Bonne Foi Contractuelle

significatif entre le professionnel et le consommateur ou le non professionnel. Ce type de clauses ne se trouve donc que dans les contrats de consommation, souvent d'adhésion et non négociés par le client. L'abus apparaît dans les dispositions contractuelles qui portent excessivement atteinte aux intérêts du consommateur, en rompant l'équilibre entre les prestations réciproques des parties au contrat. Le formalisme pourrait être défini comme un principe juridique en vertu duquel une formalité est

obligation de résultat lorsque les parties sont certaines de la réalisation de l’objet de l’obligation ; au contraire, il y a obligation de moyen lorsque les parties doutent du résultat promis. L’intérêt de cette distinction concerne la responsabilité contractuelle : si l’obligation est de résultat, le débiteur engage sa responsabilité par le seul fait qu’il n’a pas fourni le résultat promis, en revanche, quand l’obligation est de moyen, il faudra prouver que le débiteur n’a pas mis tout en œuvre pour atteindre

On va donc voir tous les cas où il s'auto-limite. 1156 → le juge est censé interpréter selon la commune intention des parties. Respect de l'ordre public qui peut ê défini par la L mais les bonnes moeurs sont appliqués par le juge. En matière contractuelle, les bonnes moeurs sont en recul. A la rupture du contrat, il y aura des choses à régler entre parties, juge devra contrôler certaines clauses (résolutoires par ex). D'un point de vue théorique, 2 courants → solidaristes et libéraux. Les solidaristes

Fouillée pouvait ainsi affirmer « qui dit contractuel dit juste ». Le postulat est donc, que le meilleur moyen de satisfaire l’utilité sociale, c’est de satisfaire ses intérêts propres. De ce qui précède, deux interrogations majeures nous viennent à l’esprit à savoir : quel est la teneur d’avant contrat ? Plutôt, à quoi on est tenu dans un contrat ? Pour répondre à ces deux questions, nous essayerons de déterminer d’une part la situation pré- contractuelle en (I) et d’autre part le régime juridique

encadrement reflète la volonté du législateur à l'instauration d'une régulation sociale et l'équilibre contractuel dans l'optique d'assurer la sécurité juridique, puisqu'il peut imposer des mesures d'ordre public en vue de la protection de certains individus (exemple VIEFA, Bail)  La standardisation de la pratique contractuelle, car c'est dans l'intérêt des contractants et pour assurer la sécurité contractuelle, il est en effet avantageux que des contrats semblables soient soumis aux mêmes règles, le législateur

fabrication de machines industrielles. Un contrat sous-traitance a été signé avec la société Plectro, spécialisée dans la fabrication de pièces électroniques. La société Plectro s’est engagée à respecter les termes du contrat, responsabilité contractuelle, elle est tenue de se conformer au « cahier des charges techniques» relatif aux caractéristiques des pièces et du planning prévisionnel de livraison. Elle doit livrer 25 pièces pour les systèmes électroniques de commande dans un délai de 10 jours

 3 piliers fondamentaux du droit des contrats : évolution de la liberté contractuelle, évolution de la force obligatoire du droit des contrats, progression des principes rattachés à la bonne foi Au-delà des règles ponctuelles, le problème juridique posé par le contrat envisagé trouvera des clés de réponses dans un de ces trois principes. Or ces trois principes s’ils peuvent être en harmonie, non contradictoire les uns avec les autres ex : s’il est juste de penser qu’un contrat librement

lorsqu’il est de bonne foi. A cet égard, il faut ajouter que l’article L.120-4 du Code du travail dispose que " le contrat de travail est exécuté de bonne foi ". Or face aux multiples attraits qui émanent de la requalification de la prise d’acte de la rupture en licenciement on peut légitimement penser que le salarié " démissionnaire "ne sera pas toujours de bonne foi. Ainsi, si la rupture du contrat est la conséquence d’un manquement de l’employeur à ses obligations contractuelles, la requalification

société GTI groupe. Toutefois, la débitrice s’est retrouvé en liquidation judiciaire et le liquidateur a pris la décision de ne pas poursuivre l’exécution des baux. Le créancier va ainsi se retourner contre la caution afin d’obtenir l’indemnité contractuelle de résiliation anticipée des baux d’un montant de 427 668,69 euros. La cour d’appel de Grenoble a rejeté la demande en indemnisation de monsieur X le 7 octobre 2011et le condamne a payer les sommes de 414 489,05 euros et de 1 654,98 euros, outre

loi donne une force juridique. Le fondement c-a-d la base sur laquelle repose le contrat c’est l’autonomie de la volonté. Plusieurs règles juridiques découlent de la théorie de l’autonomie de la volonté. Tout d’abord le principe de la liberté contractuelle qui veut que personne ne soit obligée de s’engager contre sa volonté. Ensuite le principe de la force obligatoire du contrat énoncé par l’article 1 134 du code civil qui stipule que «  les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à