Bête de l'Apocalypse

l'inaptitude au quiétisme, | |Diaz, retiré à Nuremberg, qui était fermement convaincu que le |dans la mégalomanie prométhéenne d'une race qui crève d'idéal, qui | |pape est l'Antéchrist de l'Apocalypse, et qu’il a le signe de la |éclate sous ses convictions et qui, pour s'être complu à bafouer le | |bête, n’était qu'un enthousiaste; son frère, Barthélemy Diaz, qui|doute et la paresse - vices plus nobles que toutes ses vertus - s'est | |partit de Rome pour aller assassiner saintement son frère

l'expression "Et que j'en meures, n'est-ce-pas? Et que tu en meures, que nous achevions tous les deux d'y laisser notre sang et nos larmes" (l.7-8) assure le champ lexical du désespoir et de la mort. Le mot "meures" (l.7) introduit le thème de la mort, de l'apocalypse. Les termes "sang" et "larmes" (l.8) confirment ce sentiment d'apocalypse, de terrible malheur, entre autres celui qui est en Christine. On a l'impression que la femme de Claude est en proie à un véritable malheur, qui s'est abattu sur elle et

tous les droits du Dieu créateur sur sa création. Par l’adoration, la créature raisonnable disparaît en face de son Dieu. Elle reconnaît qu’elle n’est rien en face de la majesté souveraine du créateur. Philippe O. P., commentateur émérite de l’Apocalypse écrit : « Aucune créature ne peut voir Dieu sans mourir. C’est vraiment cela que réalise l’adoration. Elle nous fait mourir à nous-mêmes pour proclamer que Dieu est le premier.» Apocalypse 4 La Vision céleste, le trône de Dieu • Apoc 4 :

parlez d'amour, vous en présentez l'image, vous en empoisonnez l'idée ». De plus, ce dernier sollicite Biondetta pour accéder réellement aux connaissances supérieures. Dans les Révélations, la matière porte encore en elle l'entité diabolique. « La bête (...) s'élève de l'élément, théâtre de tempêtes » : la nuisance, la multiplicité, la confusion sont issues directement de la matière. Or un être né de la matière ne peut être que vide d'esprit et donc de sens, les hommes adorent cette divinité de la

voyais tous ces Russes massacrés par les Allemands remplis de haine, et après, quand on nous a évacués de camp en camp au fur et à mesure de l'avancée russe, j'ai eu une grande pitié pour les enfants allemands que je voyais dans les gares. C'était l'apocalypse. Rien n'était simple. À Berlin, c'était terrifiant, les bombes pleuvaient, j'étais terrorisé, je vivais plaqué au sol et je me disais : ‘’C'est la guerre, quand elle sera finie, je retrouverai maman. Elle va me rechercher.’’ » Rapatrié en Espagne

animalisé, déshumanisé et monstrueux« un corps sans âme » (l. 51) accentue cette déshumanisation de Franz et la cause du dégoût de Sabina Antithèse entre « le chiot géant » (l. 55) et « petit animal » (l. 52) qui animalise Franz et le réduit à l’état de bête captiveHumiliation de Franz dans l’esprit de Sabina avec les adjectifs « pitoyables » (l.53) et « aveugle » (l.52), celui-ci commettant la faute d’avoir « les yeux fermés » (l. 45)La comparaison de Franz avec un « chiot géant » (l. 55) est d’autant

reviennent hanter le présent : Thomas Sutpen père monstrueux, Caruthers Mac Caslin, ancêtre incestueux, et, en arrière d’eux encore, le vieux Ben de Descends, Moïse, l’Urvater (le père primordial selon Freud), ours solitaire et veuf redouté, à la fois bête fantastique et "vieux Priam" » (B. Sichère, Qu’est-ce que faire justice, p. 88). Seul l’héroïsme de personnages prenant le risque de s’émanciper de ces tutelles pesantes permettra de « rompre avec toute malédiction par l’invention d’une version féconde

portraits dans le roman : entraînement au commentaire comparé. Comparaison des portraits de Jérôme Seita (étudié en lecture analytique) et de François Deschamps. - Extraits de l’Apocalypse de Jean 6, 8-9 (traduction de J. Brault et J.-P. Prévost) : textes tirés de la Bible, décrivant les quatre cavaliers de l’apocalypse ainsi que les fléaux déversés sur terre. Définition du terme « apocalypse ». - Commentaire composé portant sur un extrait du chapitre « Le chemin de cendres ». SEQUENCE

voix) Il faut donc des thèmes, des thèmes secondaires, des changements d’orchestration, de nuances et des tas d’élément qui font que l’oreille est surprise et sollicité. C’est la richesse de notre musique européenne. Elle est pauvre mélodiquement et bête au niveau rythmique, mais elle est riche au niveau de la polyphonie. La musique permet d’emmener le thème vers un univers qui n’est pas forcement celui vers lequel il est destiné. Le problème est que notre oreille est mal entrainée à la polyphonie…

. LES ANGES Quatre : chiffre parfait. Comme le carré ou les quatre points cardinaux. Cet autre quatuor angélique aux ailes croisées est porteur de sens. L'un d'eux montre le livre de la vie : SIGNATUR, il est achevé, terminé. Allusion à l'Apocalypse (3, 5; 20, 12, 15). En dessous, l'encensoir prolonge la dimension liturgique des anges céroféraires -porteurs de cierges- aux pieds du Christ en majesté. Tourné vers les hommes pervers, le gonfalon de la victoire de la vie sur la mort, est renforcé