Beau Dommage

Il faut interpréter le mot "beau" de plusieurs façons, beau d'un point de vue artistique,mais aussi "beau" dans le sens les choses efféctués à cette époque était elle bien vue ? effectivement le "beau" doit être interprété par des facteurs multiples, ça dépend de ton programme, de tes cours! Voit l'échelle: la France ou l'Europe? Le 16e s. c'est quoi (pensée, techniques, guerres)...), qui (monarques, penseurs, réformateurs...)? Ah oui pour le nombre de page ne t'en inquiète pas maintenant

Paul Valery et Stendhal on tous les deux cherchés à définir le beau. L’un a dit « la définition du beau est facile, il est ce qui désespère » le second « le beau est la promesse du bonheur ». Paul Valery est un écrivain, poète, philosophe et épistémologue français du XXème siècle qui a appartenue au mouvement du Symbolisme et Constructivisme épistémologique. Stendhal est un écrivain français du XIXème siècle qui appartenait au mouvement romantique. La question qui nous est posé est : qui a raison 

représentation qui lui correspond, chacun aurait face à une œuvre un sentiment différent. Pouvons-nous alors démontrer qu’une œuvre d’art est belle ? Pouvons-nous lui transmettre objectivement et de façon raisonnée une appréciation aussi subjective que le beau, une appréciation qui ne répond pas à des données scientifiques mais à un ensemble de ressentis ? Quelles en seraient les conséquences pour autrui, qui est à la fois notre égal, notre alter ego, mais aussi et avant tout un autre, une personne différente

Plotin enseigne qu’il «existe» une «cause simple, première, dépourvue de toute qualité et de fait ineffable, à l’origine de toutes les réalités qui proviennent successivement de lui». Il la nomme l’Un, le Bien. L’Un est la source et le principe du Beau: il donne naissance «à l’Intellect, constitué par des Formes intelligibles. Celles-ci sont les réalités véritables, les êtres, les véritables vivants. L’être intelligible n’est pas dépourvu de la vie dont on pourrait croire qu’elle n’est qu’une propriété

présuppose que l’on est souvent tenté de convaincre autrui, que nous avons pour habitude de vouloir à tout prix faire partager notre admiration. Une telle question présente des enjeux conséquents. En effet, il y va non seulement de l’universalité du beau, mais aussi et avant tout du respect de la subjectivité d’autrui. L’enjeu ontologique de la question est essentiel : c’est tout simplement la subjectivité, la liberté de notre semblable qui est en jeu ici ! Afin de mener à bien notre investigation

le monde en étant cousin avoué de Mme de Beauséant » + multiples expressions, marques de son adoption dans le monde (« Il reçut le plus gracieux accueil de la maréchale… Et pour terminer, une formule hyperbolique : « Il se vit lancé dans le plus beau monde de Paris ». Un nouvel équilibre de la relation amoureuse : Il est établi par le succès d’Eugène – Inversion du rapport de séduction entre les deux amants – La suprématie passe de son côté, il est celui « de qui elle attendait impatiemment un

un premier temps que si « une construction est correcte sur le plan architectural, une certaine élégance émanera de sa structure » Pourtant, et l’auteur le souligne, de nombreuses structures pourtant correctes semblent laides pour beaucoup. Le beau est subjectif, et les critères de beauté évoluent au cours du temps, seule la perfection structurale mène à la beauté.

au poème. Le « vous » est la femme qu’il aime et le nous représente le collectif, le couple. Par rapport à la thématique des Fleurs du mal, le fait que de la mort s’échappe la mort, montre que du laid nait le beau ou vice versa comme le suggère le titre. La charogne se trouve dans un beau décor, elle a quelque chose d’opportuniste. Il y a aussi l’évocation de la continuité de l’amour. Il y a tout au long du texte un champ lexical de la nature. Strophe 1 Il y a d’emblée un impératif ce qui

de tendre vers le monde intelligible. Monde caracterise par l'esprit et les valeurs fondamentale tel que le bien, le beau et la verite . Platon analyse l'art dans sa dimension illusoire et trompeuse, l'art comme mensonge. Dans la "republique". Il banit les poetes de la cite ideal. L'art n'est qu'imitation d'imitation. C- Le beau est-il naturel ou culturel? Ou placer le beau? Dans l'art ou dans la nature? Ne fait-on qu'imiter ce qui se présente a nous? A travers le fait d'observer ce qui

l’avons du tout étouffée. Si est-ce que, partout où sa pureté reluit, elle fait une merveilleuse honte à nos vaines et frivoles entreprises. Le lierre pousse mieux de lui-même, L’arbousier pousse plus beau dans les antres solitaires, Et le chant des oiseaux est plus beau parce qu’il est sans art. Tous nos efforts ne peuvent seulement arriver à représenter le nid du moindre oiselet, sa contexture, sa beauté et l’utilité de son usage, non pas la tissure de la chétive araignée