Britannicus Tragédie

Commentaire d’un extrait de Britannicus, Racine Jean Racine est considéré comme l’un des plus grands auteurs français de tragédies classiques du XVIIème siècle. Inspiré par l’histoire romaine, il écrit Britannicus en 1669. Alors que les tragédies raciniennes décrivent habituellement les ravages des passions amoureuses, Britannicus est, elle, une pièce à sujet politique : en effet, Racine évoque les luttes pour le pouvoir à la cour de Néron, successeur de Claude. La scène à étudier est le début

Néron objectif : Initiations au commentaire il y as deux personnage sur scène Narcisse est Néron Néron veut-il soutirer des informations à Narcisse (gouverneur de Britannicus) ? L'on découvre que narcisse est un traite . Néron parle de lui même cela est bien car l'on peut confirmée sont portré moral il accorde a britannicus un entrevu pour voir Junie . il n'a pas de descendance avec octavie , il ne l'aime pas car Agrippine la forcée a la mariée et il a peur de sa mère .nous découvrons une

NUNES 2nd B QUESTION CORPUS Nous allons étudier trois pièces de théâtre au sein de ce corpus diachronique : Le Tartuffe de Molière qui est une comédie classique de 1669, c’est une pièce satirique et comique à visée argumentative. Britannicus, une tragédie classique écrite en 1669 par Racine et enfin, Cyrano de Bergerac, une comédie dramatique par E.Rostand de 1897. Dans ce corpus, nous allons montrer les enjeux et les particularités de ces trois dialogues. Dans une première partie, nous analyserons

Jean Racine nous soumet ici une tragédie classique et antique mais terriblement actuelle : Britannicus ou l’amour brisé par un être sournois et lâche. C’est en effet ce fil conducteur qui apparait au spectateur sur l’affiche. Que ce soit par le cœur brisé, les larmes ou le sombre tyran, le public est aussitôt baigné dans l’atmosphère intense et étouffante de la pièce. Depuis toujours, le cœur est symbole d’amour. Généralement percé par la flèche du Cupidon, celui-ci est brisé par la lame d’un

L’extrait de « Britannicus » Acte II, scène 2 écrit par Jean Racine, né le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699. Et l’un des dramaturges le plus représentant de la tragédie classique. Lors de l’écriture de cette œuvre théâtrale, sous le règne de louis XVI, le principal courant littéraire est le classicisme. Il représente le savoir de la raison, l'équilibre, l'objectivité, la retenue et un strict respect de la forme, à travers les règles des trois unités, vraisemblance, bienséance

début règne de Néron => évoquer pans de l’histoire romaine de manière habile afin de construire l’arrière-plan politique et historique de la pièce. Temps relatif : La scène se passe à l’aube : v.1-2, v.10 : temps de la rupture entre Néron et Britannicus => temps de la crise tragique : enlèvement de Junie Agrippine : monopolise la parole -> nécessité pour dramaturge de fournir le plus d’explications possible dans un temps réduit + A est le pers qui détient le plus d’infos

 ACTE I Scène d’exposition : Nous avons une tragédie qui s’inspire d’une histoire romaine réelle), l’Empereur Néron et sa mère Agrippine. Les utilités : sont les personnes qui reçoivent les confidences. Ce que nous apprend la scène : Agrippine = mère de Néron. Néron contre Britannicus, sa mère le gène. « Las de se faire aimer, il veut se faire craindre ». Agrippine à du pouvoir. Néron devrait être reconnaissant à sa mère. Néron Empereur aimé depuis 2 ans. Cf. : Les ancêtres de Néron

craignent ! ») Il s'agit là en fait d'une reprise par Caligula d'une phrase célèbre de son prédécesseur l'empereur Tibère Oderint, dum probent , « Qu'ils me haïssent pourvu qu'ils m'approuvent » (la version de Caligula, avec metuant, est empruntée à la tragédie Atrée de Lucius Accius11 ; Tibère en avait quelque peu atténué la violence). Cette phrase est également sa devise ; * « Le pouvoir donne ses chances à l'impossible. » La phrase d'origine complète étant : « J'aime le pouvoir car il donne ses

expriment la douleur d’un désenchantement précoce avec une ironie théâtrale, un jeu cruel et quand ils ne portent pas de musque avec le lyrisme. La tradition théâtrale de la tyrannie : Energie sauvage, humour morbide. * Néron : De Racine dans Britannicus, qui a inspiré Camus, au début, Néron empereur parfait, après il devient monstre… * UBU Roi : l’un des modes possibles de Caligula 1897/98. Traditions de la sur théâtralité : Dans Caligula, se regroupe deux prototypes : 1- le fou perspicace

Préfaces Britannicus 1) Préface n°1 : Introduction : Différents avis à propos de son œuvre (L.1 à 6) Partie 1 : Critique de l’œuvre A) La personnalité des personnages principaux critiqués (L6 à 67) B) Critiques sur l’aboutissement de l’histoire (L.68 à 92) Partie 2 : Réponses aux critiques A) Explication et choix de Racine (L.93 à 122) B) Racine défend son œuvre (L.123 à 135) Conclusion : (L.135 à 160) Préface n°2 : Introduction : Avis de Racine à propos des critiques