Blâme De La Paresse

M. Bennabi qui prône la théorie suivante : « Il y a un processus historique […] qui commence par la coloniasibilité qu’il provoque. Ainsi donc, la colonisation n’est pas la cause première à laquelle on puisse imputer la carence des hommes et la paresse des esprits dans les pays maghrébins » .1 Comme lui, Driss Chraïbi relie donc la colonisation non pas à des maux extérieurs, mais à des « ennemis intérieurs », tels que : l’ignorance, la bigoterie, la corruption, l’orgueil … La seconde explication

Bennabi qui prône la théorie suivante : « Il y a un processus historique […] qui commence par la coloniasibilité qu’il provoque. Ainsi donc, la colonisation n’est pas la cause première à laquelle on puisse imputer la carence des hommes et la paresse des esprits dans les pays maghrébins » .1 Comme lui, Driss Chraïbi relie donc la colonisation non pas à des maux extérieurs, mais à des « ennemis intérieurs », tels que : l’ignorance, la bigoterie, la corruption, l’orgueil … La seconde explication

l’engagèrent à garder le silence. Cet homme, qui, par cupidité, s’était prêté, pendant tout l’hiver, aux entrevues des deux amants, avait seul pu observer les chagrins secrets de la jeune créole. Craignant avec raison le reproche de ses maîtres et le blâme de ses égaux, il se tut par intérêt pour lui-même, et, quand M. Delmare, qui, après la découverte de cette intrigue, avait quelques soupçons, l’interrogea sur les suites qu’elle avait pu avoir en son absence, il nia hardiment qu’elle en eût aucune

en sont ravies. Pour d’autres, ça n’a servi à rien. Elles en sont toujours à se demander comment faire pour se sentir mieux dans leur peau. C’est aussi la question que je me pose. Comment en suis-je arrivée là ? Qui m’a appris à ne pas m’aimer ? On blâme bien souvent les mères pour ce genre de complexe, et bien que je répugne à le dire, je dois avouer qu’une maman est le premier modèle d’une petite fille. Les mères peuvent nous faire du mal par excès d’amour. Elles veulent ce qu’il y a de mieux pour

Cependant, elle lui dit : – Quelquefois, vos paroles me reviennent comme un écho lointain, comme le son d’une cloche apporté par le vent ; et il me semble que vous êtes là, quand je lis des passages d’amour dans les livres. – Tout ce qu’on y blâme d’exagéré, vous me l’avez fait ressentir, dit Frédéric (…) – Pauvre cher ami ! Elle soupira ; et, après un long silence : – N’importe, nous nous serons bien aimés. – Sans nous appartenir, pourtant ! – Cela vaut peut-être mieux, reprit-elle.

rentrait régulièrement gris, passé minuit. 241 Il se levait tard, lisait les journaux, déjeunait, filait avec un client qui lui plaisait, et laissait toute la besogne à un garçon et à un apprenti. Il s’enfonça de plus en plus dans cette vie de paresse, d’égoïsme, de dépravation et d’abrutissement. Il fut jaloux d’un de ses employés. Il s’imagina que ce jeune homme faisait la cour à sa femme. La patronne n’était, hélas ! ni jolie ni coquette. Mais ce fut pour le bourgeois un prétexte à

longue famine qu’ils éprouvèrent autrefois. Et le pain juif, sans levain, garde le souvenir des grains qu’ils volèrent. On dit qu’ils adoptèrent le repos du septième jour, parce que c’est ce jour qui mit fin à leurs misères; ensuite, flattés par la paresse, ils donnèrent aussi à l’oisiveté la septième année. […] La lie des peuples voisins, méprisant la 1 Dieu égyptien représenté sous l’aspect d’un taureau. 65 70 75 80 85 90 95 100 religion de leurs pères, vinrent apporter

l’interdiction (interdiction confirmée). S’il en reste cinq, cela signifie que l’exécution de l’action projetée comporte la fatigue ou le blâme. S’il reste six grains, cela signifie que le résultat est très bon et qu’il faut accomplir l’action projetée sans tarder. S’il en reste sept, le résultat est identique au cas de figure où il en reste cinq (fatigue ou blâme). Et s’il en reste huit, cela signifie que l’interdiction d’exécuter l’action projetée est confirmée quatre fois . Istikhârah ou

branches, au−dessus du perron de marbre. J'ai vu son reflet dans la fontaine. Grâce à Dieu, c'est moi qui ai parlé la première. De ce qui m'amenait là, je n'ai pas soufflé mot, croyez−moi : que tragiques plaintes, que tragiques gémissements. Je l'ai blâmé de m'avoir fait venir, tandis qu'il me priait de le réconcilier avec mon mari qui, à grand tort, lui reprochait de m'aimer, et je lui ai dit que sa requête était insensée, car jamais plus je ne lui accorderais d'entretien, ni ne plaiderais sa cause

principaux propriétaires de l’endroit. – Mais, disait timidement Madame de Rênal, quel tort peut vous faire ce monsieur de Paris, puisque vous administrez le bien des pauvres 44 avec la plus scrupuleuse probité ? – Il ne vient que pour déverser le blâme, et ensuite il fera insérer des articles dans les journaux du libéralisme. – Vous ne les lisez jamais, mon ami. – Mais on nous parle de ces articles jacobins ; tout cela nous distrait et nous empêche de faire le bien1. Quant à moi je ne pardonnerai