Bétés

l’ortie est écrit en Juillet 1842. Ce texte montre l’attachement d’Hugo pour la Nature et son attachement à aimer ce que personne n’aime. En l’occurrence, se sont les araignées et les orties. L’auteur exprime leur laideur, et notre dégoût pour ces bêtes tout en essayant de nous convaincre de faire comme lui, de voir leur beauté. Nous pouvons donc nous demander quel est le message social et moral délivré par ce poème. Tout d’abord, grâce aux éléments naturels de la société. Dans ce poème de

tribu anthropophage et féroce pour les européens. Les européens ont une mauvaise image des Knaks; ils les identifient à des bêtes sauvages venue de la savane africaine, ainsi qu'à des êtres différents. Ce point de vue, l'auteur va nous le démontrer à travers la soumission des Knaks par les colonialistes, dans un cirque. Ils vont y travailler en étant contraints d'imiter des bêtes sauvages. Cette animation va devenir une attraction exotique pour les spectateurs. Par la suite, deux Knaks vont s'échapper

« biens…familles…vies ». L’auteur cherche à suggérer que les hommes sont prêts à se contenter de la moitié de ce qu’ils ont de plus cher, jusqu’à leur vie. Ils sont d’ailleurs comparés à des bêtes à travers une métaphore filée (L21, 22) : « Tenir la bride plus courte…les bêtes elles-mêmes », il est même sous-entendu que les bêtes sont mieux traitées que les hommes. La Boétie dresse un tableau très réaliste de la situation du peuple, on peut relever un champ lexical important des abus de pouvoir :

lasses d’enfanter » l.7, « mugissement » l.17, « le claquement des sabots » l.18, « en mâchoires de bêtes fauves" l.27, « galoper » l.30, « lâché, débridé, galopait ainsi » l.43, « ces mâchoires de loups, ouvertes pour mordre » l.45, « de gros sabots » l.46, « d’haleines empestées » l.47, « vie sauvage » l.49, « le grand rut, la grande ripaille » l.50. La masse des manifestants va être identifier à des bêtes sauvages féroces, qui veulent dévorer et tuer comme une meute de loups affamés. Question 2

du désert, les îles et les meules.      Des fleurs magiques bourdonnaient. Les talus le berçaient. Des bêtes d'une élégance fabuleuse circulaient. Les nuées s'amassaient sur la haute mer faite d'une éternité de chaudes larmes. III      Au bois il y a un oiseau, son chant vous arrête et vous fait rougir.      Il y a une horloge qui ne sonne pas.      Il y a une fondrière avec un nid de bêtes blanches.      Il y a une cathédrale qui descend et un lac qui monte.      Il y a une petite voiture

ainsi 9000 bêtes lors de l'inauguration de l'amphithéâtre Flavien (ou Colisée) et TRAJAN organise des jeux durant 120 jours où il met en scène 11000 animaux et 10000 gladiateurs pour célébrer son triomphe contre les Daces. Les jeux du cirque sont sans doute les plus anciens. On y présente des jeux gymniques ou des défilés militaires. Mais les plus populaires sont les courses de chars.  Les jeux de l'amphithéâtre présentent particulièrement des combats de gladiateurs, des combats de bêtes et des chasses

la pratique de la chasse a l’encontre des ours bruns. Car les ours sont pour les éleveurs à l’origine des massacres de leurs troupeaux. On peut par exemple compter environ 300 bêtes par ans, ces chiffres sont relatifs puisqu’ils ne représentent seulement que 1% de la mortalité des bêtes. Il représente une menace pour les bêtes, mais l’ours des Pyrénées reste un animal craintif et méfiant envers l’Hommes. Il ne représente donc pas une menace directe pour l’Homme. Puisque la dernière attaque d’un ours

seul où Socrate n'apparaît pas. Dans cet œuvre, il argumente sur la législation et vise la constitution de la cité la meilleure possible. Afin de traiter la question posée : « En l’absence de lois, les hommes seraient-ils vraiment réduits à l’état de bêtes sauvages ? », nous verrons dans un premier temps la thèse de l’auteur, puis nous étudierons une thèse opposée. Selon Platon, la constitution la plus juste serait une constitution faite de lois. En effet, aucun homme ne vit pour le bien d'autrui

certes pas beaucoup, mais c’était là tout son bien. Elle vendait leur lait pour trouver de quoi survivre. Un matin, les deux bêtes, sans doute mal gardées, fuirent leur enclos et se trouvèrent, à vagabonder sur la route. Le prévôt, passant par là, les vit toutes deux et, les jugeant égarées, il les emmena avec lui. La malheureuse femme découvrît bientôt que ses deux bêtes avait disparu. Ses voisins la renseignèrent : le prévôt les avait recueillies mais il ne voulait pas les rendre. La malheureuse

animaux cacheraient ainsi leur misanthropie sous de nobles prétextes et leur amour animal ne serait qu’une forme de l’amour-propre. Comme le dit La Rochefoucauld : « L’amour-propre est l’amour de soi-même, et de toutes choses pour soi4 ». En aimant les bêtes, on n’aimerait en fait que soi-même. Pour comprendre ce que signifie cet amour des animaux et savoir s’il dissimule en fait la haine des hommes, nous verrons d’abord si la source de l’amour animal est le non-amour des hommes, puis s’il contient par