Bossu

types reviennent régulièrement : - MACCUS : le goinfre stupide. Drapé dans un pallium qui rappel l’orateur. Crane chauve, nez en bec d’aigle et un dos bossu, ancetre de polichinelle - BUCCO : ("la bouche") gourmand et rusé., grosses joues, bavard et content de lui - PAPPUS : grand-père avare et libidineux, qui annonce PANTALON. - DOSSENUS : le bossu, philosophe parasite. Ancêtre de POLICHINELLE. Vagabond cynique, toujours affamé - MANDUCUS  : l'ogre, etre monstrueux - LAMIA : l'ogresse. Paniculus :

corps du félin, par opposition au vers suivants " sinis / tre et fatigué / revient / à pas égaux ". très régulier et évoquant la démarche du jaguar. " il va frottant ses reins musculeux qu’il bossue " allitération en " s " et en " r " assonance du " u " sonorité expressive; lien entre " musculeux " et " bossue ", c’est le relief des muscles sur le pelage, le frottement du fauve sur l ’écorce. Le " s " de soufflant suggère la souplesse de l’animal. 2. Le fauve au repos : Au vers 15, la chute

de Quasimodo où l’on ressent une immense pitié grâce aux descriptions très précises « les lanières et les chaînettes lui entrait probablement dans la chair », « bientôt le sang jaillit, on le vit ruisseler par mille filets sur les noires épaules du bossu » ces citations nous montre bien l’atrocité de son sort, la souffrance qu'il endure, suscite chez le lecteur un sentiment de pitié qu'on ne retrouve souvent dans le roman comme la torture d'esméralda ou bien la description de Quasimodo « Il baptisa

- Invocation : vers 4 et 8 « et vous » puis 12 « je vous supply » et 14 « dites-le lui ». D’où Personnification . + lexique + /- humain : blondoyantes //blond ; rousoyantes : rosée mais aussi « roux » (couleur portraits renaissance) ; bossus ; demi-front b- Un éloge - Vineux : fécondité. Verdoyantes, blondoyantes : beauté visuelle. - Adjectifs verbaux : pouvoir d’agir. Beauté presque baroque (changeante, reflets) - Sonorités : assonance en [è] voyelle ouverte

acheter des vêtements. Et c’est justement ce que comptait faire John avec ses légumes. Mais avant même de passer les portes du village qui se trouvait au loin, John vit surgir d’un buisson, un drôle de petit personnage. Vêtu d’un simple drap, un peu bossu, pas plus grand qu’un enfant, en train de grogner d’une voix plutôt grave pour sa taille, à son intention, de s’arrêter. Et c’est ce que John fit, étant plutôt curieux et bizarrement attiré par ce petit gnome. Ce drôle de petit être, s’approcha avec

s'appuient sur des références culturelles, qui servent d'arguments d'autorité pour que soit enfin aboli le travail des enfants : Le travail "ferait – c'est là son fruit le plus certain ! -- (hyperblole) / D'Apollon (Dieu de la Beauté et des Arts) un bossu, de Voltaire (Philosophe des Lumières) un crétin !" v.21/22 (antithèses et parallélisme, ponctuation forte). Poème pathétique, qui touche le lecteur et interroge profondément Dieu et les hommes. (// Cosette dans Les Misérables) "Melancholia"

éclat dramatique, la famille disparaît ainsi dans une déchéance banale, mesquine et ridicule. Le narrateur de l’histoire tragique de la famille Coste révèle à la fin une difformité qui a pu lui faire porter sur elle un regard malveillant : il est bossu. Commentaire Le roman, qui fait partie de la série des ‘_’Chroniques romanesques’’_, et qui est le dernier à y être explicitement rattaché, est un livre curieux qui, par plusieurs aspects, diffère sensiblement des précédents. Des épigraphes figurent

énormes, un visage plat, des yeux de chouette, un nez de chat, une bouche fendue comme un loup, des dents de sanglier, pointues et rousses, une barbe noire, des moustaches en broussaille, et le menton soudé à la poitrine, une échine longue, tordue et bossue. Il était appuyé sur sa massue, habillé d’un vêtement extraordinaire, où n’entrait ni lin ni laine ; c’étaient deux peaux de taureau ou de bœuf, nouvellement écorchées, qu’il avait attachées à son cou. Le rustre sauta sur ses pieds dès qu’il me

monstre, il a un nez tétraédrique, une bouche en forme de fer à cheval, un œil complètement fermé à cause d’une grosse verrue, et l’autre est recouvert d’un sourcil roux broussailleux. Il a « une poitrine de chameau » et un «  dôme sur le dos » (= bossu). Il est d’ailleurs plusieurs fois comparé à un animal, à une bête et parfois même à un monstre venant des enfers. Contrairement à cet être, Esméralda est belle, gracieuse. Elle a les cheveux noirs, et la peau couleur dorée. Elle n’est pas très grande

vieilles capitales, Où tout, même l'horreur, tourne aux enchantements, Je guette, obéissant à mes humeurs fatales Des êtres singuliers, décrépits et charmants. Ces monstres disloqués furent jadis des femmes, Éponine ou Laïs ! Monstres brisés, bossus Ou tordus, aimons-les ! ce sont encor des âmes. Sous des jupons troués et sous de froids tissus Ils rampent, flagellés par les bises iniques, Frémissant au fracas roulant des omnibus, Et serrant sur leur flanc, ainsi que des reliques, Un petit