Blâme

uniquement déclaratives, ne prévoient pas d'autre sanction que morale en cas de non-respect5 (voirUne charte déclarative). collective. Les syndicats de journalistes constatent de leur côté qu'il existe bien un pouvoir de sanction (licenciement, mutation, blâme), mais abandonné au bon vouloir des employeurs. Pour qu'il prenne plus en compte la déontologie, ils proposent d'annexer6 la charte de déontologie à la convention collective, ce qui lui donnerait force de loi. • Dans l'audiovisuel public, le droit

| | |5. Argumenter : l’Autre |textes argumentatifs de structure |argumentation |janvier |rédiger des réponses à des questions |éloge et blâme | | |simple |énonciation |10 séances |d’analyse |

peut aller plus loin et mettre en évidence l’obséquiosité malsaine de l’homme (« il chérit la modestie de la femme », l. 8 « tous les compliments dont l’homme accable une femme », l. 20). c) Blâme de l’homme / éloge de la femme En rappelant la visée argumentative du texte, il est possible de montrer que le blâme de l’homme va de pair avec un éloge de la femme. Étude des antithèses qui structurent le passage : « esprit naturel », « facilité de voir », « péné- tration » de la femme / « vices », « défauts

témoigne de la prise de la Bastille. Cet événement qui symbolise la chute de l'Ancien Régime, n'est pas vu d'un bon œil d'après Chateaubriand qui lui était un monarchiste et donc porte un regard critique sur la prise de la Bastille. Il en fait un blâme en utilisant des verbes forts et péjoratifs comme « arraché » pour montrer la violence du geste ou bien encore « subi », « assommé », « tête cassée ». Chateaubriand décrit la scène avec beaucoup de précisions et de détails. L'extrait devient donc

L’épidictique: éloge et blâme Objectifs : formuler de nets jugements de valeur : positifs (faire l’éloge, louer) ou négatifs (blâmer) Les procédés du registre épidictique : Enonciation : implication du destinataire : apostrophes et adresse au lecteur, questions oratoires ; implication du locuteur : marques de la 1ère personne, marques du jugement Figures de style : pour l’éloge : comparaisons, métaphores ou périphrases qui exaltent les qualités, hyperboles pour le blâme : figures qui déprécient :

L’épidictique a pour but d’émouvoir le destinataire en mettant en valeur ou en dénigrant une personne ou une action présente ou récente. Il s’agit de répondre à la question Quelle est la valeur de l’objet dont on parle ? C’est la tradition de l’éloge et du blâme qui est à l’origine de nombreux genres littéraires. NB : Ces trois grands genres de l’éloquence ne sont pas sans avoir des relations les uns avec les autres : 1) l’épidictique entre évidemment en ligne de compte dans le judiciaire : on établira

premier couplet – avant de les observer isolément plus loin de façon plus explicite et plus lisible – en mettant en évidence par des moyens graphiques variés les principaux types d’échos, qui seront détaillés plus loin : 01 Ma plume, mon diplôme, un blâme, un problème 02 Un suprême programme haut d’gamme qui engrène 03 Qui entraîne des bris d’crânes, de vitrines 04 Crimes qui se trament, nitroglycérine 05 Premier album, je dégomme, sors des abîmes 06 J'amène œdèmes et rétame des riddims 07 J'étonne

mais encore des leurs”  Le tyran est une personne mauvaise sous l’influence des tyranneaux. Il ne l’est donc pas par nature. Les tyranneaux ont réussi à le corrompre afin de le rendre cruel envers ses propres sujets. Axe 2 : Un texte épidictique A) Blâme du tyran Métaphores “Tumeur” “humeur” représentent réciproquement le tyran et les tyranneaux. La tumeur est quelques chose de mal qui attire tout le monde. De plus, certains écrivains humanismes travaillaient leur texte afin de le rendre lyrique. Les

pouvoir sur le roi à des fins malhonnêtes. Mais c'est aussi le roi qui est blâmé (voir ligne 13 : « il n'est pas excusable »). la longue subordonnée conditionnel qui commence à la ligne 13 permet de condamner de manière détournée à la fois la duchesse de Valentinois de son infidélité et le roi pour sa faiblesse. La formule « on aurait eu de la peine à s’empêcher de louer se prince » est une périphrase pour éviter un blâme trop direct du roi. → On retrouve dans cet extrait la formulation de l'implicite

XVIII e siècle, la cour est vilipendée comme la maison du vice et de la malhonnêteté. II. La structure du texte fondée sur un basculement 1re partie : Diderot fait un éloge dithyrambique de (porte au pinacle) la cour, avant de basculer dans un blâme de cette mini société en apparence idéale. a. Le basculement se fait de manière inattendue au milieu d’une phrase : « J’oserais presque… » (l.16) • Changement d’énonciation = texte bascule dans la subjectivité, s’oppose à l’objectivité cartésienne