comme étant l'unique fonction objective de l'entreprise. Les managers vont servir leur intérêt qui est l'évolution du chiffre d'affaire de l'entreprise ,de la

l’adjudication en faveur de celui qui s’engage à fournir le service au prix le plus bas. Par ailleurs l’objectif de la déréglementation est de rendre les marchés « contestables ». Selon la théorie des marchés contestables développée en particulier par Baumol, le monopole naturel se comportera de façon optimale s’il est soumis à la menace crédible d’entrants virtuels. Ainsi il n’abusera pas de la situation s’il sait qu’il peut être évincé du marché par une autre entreprise plus performante. C’est le théorème

la concurrence représente la vertu économique alors que le monopole est condamnable. Cette thèse selon laquelle il faut taper sur les grandes entreprises est aujourd’hui controversée par des théoriciens. Cependant, tout un courant théorique dont Baumol vont montrer que la grande entreprise à un rôle fondamental et n’est pas un problème pour la petite E. La petite va s’appuyer sur la grande E. Donc amélioration d’un grand nombre de gestion de l’E. En ce qui concerne la petite E : On se rend

importance dans l’analyse de l’autorité de la concurrence. SECTION 1 : BARRIERES A L’ENTREE ET CONTESTABILITE Libre entrée et libre sortie sont des hypothèses essentielles à la CPP. Quand on parle de contestabilité, on parle souvent de l’économiste BAUMOL qui montre qu’en présence de libre entrée, un monopole peut-être contraint de pratiquer des prix concurrentiels donc inférieurs aux prix de monopole et donc la libre entrée permet d’atteindre l’efficacité. Concurrence effective : Liée aux nombres

traduction des données réelles en hypothèses et de leur traitement (1). (1) Modélisation de la gestion de l'encaisse monétaire d'une entreprise : I - Les modèles mathématiques d'optimisation. A - Modèles normatifs en avenir certain. 1°) Le modèle de BAUMOL. BAUMOL (W.J.) : « The transactions demand for cash : an inventory theoritic approch », Quaterly journal of economics, nov. 1952, pp. 545 - 556. 2°) Le modèle de TOBIN. TOBIN (J) : « The interest-elasticity of transactions demand for cash », Review of

new Palgrave : A Dictionnary in Economics. Barzel (1989), Economic Analysis of Property Rights, Cambridge University Press. 16 Cette thèse développée par Berle A.A. et Means G.C. (The Moderne Corportation and Private Property, Macmillan, 1932) ou Baumol W.J. (Business Behavior, Value and Growth, Macmillan, 1959) entre autres, établit que l'objectif de maximisation du profit soutenu par la théorie néoclassique standard n'est pas vérifié. Car si l'objectif des actionnaires (propriétaires) est la maximisation

traduction des données réelles en hypothèses et de leur traitement (1). (1) Modélisation de la gestion de l'encaisse monétaire d'une entreprise : I - Les modèles mathématiques d'optimisation. A - Modèles normatifs en avenir certain. 1°) Le modèle de BAUMOL. BAUMOL (W.J.) : « The transactions demand for cash : an inventory theoritic approch », Quaterly journal of economics, nov. 1952, pp. 545 - 556. 2°) Le modèle de TOBIN. TOBIN (J) : « The interest-elasticity of transactions demand for cash », Review of

assimilée à un revenu supplémentaire transitoire, n’influencera le niveau de la consommation qu’à la marge. b) Le courant des ultra-libéraux Les économistes ultra-libéraux, tels que LUCAS (R.), BARRO (R.), SARGENT (T.), Neil WALLACE (N.) ainsi que BAUMOL (W.) PANZAR (J.) et WILLIG (R.) ont repris les hypothèses monétaristes, mais en les radicalisant davantage. En matière de finances publiques, on peut retenir trois idées centrales chez ce courant de pensée : Premièrement, la relance budgétaire

rapide et fiable expose au risque d’une marginalisation économique et sociale, dans la mesure où de plus en plus d’échanges commerciaux, culturels et intellectuels passent par les réseaux des TIC. 187 BIT: Base de données EAPEP, op. cit. 188 W. J. Baumol: The free market innovation machine: Analyzing the growth miracle of capitalism (Prin- ceton University Press, 2004). Une croissance rapide pourrait réduire les inégalités dans le monde Une transformation qui n’en est qu’à ses débuts Les risques