Botrytis cinerea

particulièrement le cépage cabernet sauvignon, sont maintenant bien maîtrisées. L'oïdium est contrôlé par l'usage du soufre et le mildiou par la pulvérisation de sulfate de cuivre, la fameuse « bouillie bordelaise » Le cas de la pourriture noble (Botrytis cinerea) est certainement plus délicat, mais la faible vigueur des vignes du Château Margaux et leur système de conduite traditionnel créent des conditions plutôt défavorables au développement de cette maladie. Le problème posé par les parasites, insectes

pathogène de ces organismes. Aucune séquence complète d’un génome de champignon pathogène n’est à l’heure actuelle disponible, seules des données partielles (ESTs, extrémités de BACs) sont accessibles. Le séquençage probable du génome de Botrytis cinerea en France, et des initiatives équivalentes en cours à l’étranger sur d’autres génomes favoriseront le développement d’approches globales de type transcriptome, et donc la connaissance des fonctions de pathogénie. Les dernières années ont

confluent du Ciron et de la Garonne. Il s’agit par une coïncidence mais de la résultante de l’apport des eaux froides du Ciron dont le cours est entièrement couvert de voûtes de feuillage qui crée un micro climat favorable au développement du Botrytis Cinérea, le père de la pourriture noble. L’humidité et les brouillards matinaux de l’automne suivis du chaud soleil de l’après-midi permettent la concentration des sucres dans les raisins mais par dexication et perte de l’eau. L’AOC Cadillac depuis

vendangés plus tard que ceux servant aux vins non effervescents; • plus le raisin est mûr, plus la teneur en sucre est élevée; - l’évaporation de l’eau entraîne la concentration du niveau de sucre; • la vigne peut être porteuse du champignon Botrytis cinerea (dit moisissure grise ou pourriture noble); f) vin de glace : • le raisin est cueilli et pressé gelé (température inférieure à -8 °C); • l’excédent d’eau, sous forme de glace, est séparé du jus; • la vinification se fait selon le processus pour

plantes / ha atteintes, si les conditions sont favorables au développement de la maladie, traiter avec de l'azoxystrobine ou du fénarimol associé à du mancozèbe.   * Pourriture grise Pourriture grise du à botrytis cinerea   Cette maladie est causée par le champignon botrytis cinerea. Elle survient lorsque l'hygrométrie de l'air est saturé, soit 100 % humidité relative, au niveau du feuillage. Cette maladie se développe principalement sur les plaies d'effeuillage. Le risque est donc élevé lorsque

PNTTA ; 2009). Aux niveau des ravageurs, « Les principales maladies observées sur la Stévia à travers le monde sont: Rhizoctonia solani, Sclerotinia rolfsii, Sclerotenia sclerotiorum, Sclerotium dephinii, Alternaria steviae, Septoria steviae, Botrytis cinerea, Fusarium spp., Septoria Steviae, Erysiphe cichoracearum et Phytopthora spp. » (Bulletin mensuel de liaison et d’information du PNTTA ; 2009). Cependant il n’y a pas de problèmes majeurs avec la Stévia, même si on a remarqué quelques maladies

sous abri (4.768 ha en 2009/2010 contre 4.530 ha en 2008/2009) et une diminution de 34% en plein champs (151 ha en 2009/2010 contre 445 ha en 2008/2009) (DRA-SM, 2010). Par ailleurs, plusieurs maladies se sont développées telles que le mildiou, le Botrytis et le Tylcv. Il a été signalé qu’auprès les pluies, certains producteurs ne pouvaient pas traiter à cause de l’inaccessibilité à leurs fermes, d’autres ont abandonné la lutte intégrée (IPM) et utilisé le traitement phytosanitaire. De ce fait, le

et espèces de Penicillium. Dans les Pois chiches australiens, Sarantinos et al. (1996) ont trouvé que les mycètes dominantes étaient Stemphylium botryosum et Botrytis cinerea, suivies d'A. flavus, Alternaria alternata, Eurotium chevalieri et E. amstelodami. La microflore fongique la plus commune des petit pois est provoquée par Botrytis cinerea (Ryall et Lipton, 1979 ; Snowdon, 1991). Les petit pois sont également susceptibles d’être contaminés par Colletotrichum, Ascochyta et Alternaria alternata

investissement peu coûteux, qui ne provoque pas de stimulation de l’alternariose (Alternaria) et du mildiou (Phytophtora).Enfin la teneur en sel de l’eau peut être un peu plus élevée.  Maladies et parasites : les plus importants sont : - Botrytis-Cinérea : efflorescence grisâtre sur les parties aériennes et circulaires sur les fruits .Pour le traitement lié à la PPI, les mesures climatiques et culturales auront pour but de limiter la présence d’eau libre sur les feuilles et de favoriser une

bibliographique susceptibles d’être ciblées pour l’analyse par PCR-DGGE (Coenye et Vandamme 2003). Un autre inconvénient avec les domaines V3, V6 et V8 est l’amplification d’ADN de levures (Saccharomyces sp. et Candida sp.), de moisissures (Botrytis cinerea, Fusarium laterium) (Lopez et al. 2003) et de cellules eucaryotes de plantes (Dent et al. 2004). Il faut donc chercher d’autres cibles mieux adaptées. La propriété idéale d’un gène susceptible de servir de cible pour l’analyse par PCRDGGE