Bienséance

Résurrection de Lazare “ , ou encore “La présentation de Jésus au temple “. II/Doctrine et litérrature classiques : Les 4 grands termes qui peuvent résumer la doctrine classique sont : a)    La clarté de la langue. b)    La vraisemblance. c)    La bienséance. d)    La règle des trois unités. Les auteur classiques comme Moliere , Blaise Pascal ou encore Nicolas Boileau s’inspire énormement des Anciens , notamment d’Aristote . Une des expressions verbales d’Aristote est reste tres celebres. « La tragédie

Religion, guerre contre les protestants de Richelieu et Louis XIII). Le théâtre baroque est lui aussi violent. La période classique, apaisée, ne voudra plus de cette violence. Tiré d’internet Corneille ne respecte pas l'unité d'action, ni les bienséances (mélange des genres), c'est ce qui lui attire les foudres de Scudéry et Chapelain de l’acte I à l’acte V se déroule à peu près 24 heures, mais Corneille convient lui-même que cela « ne va pas sans embarras », et que les incidents sont « trop

pendant l’époque du classicisme. -Jean Racine est un dramaturge français qui est né en 1639 et qui est décédé en 1699. Racine écrit des pièces classiques qui respectent les règles d’unité, de vraisemblance et de bienséance. -Phèdre est une tragédie inspirée du théâtre grec (Euripide) et du théâtre latin (Sénèque), qui met en scène la violence des passions. C’est la dernière grande tragédie de Racine.

suivants : rationnel et raisonnables. Puis viennent les règles desquelles il faut tenir compte au moment de la composition d’une œuvre, ainsi que les normes en rapport avec les comportements adéquats dans le cadre de la vie sociale. Nous avons donc, la bienséance qui fait partie des normes de comportements, les trois unités du théâtre, à savoir, unités de temps, de lieu et d’action faisant partie de la structure du texte. La notion de vraisemblance, également très importante en théâtre, exige que ce qui

Unité de lieu : les déplacements des personnages sont limités à un seul lieu dramatique, une seule scène, un seul décor. Il s’agit d’une salle de palais pour la tragédie et, pour la comédie, d’une rue ou d’une pièce de maison bourgeoise. • La bienséance Cette exigence morale consiste à ne pas choquer le public. Certains sujets sont bannis comme la sexualité les spectacles sanglants, les morts sur scène.  Les grandes figures du théâtre classique • Pierre Corneille: tragi-comédies, mélange

représentés sur scène ( Bienséance, autre lieu, autre époque). ESPACE THÉÂTRAL : Espace référentiel  Lieu fixé par l’auteur  Scène doit représenter ( Décors). Espace scénique  Lieu physique/réel où jouent les acteurs ( Estrade)  Avant-scène + Fond de la scène + Côté jardin » (= Gauche pour le spectateur) + Côté cour (= Droite pour le spectateur). Hors-scène   Coulisses  Lieu d’origine/de destination des personnages +Lieu des crimes ( sur scène  Bienséance). DÉCOUPAGE DE LA PIÈCE :

Commentaire Antigone : récit du messager Introduction : La bienséance constitue l’une des règles de la tragédie classique : il s’agit notamment de ne pas choquer le public en montrant la mort. La mort se déroule hors-scène et il revient alors souvent à un confident de la rapporter. Dans sa version d’Antigone offerte au public en 1944, Jean Anouilh use de ce procédé au seuil de son dénouement : c’est un messager qui surgit pour annoncer les décès d’Antigone et d’Hémon. Comment cette tirade du messager

existait en outre d’autres exigences : L’unité de ton doit être respectée afin de maintenir la séparation des genres (tragédie / comédie) ; Les bienséances sont de deux ordres : Les bienséances externes doivent être respectées afin de ne pas heurter le public : tout ce qui va contre la morale est banni (les scènes de violence, la mort, etc.) ;Les bienséances internes relèvent de la cohérence des caractères des personnages. Le personnage a un caractère propre établi au début de la pièce et ce caractère

la catharsis. Parlons à présent du classicisme où l’auteur doit faire face à plusieurs règles très strictes pour que ce théâtre soit crédible aux yeux du spectateur. Le classicisme aborde trois règles : la bienséance, la vraisemblance et la règle des trois unités. La bienséance a pour but de ne pas choquer le public, c’est à dire qu’il ne doit pas y avoir de morts ni de violence durant la pièce contrairement à la tragédie. Pas comme dans Le Cid de Corneille. La vraisemblance a pour but de

trois unités Cette règle a pour but de ne pas éparpiller l'attention du spectateur avec des détails comme le lieu ou la date, l'autorisant à se concentrer sur l'intrigue pour mieux le toucher et l'édifier. Elle permet à la fois de respecter la bienséance (et ainsi de ne pas choquer le spectateur) et de donner un caractère vraisemblable aux faits représentés et ainsi, satisfaire le spectateur du XVIIe siècle. Unité d'action : (appelée aussi unité de péril) La pièce ne met en scène qu'une seule action