Bergson Nous Ne Voyons Pas Les Choses

universitaire 2004-2005 Sociologie Cours de M. Raphaël Liogier INTRODUCTION A LA SOCIOLOGIE : Différencier la logique des choses et les choses de la logique. Dans la logique des choses, il s’agit de comprendre pourquoi les choses sont logiques de manière externe, en quoi les chose sont elles conditionnées par l’externe. Dans les choses de la logique, il y a une notion d’interne. Dans le cours, il s’agira de comprendre comment une pensée sociologique est elle possible

ou le comportement humain. Le progrès des sciences abandonne le finalisme. La seule cause qui reste est la cause efficiente. « Nous n'avons pas des yeux pour voir. » -Lucrèce. Faux, c'est l'inverse. C'est parce que nous avons des yeux que nous voyons. La notion de cause favorise le substantialisme et l'obscurantisme (quelque chose qui est obscurément la cause que l'on voit. Négation du savoir et de sa diffusion). Chosisme : selon Hume, la relation de cause à effet n'est pas logique (= cette

par le rire revient donc à exprimer des intentions très diverses à l’aide d’un signe toujours identique. C’est comme si l’on disait la joie, le mépris, l’étonnement, la timidité, avec toujours la même phrase. De plus, on ne peut exprimer beaucoup de choses par le rire. Pour la transmission de l’information, le rire est donc un moyen limité et assez confus. Pour le partage de l’émotion, il est efficace. En effet, il attire l’attention et bien souvent nous semble agréable, au point qu’on a envie de l’imiter

moins du monde. C’est contre ces pensées de survol que Merleau-Ponty cherche à construire sa propre 1[1] Le visible et l’invisible (VI), p. 18 : « Ce sont les choses elles-mêmes, du fond de leur silence, que [la philosophie] veut conduire à l’expression ». Idem, p. 60 : la philosophie doit porter au langage « notre contact muet avec les choses ». 2[2] Causeries (Cs), p. 58 : « La musique nous fournirait un exemple trop facile et auquel, pour cette raison même, nous ne voulons pas nous arrêter ». 3[3]

sentiments, ou des émotions de l’âme, qu’on rapporte particulièrement à elle, et qui sont causées, entretenues et fortifiées par quelque mouvements des esprits (animaux) ». B. L’union de l’âme et du corps. « Pour entendre plus parfaitement toutes ces choses, il est besoin de savoir que l’âme est véritablement jointe à tout le corps »3 (art. 30). Il est en effet impossible de considérer les rapports de l’âme et du corps sur le modèle du rapport entre un pilote et son navire. L’âme ne se trouve pas en

une femme qui explique que l'appréciation de la beauté par les sens est le plus bas niveau de beauté, au dessus de cette beauté par les sens, il y a la beauté des actions, le mieux est de comprendre intellectuellement l'harmonie des proportions des choses. Le terme art ne s'applique pas à toutes les cultures ou époques. Quand on pense à l'art on pense souvent à la peinture et aux œuvres héroïques de la Renaissance mais l'art est une pratique universelle qui varie selon les pays. Ex : L'art africain

à Lyon, vous ne devez absolument pas déborder des 15 lignes. Mes résumés: Ces résumés ne sont pas une correction officielle mais les résumés que j'avais fait en prépa, pour vous donner des idées de reformulation, de connecteurs logiques, des choses à faire ou non... Résumé de "La culture d'entreprise" Résumé de "Qu'avons-nous fait de leurs 20 ans ?" Résumé du "Stade de l'embauche" Résumé de "L'obsession de la santé parfaite" Résumés et discussions Tous les textes à résumer peuvent

par rapport à la nature? L'utilisation des techniques est-elle rationnelle? Les techniques ont beaucoup évolué au cours des années, l'homme cherche toujours à aller au delà de ce qu'il possède déjà. C'est un besoin, il doit créer, inventer des choses que la nature n'as pas pu lui fournir. Ce qui est attaché à l'idée de technique, c'est le souci d'être efficace, d'obtenir les effets voulus. Les techniques peuvent donc satisfaire les besoins ou les désirs des hommes, ils faut qu'ils aient de l'imagination

l’image d’une sphère pleine et immense se mouvant dans l’espace autour du soleil. Mais que savons-nous de la terre ? De cette réalité nous ne connaissons vraiment que le sol, nous sentons son attraction par l’effort nécessaire pour s’y déplacer, nous voyons sa surface colorée et escarpée, ses rivières, ses plaines, ses montagnes, ses lacs et ses mers. Alors la terre, qu’est-ce donc, sinon un préjugé, une idée reçue déposée dans la langue, qui se présente à mon imagination quand je lis sa définition ou

nous fiant le plus clair du temps à nos seules perceptions, nous n’accédons qu’à « une simple pratique sans théorie », c’est-à-dire à une connaissance sans doute utile à la vie, mais qui ne nous donne pas accès aux véritables causes et raisons des choses. « Les hommes agissent comme les bêtes, en tant que les consécutions de leurs perceptions ne se font que par le principe de la mémoire ressemblant aux médecins empiriques, qui ont une simple pratique sans théorie ; et nous ne sommes qu’empiriques