Bettelheim

1989 Maryse Vaillant, Il n’est jamais trop tard pour pardonner à ses parents, Les Editions de la Martinière, 2001 Donald W. Winnicott, L’Enfant et sa Famille, Petite Bibliothèque Payot, 1957 Bruno Bettelheim, Pour être des Parents Acceptables, Robert Laffont, 1988 André Barbier et Jean-Michel Porte, La Séparation, In Press, 2003 Véronique Freund : Le métier d’éducateur de la PJJ, La Découverte, 2004 P

induira dans son patient des sentiments qui ne sont pas les siens, et que d'ailleurs, son patient ne pourrait ne pas partager: il pourrait par exemple, avoir parfaitement fait le deuil de cette absence de père, et s'être construit autrement. Bruno Bettelheim parle dans son livre «un lieu à renaitre» de réconciliation de soi à soi afin que le thérapeute devienne plus fort, lui permettant de ce fait d'être davantage centré vers autrui. Il explique qu'en se libérant de la sorte,le thérapeute pourra plus

« souvenir-écran »[18] ? Si tel est le cas, n’y a pas un risque de faire ressurgir des événements du passé qui seraient d’ordre traumatique ? Mais la construction de cette image, ne peut-elle pas non plus être vécue comme un traumatisme par l’artiste ? Bettelheim affirme que la chirurgie est souvent vécue comme une castration ; d’ailleurs ce dernier parlera de « traumatisme chirurgical »[19]. Orlan a-t-elle vécu ses opérations comme une reconstruction de soi, ou l’a t’elle plutôt

intention différente des auteurs et une autre portée au conte ? - les deux illustrations pour ce conte Décrivez les deux personnages (position, posture, attitude…) Qu’ont voulu montrer les dessinateurs ? - le texte de Bettelheim Confrontez vos hypothèses à celle du texte de Bettelheim Quel éclairage apporte-t-il ? Quel sens prend alors ce conte ? Deuxième partie : analyser des variantes de tradition orale et les confronter 1. (travail maison) Lecture de différentes versions du conte  Relevé

Psychanalyse des contes de fée, B.Bettelheim, réédition de 1999, p.35 Psychanalyse des contes de fées, est un livre de Bruno Bettelheim, paru en 1976. Selon l'auteur, il a « été écrit pour aider les adultes, et plus spécialement ceux qui ont charge d'enfants, à comprendre l'importance des contes de fée ». À travers plusieurs contes populaires tels que Blanche-Neige, Bettelheim y analyse le contenu psychanalytique des contes pour enfants, s'attachant en particulier à de grands thèmes comme le complexe

de divergences théoriques qui ont amené leur contribution à la psychanalyse : Lacan et son mouvement avec S Leclaire, Manonni, F Dolto, …, mais aussi D Anzieu…. La psychanalyse américaine des enfants est représentée par M Mahler (1897-1985), B Bettelheim [1903-1990), E Erickson (1902-1994)]. En Angleterre, développement des pratiques de la psychanalyse de l’enfant et leur théorisation par Mélanie Klein (1882-1960), A Freud (1895- 1982), le groupe des Indépendants [Balint, Bowlby, Winnicott(1896-1971)]

leur vie à tenter de comprendre la pathologie autistique, et proposer des modèles thérapeutiques adaptés. Ainsi la psychiatre américaine née en Hongrie: Margaret Mahler (1897-1985), le psychiatre et psychanalysteaméricain d'origine viennoise Bruno Bettelheim (1903-1990), la pédiatre française Françoise Dolto (1908-1988), la psychanalyste d'origine britannique Frances Tustin (1913-1994), l'éducateur spécialisé Fernand Deligny (1913-1996), la psychanalyste lacanienne française Maud Mannoni (1923-1998)

écrits pour les enfants. Ex de thèmes romantiques : langage du regard (elle a vendu sa voix contre des jambes, chaque fois qu’elle fait, c’est comme si elle marchait sur des poignards -> souffrance liée à l’amour) Les habits de l’empereur Bettelheim : 1976, La psychanalyse des contes de fée Un juif viennois, a connu les camps de concentration S’est prétendu psychanalyste aux Etats-Unis, a prétendu être le disciple de Freud L’analyse de Freud = ses lettres à Fliess S’est spécialisé dans

peut être une forme de savoir, aussi bien que l’état de veille. Le surréalisme n’est pas le contraire de la réalité, c’est une réalité plus grande, qui va englober des éléments qui étaient rejetés dans l’irréel, l’imaginaire… -> sur-réalisme [Bettelheim Bruno, Psychanalyse des contes de fées] Le fait de civiliser un être humain c’est prendre parti contre certains de ses désirs. L’idée de nuit profonde : on voit l’intérêt de Breton pour les mystères, l’obscure … Eloge du rêve qui laisse toutes

réflexe, une habitude dont il sera difficile de se défaire à l’avenir. L’écran retient l’enfant et l’accapare. Ce n’est donc pas tant la qualité des émissions qui sont en cause mais la place occupée par la télévision. D’ailleurs, nous rejoignons Bruno Bettelheim lorsqu’il écrit : “La télévision est un média fait surtout pour distraire ; elle ne se prête pas facilement à l’exercice d’un jugement équilibré, à l’examen de tous les "pour“ et "contre" relatifs à une question. On ne saurait attendre d’un média